Confrontė à la dislocation de l'Autriche-Hongrie, l'empereur et roi Charles Ier renonce à l'exercice du pouvoir. Proclamations successives de la république dans les États successeurs.
22 janvier : démission du gouverneur général du Soudan françaisJoost van Vollenhoven, en désaccord avec Blaise Diagne, qui préconise une levée en masse parmi les populations africaines. Il sera tué la même année sur le front. Blaise Diagne parvient à mobiliser 63 000 recrues[1]. En 1918, 95 bataillons de tirailleurs « sénégalais » sont engagés en Europe, en Afrique et en Orient. 180 000 soldats africains ont été recrutés par la France pour le front européen entre 1914 et 1918. À leur retour, ayant appris à lire et acquis des connaissances techniques et militaires, ils aspirent à de nouveaux emplois, ce qui provoque l’émergence d’une nouvelle classe sociale parmi les Noirs.
12 juillet : révoltés à la suite d'une rafle de conscrits ordonnée par l’administrateur Grange, des insurgés sahoué s’emparent de cinq cents kilos de poudre au dépôt de Grand-Popo, au Dahomey, puis le 14 juillet, ils sabotent la ligne télégraphique. Une palabre organisée à Doutou par le gouverneur Fourn tourne à la bataille rangée et l’administrateur Grange est tué. Le mouvement s’entend à tout le cercle de Mono et l’ordre n’est rétabli qu’en janvier 1919[8].
12 juin : les États-Unis font approuver une Constitution à Haïti lors d’un référendum truqué[19]. Le pays est administré conjointement par les États-Unis et un dictateur fantoche.
7 octobre : décret du président Hipólito Yrigoyen reprenant presque intégralement le Manifeste de Córdoba pour la réforme de l’université en Argentine[21]. Les dispositions sont appliquées aux autres universités en Argentine, et la réforme se diffuse dans toute l’Amérique latine.
22 novembre, Chili : marche contre le coût des aliments organisée à Santiago par l'Asamblea Obrera de Alimentación Nacional ; d’autres manifestations suivent le et le [24].
28 février, Inde : Gandhi prend la tête d’une grève des ouvriers du textile à Ahmedabad, qui débouche le 18 mars sur un compromis avec les industriels[27].
15 mars, Inde : premier jeûne se rattachant à une action publique de Gandhi, pour soutenir la grève des ouvriers de filatures d’Ahmedabad[27].
22 mars-6 juin, Inde : Gandhi lance une nouvelle campagne de satyagraha pour aider les paysans du district de Kheda au Gujarat dans leur lutte pour obtenir une baisse de l’impôt foncier face à la famine[27].
Mars : des troupes chinoises franchissent la frontière mongole avec l’autorisation du Bogdo Gegen, sous prétexte de protéger la frontière orientale contre la Russie soviétique[28]. Arrivée de Russes blancs en Mongolie. Mouvement panmongoliste, soutenu par le Japon et dirigé par l’AtamanSemionov[29].
débarquement à Vladivostok de 160 fusiliers marins japonais après l’assassinat de quatre commerçants japonais[30]. Début des opérations de l’armée japonaise en Sibérie contre la Russie soviétique.
10 août : l’accord de Chamdo, cessez-le-feu dans le conflit armé entre le Tibet et la Chine est conclu avec l’aide des Britanniques. Des efforts sont entrepris pour résoudre le problème tibétain avec la médiation britannique, (août 1919), mais ils ne donnent pas de résultats[37].
8-10 janvier : des Abkhazes et des Tatars, appuyés par des hommes de la « Division sauvage », attaquent et pillent les convois militaires russes en gare de Chamkhor, près de Gandzak, faisant plus d’un millier de morts[41].
13 janvier : décret du Sovnarkom reconnaissant l’indépendance de l’Arménie « turque » conquise au printemps 1916 par l’armée russe[42].
14 février : Stephen Pichon, ministre français des Affaires étrangères, envoie une lettre officielle à Nahum Sokolow dans laquelle il affirme que « l’entente est complète entre les gouvernements français et britannique en ce qui concerne la question d’un établissement juif en Palestine ». Le 9 mai, c’est au tour du gouvernement italien d’envoyer une lettre à Sokolow, qui parle de la formation « d’un centre national israélite » et mentionne le respect des « droits politiques » des communautés non juives. Le président Wilson ne prend pas position officiellement, mais le 31 août, dans une lettre au rabbin Stephen Wise, il exprime sa satisfaction devant les progrès du mouvement sioniste depuis la déclaration Balfour[44].
12 mars : les troupes ottomanes reprennent Erzurum et le 25 mars, elles ont atteint la frontière d’avant-guerre[43]. Les chrétiens qui n’ont pas fui Erzurum sont massacrés. Les troupes arméniennes se replient sur Kars tandis que les irréguliers arméniens qui couvrent leur retraite perpètrent des massacres de civils musulmans[47]
30 mars-2 avril : évènements de mars ; de 3 000 à 12 000 personnes, majoritairement des Azéris, sont massacrés à Bakou et aux alentours par des Arméniens radicaux et les troupes bolchevique[49],[50].
les Arméniens, au préalable sous la domination tsariste, proclament leur indépendance, fondant la république autonome d’Arménie, reconnue par les Alliés en 1920[46]. 450 000 Arméniens se sont réfugiés dans l’Arménie indépendante, réduite à 9 000 km2. Ils s’ajoutent au 310 000 habitants (230 000 Arméniens, 80 000 musulmans). 40 000 réfugiés se trouvent dans la seule ville d’Erevan. La famine, le choléra et le typhus font plus de 180 000 victimes dans les six premiers mois.
14 septembre : les Britanniques doivent se retirer de Bakou. La population arménienne est massacrée. Les Turcs de Nouri Pacha entrent dans la ville le 16 septembre[60].
30 septembre : Français et Britanniques signent un nouvel accord interprétatif de l’accord Sykes-Picot, qui reconnaît l’existence d’une zone d’influence française en Syrie mais établit l'unité du commandement allié sous le commandement d’Allenby[62].
5 octobre, Syrie : Fayçal, au nom du sultan Hussein, installe un « gouvernement constitutionnel indépendant » arabe à Damas, présidé par Ali Rida Rikabi, qui entend avoir autorité sur l’ensemble de la région[64]. La tension s’installe entre Français et Arabes.
7 octobre : la division navale de Syrie, commandée par le contre-amiral Varney, pénètre dans la rade de Beyrouth où la rejoint le lendemain le général Bulfin, commandant le 21e corps britannique puis le détachement français du colonel de Piépape, nommé par Allenby gouverneur militaire de la ville[65]. Le 13 novembre, la France prend position à Alexandrette, Tripoli et Lattaquieh[66].
30 octobre : signature de la convention de Moudros qui démobilise immédiatement l’armée ottomane[46]. Confiscation de la flotte, reddition des forces actives dans les régions arabes et évacuation de la Transcaucasie. La circulation dans les Détroits est libre et la région est occupée par les Alliés. Tous les moyens de communications ottomans sont rendus libres d’utilisation aux Alliés. L’article 7 permet aux vainqueurs d’occuper certains points stratégiques de leur choix.
7 novembre : le Royaume-Uni obtient de la France qu’elle signe une déclaration commune affirmant que le but des Alliés en Orient est « l’établissement de gouvernements et d’administrations indigènes » que les populations arabes « se seront librement données »[63].
en Égypte, les nationalistes, dirigés par Saad Zaghlul forment une délégation (en arabe, Wafd) qui rencontre le haut-commissaire britannique en Égypte, sir Reginald Wingate, qui refuse d’entendre leurs revendications et affirme que le Royaume-Uni doit maintenir sa souveraineté sur le pays[71].
28 novembre : les troupes anglo-françaises du Levant, renforcées de trois bataillons arméniens, débarquent à Alexandrette, dans le but de créer en Cilicie un foyer national arménien sous la protection de la France. Répondant à l’appel du haut-commissaire Georges-Picot, 150 000 Arméniens émigrés en Syrie et en Mésopotamie viennent s’installer dans la région[72].
2-4 décembre : Clemenceau et Lloyd George se rencontrent à la conférence de Londres et s’entendent pour un nouveau partage des responsabilités au Proche-Orient. La France accepte que la Palestine ne soit pas internationalisée et passe sous l’influence du Royaume-Uni. Elle lui cède également la région de Mossoul, mais en échange obtient une participation à l’exploitation du pétrole de Mésopotamie. Clemenceau reste ferme sur la présence française en Syrie[62],[70].
Les Britanniques organisent en Mésopotamie une consultation populaire dont les questions sont clairement dirigées en faveur de la constitution d’un État arabe sous contrôle britannique et dirigé par un émir. Dans le sud, sous l’influence des notables religieux chiites, la présence britannique est refusée et les populations réclament un État arabe s’étendant de Mossoul à Bassorah et dirigé par un roi arabe musulman. Les populations sunnites, essentiellement urbaines, revendiquent un État arabe qui pourrait être inclus dans une confédération régionale.
7 décembre : les troupes françaises, accompagnées de bataillons de volontaires arméniens, occupent Antioche, puis Mersin le 17 décembre. Deux jours plus tard, elles sont à Tarse, et après un court engagement à Dörtyol le même jour, elles établissent leur quartier général à Adana le . Le 27 décembre, elles achèvent la conquête de la Cilicie en prenant la position stratégique de Pozantı sur le défilé de Gülek. En octobre et , Français et Arméniens occupent Adana, puis Marach, Antep (Gaziantep) et Urfa (Şanliurfa) pour relever les Britanniques, ce qui provoque des frictions entre la population musulmane et les Arméniens sous uniforme français[73].
8 janvier : le président Wilson annonce son programme de paix en « Quatorze points »[77] : souveraineté de la Belgique, libération de la France, développement autonome des peuples de l’Autriche-Hongrie, création d’une Société des Nations. Il vise à transposer la démocratie libérale à l’échelle internationale et à asseoir l’expansion commerciale sur un ordre international mutuellement consenti.
28 mars : le général Pershing met les forces américaines à la disposition de Foch[92]. Plus de deux millions de soldats américains sont envoyés en Europe à partir d’avril (50 000 victimes). Ce renfort continu (200 000 hommes par mois) renverse l’équilibre au profit de l’Entente.
8 avril : le Congrès des nationalités de l’Autriche-Hongrie est ouvert à Rome[98]. Celles-ci proclament leur volonté d’indépendance. Les États-Unis donnent leur accord au démantèlement de l’Autriche-Hongrie à la fin mai, suivi par le Conseil militaire de l’Entente, qui inclut aux buts de guerre la création de la Pologne, de la Tchécoslovaquie et d’un État des Slaves du Sud (Yougo-slavie).
28 avril : élections présidentielles directe, sénatoriales et législatives au Portugal, remportées par le dictateur Sidónio Pais et son parti nationaliste républicain (Partido Nacional Republicano) regroupant les républicains de droite, créé pour l’occasion le 30 mars[106].
1er-2 mai : deuxième conférence d’Abbeville. Foch réclame l’autorité sur le front italien mais n’obtient qu’un pouvoir de coordination[91].
18 juillet : bataille de Château-Thierry, dans le cadre de la seconde bataille de la Marne[109]. Début de la grande contre-offensive alliée. Les Alliés (Français et Américains) obligent les troupes Allemandes à se replier au nord de la Marne. Les Allemands doivent renoncer à l’offensive prévue dans les Flandres.
Août : début de la seconde vague de l’épidémie de grippe espagnole, qui va faire plus de 20 millions de morts (fin en 1920). Elle se déclenche simultanément à Brest (France), Freetown (Sierra Leone) et Boston (États-Unis)[118].
réunion à Spa du gouvernement, du haut commandement et de l’empereur d’Allemagne : les généraux, confrontés à l’épuisement de l’armée, suggèrent de demander l’armistice sur la base des Quatorze points de Wilson[125].
4 octobre : le socialiste Victor Adler fait voter au Reichsrat de Vienne une résolution qui reconnaît à tous les peuples de l’empire austro-hongrois le droit à l’autodétermination[127].
5 - 6 octobre : le dirigeant slovène Anton Korošec et le serbe Svetozar Pribićević forment à Zagreb un Comité national des Slovènes, Croates et Serbes reconnu par tous les Slaves de la monarchie austro-hongroise. Le 29 octobre, ils proclament la cessation des liens politiques avec l’Autriche[130]. Le , à Genève, sous la pression des Alliés (Clemenceau, Wilson), ils se rallient à la déclaration de Corfou du . Les représentants des différents peuples sous souveraineté autrichienne et hongroise se réunissent à Zagreb, organisent un gouvernement provisoire et approuvent une résolution d’union avec la Serbie[131].
13 décembre : le Président Wilson débarque à Brest du cuirassé George Washington pour participer aux négociations de paix, premier Président américain en exercice à se rendre sur le continent européen.
proclamation d’une république soviétique en Lituanie, reconnue par Lénine le 22. Le gouvernement lituanien fuit de Vilnius à Kaunas devant l’avance de l’Armée rouge. Début des Guerres d’indépendance lituaniennes[168].
Congrès jusqu'au 21 décembre à Berlin des soviets d'ouvriers et de soldats ; il donne la majorité au SPD contre le USPD, rejette une proposition de constitution socialiste fondée sur les soviets et adopte une motion fixant les élections de l'Assemblée nationale au 19 janvier 1919[169].
4 avril : à la suite du meurtre d’un de leurs ressortissants, les 500 fusiliers marins japonais débarquent à Vladivostok, suivis par des marins britanniques le 7 avril[186].
9 avril ( du calendrier julien) : le Parlement de Bessarabie vote en faveur du rattachement à la Roumanie, qui n’est pas reconnu par la Russie soviétique[187].
25 octobre : note alliée aux États neutres organisant le blocus de la Russie[180].
13 novembre : un décret du Comité Exécutif central panrusse du Comité des Soviets annule le traité de Brest-Litovsk et décrète le droit à l’auto-détermination des peuples des territoires évacués par les austro-allemands[180].
18 novembre : coup d’état à Omsk. L’amiral Koltchak, soutenu par les Alliés, renverse le gouvernement provisoire « panrusse » et se proclame « régent suprême de Russie »[180].
↑ a et bJoseph-Roger de Benoist, Église et pouvoir colonial au Soudan français : les relations entre les administrateurs et les missionnaires catholiques dans la Boucle du Niger, de 1885 à 1945, Karthala Éditions, , 539 p. (ISBN978-2-86537-169-3, présentation en ligne).
↑Bakari Kamian, Des tranchées de Verdun à l'église Saint-Bernard : 80 000 combattants maliens au secours de la France, 1914-18 et 1939-45, Karthala, , 468 p. (ISBN978-2-84586-138-1, présentation en ligne).
↑(es) Mariano Barroetaveña, Ideas, política, economía y sociedad en la Argentina (1880-1955), Buenos Aires, Editorial Biblos, , 212 p. (ISBN978-950-786-582-4, présentation en ligne).
↑ a et bArturo Andrés Roig, Hugo Edgardo Biagini, Carlos Alemián, El pensamiento alternativo en la Argentina del Siglo XX, vol. 2, Editorial Biblos, , 551 p. (ISBN978-950-786-409-4, présentation en ligne).
↑Luis Javier Garrido, El Partido de la Revolución Institucionalizada. Medio siglo de poder político en México : La formación del nuevo estado (1928-1945), Siglo XXI, , 380 p. (ISBN978-968-23-1710-1, présentation en ligne).
↑Carlos Augusto Addor, A insurreição anarquista no Rio de Janeiro, Achiamé, (présentation en ligne).
↑Michael L. Conniff, Frank D. McCann, Modern Brazil : Elites and Masses in Historical Perspective, U of Nebraska Press, , 305 p. (ISBN978-0-8032-6348-2, présentation en ligne).
↑Ignacio Rodriguez Terrazas, Protesta y Soberanía Popular : Las Marchas del Hambre en Santiago de Chile 1918-1919, Santiago, Centro de Estudios Miguel Enríquez, (présentation en ligne).
↑(en) Robert L. Willett, Russian Sideshow : America's Undeclared War, 1918-1920, Washington (D.C.), Potomac Books, Inc., , 327 p. (ISBN978-1-57488-429-6, présentation en ligne).
↑ abcd et eAnahide Ter Minassian, Pierre Vidal-Naquet, Histoires croisées : diaspora, Arménie, Transcaucasie, 1880-1990, Éditions Parenthèses, , 291 p. (ISBN978-2-86364-076-0, présentation en ligne).
↑Arthur Beylerian, Les grandes puissances, l'Empire Ottoman et les Arméniens dans les archives françaises (1914-1918) : documents réunis et présentés par Arthur Beylerian, Université de Paris I--Panthéon-Sorbonne, (présentation en ligne).
↑Stephen F. Jones, The Making of Modern Georgia, 1918-2012 : The First Georgian Republic and Its SuccessorsRoutledge Contemporary Russia and Eastern Europe Series, Routledge, , 364 p. (ISBN978-1-317-81593-8, présentation en ligne).
↑ a et bKarim Atassi, Syrie, la force d'une idée : architectures constitutionnelles des régimes politiques, Paris, l'Harmattan, , 436 p. (ISBN978-2-343-04778-2, présentation en ligne).
↑Erik J. Zürcher, The Young Turk Legacy and Nation Building : From the Ottoman Empire to Atatürk's Turkey, I.B.Tauris, , 368 p. (ISBN978-0-85771-807-5, présentation en ligne).
↑ a et bAnnette Becker, Hamit Bozarslan, Vincent Duclert, Raymond Kévorkian, Gaïdz Minassian, Claire Mouradian, Mikaël Nichanian, Yves Ternon, Le génocide des Arméniens : Un siècle de recherche 1915-2015 : Le génocide des Arméniens, Armand Colin, , 368 p. (ISBN978-2-200-60304-5, présentation en ligne).
↑Ian W. Hall, Achievement : The Righting of a Great Wrong, 1914 to 1918 : A monograph in too many words, Troubador Publishing Ltd, (ISBN978-1-78306-863-0, présentation en ligne).
↑Antoine Capet, Philippe Romanski, Aèissatou Sy-Wonyu, Pauvreté et inégalités en Grande-Bretagne, 1942-1990, Publication Univ Rouen Havre, 236 p. (ISBN978-2-87775-812-3, présentation en ligne).
↑André Damany, La Russie de mars 1917 à mars 1918 : Entre deux révolutions. De l’abdication du Tsar au Traité de Brest-Litovsk, Société des Ecrivains, (ISBN978-2-342-02338-1, présentation en ligne).
↑Ghislain de Castelbajac, Sébastien de Gasquet, Georges-Henri Soutou, Recherches sur la France et le problème des nationalités pendant la Première Guerre mondiale : Pologne, Ukraine, Lituanie, Presses Paris Sorbonne, , 230 p. (ISBN978-2-84050-053-7, présentation en ligne).
↑ a et bHoria C. Matei et Constantin C. Giurescu, Histoire chronologique de la Roumanie, Editura științifică și enciclopedică, (présentation en ligne).
↑William Johnston, William G.P. Rawling, Richard H. Gimblett, John MacFarlane, Du littoral à la mer, vol. 1, Dundurn, , 1185 p. (ISBN978-1-55488-910-5, présentation en ligne).
↑Peter Simkins, From the Somme to Victory : The British Army's Experience on the Western Front 1916-1918, Pen and Sword, , 256 p. (ISBN978-1-78159-312-7, présentation en ligne).
↑ a et bHenry Corda, La guerre mondiale (1814-1918) : les grandes opérations sur terre et sur mer, Chapelot, (présentation en ligne).
↑P. G. L. Dutil, Capitaine Dutil, Les chars d'assaut : leur création et leur rôle pendant la guerre 1915-1918, Berger-Levrault, (présentation en ligne).
↑ a et b(pt) Jorge Fernandes Alves, A universidade na república : a república na universidade : a UP e a I República (1910-1926), Porto, Universidade do Porto, , 459 p. (ISBN978-989-8265-90-6, présentation en ligne).
↑Leendert Jan Dorsman, Peter Jan Knegtmans, Onderzoek in opdracht : de publieke functie van het universitaire onderzoek in Nederland sedert 1876, vol. 3, Uitgeverij Verloren, , 163 p. (ISBN978-90-8704-014-7, présentation en ligne).
↑Jos van Meeuwen, Lijden aan eenheid : katholieke arbeiders op zoek naar hun politiek recht (1897-1929), Uitgeverij Verloren, , 412 p. (ISBN978-90-6550-605-4, présentation en ligne).
↑F. M. Cutlack, The Australian Flying Corps in the Western and Eastern Theatres of War 1914-1918, vol. 8, Andrews UK Limited, , 565 p. (ISBN978-1-78149-017-4, présentation en ligne).
↑D.G. Lowes, Documents and statements relating to peace proposals & war aims, December 1916- November 1918, Londres, George Allen & Unwin ldt (présentation en ligne).
↑R. A. Stradling, Carrefours d'histoires européennes : perspectives multiples sur cinq moments de l'histoire de l'Europe, Council of Europe, , 404 p. (ISBN978-92-871-6077-5, présentation en ligne).
↑ a et bStéphanie Dalbin, Visions croisées franco-allemandes de la Première Guerre mondiale : étude de deux quotidiens : la Metzer Zeitung et L'Est Republicain, Peter Lang, , 396 p. (ISBN978-3-03911-250-0, présentation en ligne).
↑ a et bIvan Katchanovski, Zenon E. Kohut, Bohdan Y. Nebesio et Myroslav Yur, Historical Dictionary of Ukraine, Scarecrow Press, (ISBN978-0-8108-7847-1, présentation en ligne).
↑(en) Blanca Rodriguez Ruiz, Ruth Rubio-Marín, The Struggle for Female Suffrage in Europe : Voting to Become Citizens, Leiden/Boston, BRILL, , 500 p. (ISBN978-90-04-22425-4, présentation en ligne).
↑Jaroslav Hroch, David Hollan, George F. McLean, National, Cultural, and Ethnic Identities : Harmony Beyond Conflict, CRVP, , 331 p. (ISBN978-1-56518-113-7, présentation en ligne).
↑Michael H. Bernhard, Institutions and the Fate of Democracy : Germany and Poland in the Twentieth Century, University of Pittsburgh Pre, , 328 p. (ISBN978-0-8229-7275-4, présentation en ligne).
↑Académie de droit international de La Haye, Création et disparition de l'État (à la lumière du démembrement de trois fédérations multiethniques en Europe), Martinus Nijhoff Publishers, (ISBN978-90-411-1397-9, présentation en ligne).
↑ a et bRené Bustan, Les relations roumano-hongroises dans la perspective de la construction européenne, Éditions Publibook, , 829 p. (ISBN978-2-7483-3570-5, présentation en ligne).
↑Karen Knop, Sylvia Ostry, Richard Simeon et Katherine Swinton, Rethinking Federalism : Citizens, Markets, and Governments in a Changing World, UBC Press, , 364 p. (ISBN978-0-7748-0500-1, présentation en ligne).
↑Bernd Zielinski et Brigitte Krulic, Vingt ans d'unification allemande : histoire, mémoire et usages politiques du passé, Bern/Berlin/Bruxelles, Peter Lang, , 258 p. (ISBN978-3-0343-0555-6, présentation en ligne).
↑Céline Gervais-Francelle, Russes, Slaves et Soviétiques : pages d'histoire offertes à Roger Portal, Publications de la Sorbonne, , 462 p. (ISBN978-2-7204-0280-7, présentation en ligne).