À ce jour, deux mesures non basées sur le décalage vers le rouge (redshift) donnent une distance de 149,500 ± 27,577 Mpc (∼488 millions d'al)[5], ce qui est à l'intérieur des valeurs de la distance de Hubble.
NGC 6054 fait partie du superamas d'Hercule[6]. Steinicke utilise la désignation DRCG 34-... pour plusieurs galaxies du superamas d'Hercule. Cette désignation indique que ces galaxies figurent au catalogue des amas galactiques d'Alan Dressler[7]. Le nombre 34 correspond au 34e amas du catalogue, soit Abell 2151, et les chiffres suivant 34 et le tiret indiquent le rang de la galaxie dans la liste.
Pour NGC 6054 la base de données NASA/IPAC utilisent les désignations suivantes :
ABELL 2151:[D80] 077 pour le catalogue de Dressler ;
ABELL 2151:[BO85] 016 pour le l'article de Butcher et Oemler[8] ;
ABELL 2151:[MGT95] 117 pour l'article Maccagni, Garilli et Tarenghi[9] ;
ABELL 2151:[FBD2002] k01 pour l'article de Fasano, Bettoni et D'Onofrio[10].
↑M. Tarenghi, W. G. Tifft, G. Chincarini, H. J. Rood et L. A. Thompson, « The Hercules supercluster. I - Basic data », Astrophysical Journal, vol. 234, no 1, , p. 793-801 (DOI10.1086/157558, Bibcode1979ApJ...234..793T, lire en ligne [html])
↑H. R. Butcher et Jr. Oemler A., « The evolution of galaxies in clusters. IV. Photometry of 10 low-redshift clusters. », Astrophysical Journal, Suppl. Ser., vol. 57, , p. 665-6691 (DOI10.1086/191022, Bibcode1985ApJS...57..665B)
↑Dario Maccagni, Bianca Garilli et Massimo Tarenghi, « The Complex Structure of Abell 2152 (Hercules) », Astronomical Journal, vol. 109, , p. 465 (DOI10.1086/117291, Bibcode1995AJ....109..465M)
↑G. Fasano, D. Bettoni, M. D'Onofrio, P. Kjærgaard et M. Moles, « The scaling relations of early-type galaxies in clusters. I. Surface photometry in seven nearby clusters », Astronomy and Astrophysics, vol. 387, , p. 26-39 (DOI10.1051/0004-6361:20020318, Bibcode2002A&A...387...26F, lire en ligne [PDF])