- : repli sur Amiens. Le , transport par VF dans la région de Pontoise ; repos et travaux d'organisation défensive sur la rive sud de la Viosne. À partir du mouvement vers Mitry-Mory.
6 , : attaques françaises vers la bascule de Quennevières et la ferme Touvent. Du 20 au , mouvement de rocade et occupation d'un secteur entre l'Oise et la ferme Quennevières, étendu à droite, le jusque vers Moulin-sous-Touvent et réduit à gauche le jusque vers Tracy-le-Val.
- : mouvement par Saint-Remy-en-l'Eau et Grandfresnoy vers la région de Compiègne et occupation d'un secteur entre Tracy-le-Val et l'Oise, étendu à droite le 1er mars jusque vers la ferme Quennevières.
4 - : retrait du front, stationnement vers Harbonnières.
- : mouvement vers le front. Engagée à nouveau dans la bataille de la Somme, devant Estrées-Deniécourt.
: attaque française
: prise de l'îlot d'Estrées. En réserve du au , puis occupation d'un secteur vers Estrées-Deniécourt et Soyécourt.
17 - : retrait du front, transport par camions dans la région de Noyers-Saint-Martin ; repos.
- : transport par camions dans la région d'Harbonnières. Engagée pour la troisième fois dans la bataille de la Somme, vers Estrées-Deniécourt et Soyécourt.
: attaque française entre Estrées-Deniécourt et Soyécourt.
4, 5, 6 et : attaques françaises sur Deniécourt.
8 - : retrait du front, à partir du transport par VF dans la région de Villers-Cotterêts ; repos.
- : transport par camions vers le nord et occupation d'un secteur vers Pernant et Hautebraye. Du au , mouvement de rocade, puis occupation d'un secteur vers Plessis-de-Roye et L'Écouvillon ; réduit à droite le jusqu'au massif de Thiescourt. À partir du , éléments envoyés à l'instruction dans les régions de Fayel et d'Arsy.
1917
- : poursuite des troupes allemandes, lors de leur retrait stratégique durant l'opération Alberich. Mouvement en direction de Noyon, Chauny et Tergnier. Le , occupation de Tergnier.
: attaque sur un front Moÿ-de-l'Aisne, Cerizy puis organisation des positions conquises, vers Cerizy et le nord de Vendeuil.
- : retrait du front ; regroupement vers Vivières, puis mouvement vers Villers-Cotterêts, à partir du 1er juin défense de la forêt de Villers-Cotterêts.
8 - : retrait du front et mouvement vers Nanteuil-le-Haudouin ; le , transport par VF dans la région de Baccarat ; repos.
- : mouvement par étapes vers la région de Rethel, puis occupation d'un secteur entre Thugny-Trugny et Ambly-Fleury, déplacée vers la droite les 23 et entre l'ouest d'Ambly-Fleury et l'ouest d'Attigny. À partir du , poussée vers la Meuse. Poursuite des troupes allemandes sur l'axe Amagne, Saint-Loup-Terrier, Poix-Terron ; le prise de Mézières. Combats dans cette région jusqu'à l'armistice.
Pour préparer chacune des deux hypothèses, les 248e et 337e régiments d'infanterie organisent la position sur la Meuse respectivement au nord et au sud correspondant au cas Dyle et le 265e régiment d'infanterie la position Rocroi – Signy-l'Abbaye correspondant au cas Escaut[4].
Bataille de France
Entrée en Belgique le , la division doit se replier dès le 12. Le 17, elle repasse derrière l'Oise, ne comptant alors qu'environ 200 hommes. Arrivée à Beauvais, elle rejoint Quittebeuf puis Louviers (dans l'Eure), où elle est dissoute le 27 mai. Ses éléments rescapés rejoignent les 236e et 241e divisions légères d'infanterie[2].
↑ a et bJacques Sicard, « Les régiments d'infanterie de série B et leurs insignes », Militaria Magazine, , p. 46-51 (ISSN0753-1877)
↑Bruno Chaix, En mai 1940, fallait-il entrer en Belgique ? : décisions stratégiques et plans opérationnels de la campagne de France, Paris, Economica, coll. « Campagnes & stratégies » (no 35), , 2e éd., 349 p. (ISBN2-7178-4149-0), p. 136-137.