– : stationnement dans la région de Versailles ; organisation défensive du secteur sud-ouest du camp retranché de Paris, et instruction.
: transport par VF à Cherbourg ; puis transport par mer, de Cherbourg à Dunkerque. À partir du 11, transport par VF vers Caëstre et occupation du mont des Cats.
: mouvement vers Poperinge, puis organisation d'une position sur le ruisseau de Reningelst, entre le mont des Cats et Vlamertinge.
17 – : mouvement vers Noordschote ; occupation, en liaison avec l'armée belge, et mise en état de défense des passages du canal, vers Zuidschote et Noordschote : , combats vers Noordschote.
– : retrait du front, éléments en secteur, à la disposition des 11e et 39e DI[1].
1915
11 – : retrait du front et repos dans la région de West-Cappel.
– : occupation d'un secteur vers Poelcappelle et la maison du Passeur[2].
13 – : retrait du front, transport par camions et mouvement vers Rexpoëde ; repos.
20 – : transport par VF, de Bergues et de Dunkerque, dans la région de Villers-Hélon ; repos.
– : occupation d'un secteur vers Venizel et Condé-sur-Aisne. À partir du , extension du front, à gauche, jusqu'à Soissons. Le , extension à droite, jusque vers Soupir, et, le , extension à gauche, jusqu'à Pernant[3].
1916
– : retrait du front, stationnement dans les régions de Château-Thierry, de Reims, puis de Fismes ; travaux.
1917
– : occupation d'un secteur entre la ferme des Marquises et les abords est de Reims[4] (éléments occupés à des travaux): à la fin d'avril, attaques locales fréquentes de l'ennemi (2e bataille de l'Aisne).
: retrait du front, mouvement vers Épernay ; repos.
↑Du au , l'une des brigades est mise à la disposition de la 11e DI Du au , l'autre brigade est à la disposition de la 39e DI ; à partir du , cette brigade est mise à la disposition de la 11e DI ; à partir du , elle passe aux ordres de la 87e DT Du 14 au 30 mars, les deux brigades de la 89e DT sont aux ordres de la 87e DT.
↑Du au , l'une des brigades de la 87e D.T. est mise à disposition de la 89e DT. Du 9 au 13 avril, les deux brigades de la 87e DT sont à la disposition de la 89e DT.
↑Du 15 septembre au 11 décembre 1916, la 89e DT dispose de la 215e brigade territoriale.
↑Du 16 février au 30 mars 1917, le général commandant la 89e DT commande le secteur qui est occupé par une brigade de la 37e DI, et par des éléments de la 89e DT. Les autres troupes de la 89e DT sont en réserve de l'armée.
Voir aussi
Bibliographie
AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).