– : stabilisation et occupation d’un secteur vers Thiescourt et Lassigny, étendu à droite, le , jusqu’à l’Oise.
11 – : retrait du front et transport par voie ferrée de Montdidier dans la région de Poperinge.
- : engagée au fur et à mesure de son arrivée en Belgique, dans la bataille d'Ypres, à l’est d’Ypres : combats vers Zonnebeke. Puis stabilisation et occupation d’un secteur vers Zonnebeke et le bois du Polygone (exclu), étendu à droite, le , jusqu’à la lisière sud du bois du Polygone, et à gauche, le , jusqu’au sud de Broodseinde.
: attaque allemande.
: attaque française.
2 – : retrait du front et mouvement vers Poperinghe ; repos. À partir du 5, transport par voie ferrée dans la région d’Estrées-Saint-Denis ; repos.
– : occupation d’un secteur vers l’Écouvillon et le massif de Thiescourt. À partir du , poursuite des troupes allemandes lors de leur repli stratégique (opération Alberich) : progression jusqu’au canal Crozat.
19 – : retrait du front ; repos vers Noyon et Salency.
– : mouvement vers le front et occupation d’un secteur dans la région Essigny-le-Grand, le canal Crozat.
20 – : retrait du front, mouvement vers Luzarches ; puis, le , transport par voie ferrée de la région de Persan-Beaumont, dans celle de Revigny.
– : mouvement vers le front, et, à partir du 1er juillet, occupation d’un secteur vers les Paroches et Kœur-la-Grande (éléments détachés aux 17e et 13e CA).
15 – : retrait du front ; mouvement, de la région de Saint-Mihiel, vers celle de Verdun.
– : mouvement vers le front, puis, à partir du , occupation d’un secteur au bois des Caures et à la Wavrille. Pendant la bataille de Montfaucon, combats sur les Hauts-de-Meuse ; progression en direction de Flabas. Puis organisation des positions conquises.
3 – : retrait du front (relève par des éléments américains). Mouvement vers Liverdun : préparatifs d’offensive.
Décorations et citations
Le 8 décembre, le général Alix porte à la connaissance de ses troupes, la citation adressé à la 26e division d'infanterie : « Ordre n° 67 » « Au moment où la 26e Division cesse d'être sous ses ordres le Général commandant le 9e corps d'armée ne veut pas se séparer d'elle sans lui avoir exprimé toute sa satisfaction pour le concours qu'elle lui a donné.» « Sous l'impulsion du chef distingué qui la commande, elle a fait preuve, en toutes circonstances, d'une activité incessante, montrant dans deux attaques les plus belles qualités offensives, faisant preuve dans ses tranchées sans cesse bombardées, d'une solidité inébranlable sous le feu, y repoussant notamment une forte attaque de l'ennemi, en lui infligeant des pertes sévères.» « Le Général commandant le 9e Corps d'Armée exprime à tous, officiers et soldats, ses remerciements.» « Signé : Général Dubois. »
« « Cet ordre constate ainsi les qualités offensives et défensives dont la 26e Division a su faire preuve en des circonstances difficiles et qu'elle avait déjà montrées, de même que la 25e division, la 4e brigade marocaine, les troupes non endivisionnées, et le 22e régiment d'infanterie territorial, en maints combats, depuis le début de la campagne.» « Sur les sept drapeaux ennemis qui sont actuellement déposés à l'Hôtel des Invalides, deux ont été enlevés par les troupes de la 13e région militaire.» «Chacun aura à cœur d'augmenter le nombre de ces trophées.» «Au Q. G. le 8 décembre 1914.» «Le Général commandant le 13e CA Signé : Alix. »
et tous les services (Sapeurs mineurs, télégraphique, compagnie auto de transport, groupe sanitaire divisionnaire, groupe d'exploitation, etc.)
Algérie 1962-1963
La 26e division d'infanterie est recréée en juillet 1962 à partir du commandement territorial du Sahara, avec un poste de commandement à Reggane. Devenue 26e division le , elle est constituée de deux brigades, la 51e brigade à Colomb-Béchar à et la 52e brigade à Ouargla[7].
↑La 3e brigade marocaine, provisoirement rattachée à la 26e DI le 15 septembre 1914, est en réserve du 13e CA le 16, passe à la 37e DI le 17 septembre.
↑Les 17 et 18 septembre 1914, la 51e brigade est à la disposition de la 37e DI.
↑Dès le 30 décembre 1914, des éléments de la 86e DT sont mis à la disposition de la 26e DI. Le 18 juin 1915, lors de la dissolution de la 86e DT, les 69e et 70e RIT passent temporairement à la 26e DI. Du 19 au 28 septembre 1915, des éléments de la 51e DI sont aux ordres du général commandant la 26e DI. Ces éléments occupent un secteur vers Dancourt et l’Échelle-Saint-Aurin et préparent une offensive sur Roye.
↑Du 27 au 29 mars 1916, les éléments non endivisionnés du 13e CA, et les 25e et 26e DI forment un regroupement de reconstitution, sous les ordres du général Debeney, commandant la 25e DI, tandis que le général Alby, commandant le 13e CA commande un secteur au front.
↑Annuaire de l'Armée française pour l'année 1874 (lire en ligne), p. 126, 128
↑Annuaire de l'Armée française pour l'année 1875 (lire en ligne), p. 128
↑Annuaire officiel de l'Armée française, troupes métropolitaines et troupes coloniales, pour l'année 1914 (lire en ligne), p. 81
↑Historique des 113e, 313e, 413e régiments d'artillerie lourde, Clermont-Ferrand, Imprimerie générale, 52 p. (lire en ligne), « 8e groupe (155 C.) », p. 43