Les avis diffèrent sur la classification de NGC 3756, spirale intermédiaire selon les bases de données NASA/IPAC et HyperLeda et barrée selon le professeur Seligman et par Wolfgang Steinicke. L'image obtenue des données de l'étude SDSS ne montre pas la présence d'une barre, ni même d'un début de barre. La classification de spirale intermédiaire, ou même de spirale ordinaire, semble mieux convenir à cette image.
À ce jour, 28 mesures non basées sur le décalage vers le rouge (redshift) donnent une distance de 19,454 ± 3,607 Mpc (∼63,5 millions d'al)[3], ce qui est à l'intérieur des valeurs de la distance de Hubble. Puisque cette galaxie est relativement rapprochée du Groupe local, il est probable que cette valeur soit plus près de la distance réelle de NGC 3756. Notons que c'est avec la valeur moyenne des mesures indépendantes, lorsqu'elles existent, que la base de données NASA/IPAC calcule le diamètre d'une galaxie.
Trou noir supermassif
Selon un article basé sur les mesures de luminosité de la bande K de l'infrarouge proche du bulbe de NGC 3147, on obtient une valeur de 105,7 (500 milles masses solaires) pour le trou noir supermassif qui s'y trouve[6].
Supernova
P Wiid de l'université de Berne a rapporté la découverte de la supernova 1975T dans cette galaxie le . Le type de cette supernova ne semble pas avoir été déterminé[7].
Plusieurs galaxies des six groupes de Garcia ne figurent pas dans la liste du groupe de M101 de Mahtessian. Il y a plus de 120 galaxies différentes dans les listes des deux auteurs. Puisque la frontière entre un amas galactique et un groupe de galaxie n'est pas clairement définie (on parle de 100 galaxies et moins pour un groupe), on pourrait qualifier le groupe de M101 d'amas galactique contenant plusieurs groupes de galaxies.
↑ a et bA.M. Garcia, « General study of group membership. II - Determination of nearby groups », Astronomy and Astrophysics Supplement Series, vol. 100 #1, , p. 47-90 (Bibcode1993A&AS..100...47G)
↑Abraham Mahtessian, « Groups of galaxies. III. Some empirical characteristics », Astrophysics, vol. 41 #3, , p. 308-321 (DOI10.1007/BF03036100, lire en ligne, consulté le )