La rue Raymond-Lens comprend plusieurs villas remarquables (inventaire des monuments historiques, inventaire général du patrimoine culturel) ou intéressantes par leur intérêt architectural ou historique.
Début de la rue Raymond-Lens à l'intersection avec le boulevard Jules-Pouget
1-3 - (angle avec le 79, boulevard Jules-Pouget) résidence Grand Voile[1],[2],[3], construite en 2019 à l'emplacement des deux villas : au n°1 (lot 86) villa Sainte-Barbe et au n°3 (lot 87) villa Capucine. Cet immeuble en copropriété comprend 10 appartements[4].
3b (lot 88) - villa Marie-Ange, repeinte et débaptisée en 2022.
7 (lot 91) - (entrée au 108, rue de Paris) - Commerce au rez-de-chaussée : Carré des Oyats[6] (« Articles de bureau » dans les années 1970).
Intersection avec la rue de Paris
9-11-13 (lot 69) - résidence Le Britannia[1] (entrées 97, rue de Paris et 11, rue Raymond-Lens)[7], construite en 1905[I 1] immeuble en copropriété de 24 appartements[8] - Commerce au rez-de-chaussée : Carré des Oyats.
19 (lot 66) - petit immeuble de 1974[I 2] en copropriété de six appartements sur trois niveaux[9].
21-23 (lot 65) - Commerces au rez-de-chaussée : ligne Roset et meubles Flahaut (ex-Marneffe), Coiffure Valentin (ex-Opale-Gym) : entrée à l'angle de la rue de Londres. Permis de construire pour une extension par surélévation (Art Line), en date du .
Intersection avec la rue de Londres
25-27 (lot 176) - Commerce au rez-de-chaussée : Roche-Bobois(quincaillerie et cycles Romain, dans les années 1970).
29 (lot 177) - association Sports, Santé et Arts Martiaux.
31 (lot 178) - Commerce au rez-de-chaussée : restaurant Le Coq Hardi[10] dont l'activité déclarée depuis 2010 est « dégustation, débit de boissons 3e catégorie, restauration »[11].
33 (lot 179) - Commerce au rez-de-chaussée : Diable au Corps[12] (mercerie dans les années 1970).
Intersection avec la rue de Metz
35 (lot 401, entrée au 91, rue de Metz) - Commerces au rez-de-chaussée : Chocolats de Beussent-Lachelle, fromagerie Pasquier (« Aux Mille Couleurs » dans les années 1970).
37 et 37 bis (lot 152) - villa Brise Marine, construite en 1951[I 3]
39 et 39 bis (lot 151) - villa dont le nom Douceur angevine a disparu avec les rénovations.
41 (lot 150) - villa dont le nom L'Aubépine a disparu avec les rénovations. Siège de la société Raphaël Cambier[13].
41b (lot 147) -
43-45 (lot 146) - construction d'une extension en 2020, peinture en 2022.
47 (lot 137) -
49 (lot 135) - maison en angle agrandie par une construction terminée en .
Intersection avec la rue de Moscou
51 (lot 134) - (entrée 73, rue de Moscou) Hôtel Jules (ex Hôtel de la Forêt).
59 (lot 127) - villa dont le nom Pamplemousse a disparu avec les rénovations.
61 (lot 114) - villa Farandole[1], construite en 1913[I 4], extensions construites à la suite des permis de construire du et du .
63-65-67 (lot 113) - villa dont le nom Le Freluquet a disparu avec les rénovations. Permis de construire du pour une extension et surélévation + construction d'une remise.
69 (lot 109) - villa Primerose, construite en 1909[I 5], repeinte et débaptisée en 2022.
angle (lot 400) - (entrée 76, boulevard Daloz) Résidence Ambassadeur[1], construite en 1971-1972 à l'emplacement de la villa Bengalis. Cet immeuble en copropriété comprend dix appartements[4].
Fin de la rue Raymond-Lens à l'intersection avec le boulevard Daloz : début de l'avenue Raymond-Lens
2 (lot 96) - résidence L'Ouragan[1],[14], dont la construction a été terminée en 1985[15] à la place de la villa L'Ouragan construite pour la famille Watine en 1898 sur les plans de l'architecte Paul Ridoux[16]. « Évacué pour cause d'amiante »[17], l'immeuble est « prisonnier d’un imposant échafaudage »[18]. En 2021, après quatre ans de procédures, « l’immeuble Ouragan n’est pas près d’être libéré de son encombrant échafaudage »[19]. Les échafaudages ont été retirés fin 2023. L'immeuble en copropriété comprend 41 appartements[15].
6 (lot 92) - petit immeuble de 1971 en copropriété de quatre appartements[20], commerce au rez-de-chaussée : Bulthaup. Dans les années 1970, au 1er étage, restaurant « Diamant rose ».
Intersection avec la rue de Paris
8 (lot 111)- Commerce au rez-de-chaussée : Carré des Oyats
10.1 / 10.2 / 10.3 (lot 285) -
12 (lot 114) - villa, construite en 1928[I 6] dont le nom Les Picontins a disparu avec les rénovations. En haut de la construction, on lit, gravé dans la pierre : « FRE DEY 1928 ».
14 (lot 224) - villa Outremer[1], anciennement Grosvenor.
16 (lot 115) - villa Mon Moulin[1] et villa Playtime[1] à gauche, peinte en jaune.
18 (lot 117) - villa dont le nom Magdeleine a disparu avec les rénovations.
20 (lot 118) - villa L'Amaryllis[1], anciennement Saint-Eugène.
22 (lot 119) - villa dont le nom Saint-Jules a disparu avec les rénovations.
24 (lot 254) - villa dont le nom Marie-Germaine a disparu avec les rénovations.
26 (lot 255 - entrée au 94, rue de Londres) - Commerce au rez-de-chaussée : Café de la Poste ; construit en 1901, c'est en 2019 le plus ancien café du Touquet-Paris-Plage[21]
Intersection avec la rue de Londres
angle (lot 185 - entrée au 87, rue de Londres) - Commerce au rez-de-chaussée : Level&Louasse (ex Tabac-Presse)
28 (lot 349) - villa dont le nom Les Capucines a disparu avec les rénovations - Commerces au rez-de-chaussée : kinésithérapeutes[22],[23].
30-32 (lot 183) - villa dont le nom Les Lilas blancs a disparu avec les rénovations. La construction a été coupée en deux. Au no 30, la façade est recouverte d'un placage brique.
34 (lot 180) - Commerce au rez-de-chaussée : Atol (ex « Hôtel Ville de Lille » puis « Droguerie de la Poste » puis « Crémerie centrale »).
Intersection avec la rue de Metz
36 (lot 198) - résidence Calypso[1], construite en 1928[I 7] - Commerces au rez-de-chaussée : Hector&Léon et La Cabane (2024) (ex Energy Vélo en 2023 et ex Opale Ride en 2022).
38 (lot 199) - villa, construite en 1961[I 8], dont le nom Ouf a disparu avec les rénovations.
villa La Crysalide[1], entrée au 98, rue de Moscou.
Intersection avec la rue de Moscou
54-56-56bis (lot 219) -
58-60 - villa due à l'architecte Anatole Bienaimé (plaque de l'architecte sur la façade), coupée en deux :
au 58 (lot 223) Nid d'été[1], permis de construire du pour une rénovation par le cabinet d'architectes Quételart.
au 60 (lot 376) : Petit Clos[1], construite en 1903[I 12].
62-64-66-68 (lot 421) (entrée au 66) - résidence Penny Lane[1] construite en 1999 en remplacement des trois villas : Roselys, Chantebrise (ex Milou), La Rocaille. Cet immeuble en copropriété comprend 23 appartements[24].
70 (lot 239) - villa Petit Chelem, construite en 1924[I 13], repeinte et débaptisée en 2021.