Soldats du 161e RI (80e brigade) en manœuvres, 1905.
La division est créée par décision du . Son quartier général est à Saint-Mihiel et elle est rattachée au 6e corps d'armée. La division est composée de deux brigades[3] :
- : retrait du front et mouvement, par Eix, vers Troyon-sur-Meuse ; engagée aussitôt dans la région Lamorville, Seuzey, puis stabilisation et occupation d'un secteur vers Maizey et Seuzey[5].
- : mouvement vers le front. Tenue prête à intervenir, pendant les attaques françaises des 14 et , au nord de Vienne-le-Château. À partir du , occupation d'un secteur vers le Four de Paris et la Fontaine aux Charmes[6] :
: attaque allemande vers la Fontaine aux Charmes.
11 - : retrait du front et transport par VF de Sainte-Menehould dans la région de Jâlons : repos[6].
- : mouvement vers le front ; puis, à partir du , occupation d'un secteur au nord de Saint-Hilaire-le-Grand : préparatifs d'attaque[6].
1er - : retrait du front (éléments laissés en ligne jusqu'au ) ; repos dans la région de Combles[7].
- : réoccupation du secteur la Meuse, la Hayette (Bataille de Verdun)[7]
23, 24, 29 et : violentes attaques allemandes sur le Mort-Homme.
2 - : retrait du front (éléments laissés en ligne jusqu'au ); repos vers Combles. À partir du , transport par camions dans la région de Void ; repos[7].
- : mouvement vers le front ; occupation d'un secteur entre Saint-Agnant et la Meuse[7].
3 - : retrait du front ; transport par VF de la région de Void, dans celle de Baccarat. À partir du , occupation d'un secteur entre la Chapelotte et la vallée de la Vezouze[7].
- : retrait du front et mouvement vers le camp de Saffais ; repos et instruction. À partir du , transport par VF de la région Blainville-sur-l'Eau, Bayon, Charmes, dans celle de Conty ; repos et instruction vers Hardivillers[7].
- : retrait du front ; repos vers Maxey-sur-Vaise et Vaucouleurs. À partir du , mouvement par étapes vers le camp de Bois l'Évêque ; repos et instruction[9].
Chiens de tranchée du 1er bataillon du 161e RI au boyau « Poincaré », près de Lesménils, mars 1918.
- : transport par camions vers le front, puis occupation d'un secteur vers Clémery et le Bois-le-Prêtre[9].
- : transport par VF vers Épernay. À partir du , engagée, au fur et à mesure des débarquements, dans la 3e Bataille de l'Aisne (au nord de Fleury-la-Rivière et vers la montagne de Reims). Résistance à l'offensive allemande au sud-ouest de Reims ; stabilisation du front vers Champlat-et-Boujacourt et Cuisles[9].
15 - : retrait du front ; puis repos vers Rosières-aux-Salines. À partir du , transport par camions dans la région de Possesse ; repos et instruction[10].
Le , le lieutenant-colonel Deville, commandant le 251e RI de la 40e DI, rencontre des officiers du 166e régiment d'infanterie(en) américain (42e DI américaine), avant leur entrée commune dans la ville de Sedan.