Après 27-22 (18x27) 35-30 (24x35) 33-29! si les Noirs ferment (12 ou 13-18) 29-24 (19x30) 28x10 B+
(18x27) 35-30 (24x35) 33-29! si les Noirs ferment (12 ou 13-18) 29-24 (19x30) 28x10 B+
35-30 (24x35) 33-29! si les Noirs ferment (12 ou 13-18) 29-24 (19x30) 28x10 B+
(24x35) 33-29! si les Noirs ferment (12 ou 13-18) 29-24 (19x30) 28x10 B+
33-29! si les Noirs ferment (12 ou 13-18) 29-24 (19x30) 28x10 B+
si les Noirs ferment (12 ou 13-18) 29-24 (19x30) 28x10 B+
Après (13-18), par exemple, 29-24 (19x30) 28x10 B+
(19x30) 28x10 B+
28x10 B+
Passage à dame, puis gain des Blancs
Dans une position dite « classique », un sacrifice est fait afin d'écarter le pion central adverse 24 et menacer doublement, par 33-29, l'autre pion central 23[4]. Le véritable gambit Dussaut est toutefois de deux pions, un autre sacrifice ayant retiré le pion noir 18[5],[6]. Voir animation.
Daniel Lanfrey, « Le gambit Dussaut », sur www.jeudedames-rhonealpes.fr.
Philippe Jeanneret, Jeu de dames - Exercices de style, Bornemann, , 114 p. (ISBN2851826565).
Nicolas Guibert, La partie classique - Du débutant au joueur confirmé. De la tactique à la stratégie., N. Guibert, , 44 p. (OCLC68279344).
Jean Chaze, Les Dames : Règles - Technique - Conseils, Solar, coll. « Solarama », , 64 p. (ISBN9782263001079).
Notes et références
↑Dubois 2016, p. 39. « Ce gambit porte le nom du premier champion du monde Alfred DUSSAUT qui l'exécuta en 1886 contre le joueur hollandais Klaas de HEER. »
↑Jeanneret 2003, p. 29. « Très étudié après la venue en France de l'africain Woldouby vers 1913, […], le style classique, […], s'est longtemps imposé dans les compétitions internationales. »
↑Lanfrey. « Les caractéristiques de ce gambit sont la position classique, le sacrifice 35-30 (16-21 pour les noirs), ou plus rarement 25-20 (26-31) ; suivi de l’attaque 33-29 (18-22). »
↑Dubois 2016, p. 39. « Les Blancs sacrifient d'abord deux pions avant d'attaquer par 33-29 »
↑Guibert 1995, p. 37. « Ce double-gambit est appelé gambit Dussaut du nom de celui qui le plaça pour la première fois en 1886 à Amiens lors de son duel contre De Heer. »