Cet article présente la composition du gouvernement français sous le Premier ministreRaymond Barre du au , pendant la présidence de Valéry Giscard d'Estaing (1974-1981)[1]. Il s’agit du deuxième gouvernement de Raymond Barre.
Contexte de formation
Contexte politique et économique
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Choix des ministres
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Composition initiale
Raymond Barre est nommé Premier ministre par un décret du [2], les ministres du gouvernement par un décret en date du [3],[4] et les secrétaires d'État par un décret en date du [5],[4].
Paul Dijoud (FNRI/PR), jusqu'alors secrétaire d'État à l'Aménagement du territoire auprès du ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du territoire, est nommé le secrétaire d'État à la Jeunesse et aux Sports[8] (le poste de secrétaire d'État à l'Aménagement du territoire auprès du ministre de l'Équipement et de l'Aménagement du territoire est de fait supprimé).
Fernand Icart (FNRI/PR) entre au gouvernement et est nommé ministre de l'Équipement et de l’Aménagement du territoire en remplacement de Jean-Pierre Fourcade ;
André Bord (RPR), jusqu'alors secrétaire d'État aux Anciens Combattants, est nommé secrétaire d'État auprès du Premier ministre chargé des Relations avec le Parlement en remplacement de Christian Poncelet ;
Jean-Jacques Beucler (CDS), jusqu'alors secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense, est nommé secrétaire d’État aux Anciens combattants en remplacement d'André Bord (le poste de secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense est de fait supprimé).
Remaniement du 10 janvier 1978
Une promotion et la nomination de deux postes de secrétaires d'État sont à l'origine de ce remaniement[10] :
Alice Saunier-Seïté, jusqu'alors secrétaire d'État aux Universités, devient ministre des Universités ;
Monique Pelletier entre au gouvernement comme secrétaire d'État auprès du garde des sceaux, ministre de la Justice ;
Nicole Pasquier (FNRI/PR) est nommé secrétaire d’État auprès du ministre du Travail chargé de l’Emploi féminin.
Raymond Barre lance un plan de restructuration de la sidérurgie française le 20 septembre 1978[11].
Les résultats de la politique de lutte contre l'inflation de Raymond Barre sont lents à arriver : le taux d’inflation passe de 9,6 % en 1976 à 9,1 % en 1978.
Cependant, en 1978, à la veille du deuxième choc pétrolier, la balance commerciale française, qui s'était creusée, devient à nouveau positive, dégageant un excédent de 32 milliards de francs[12].
Le Premier ministre continue sa politique de "pactes pour l'emploi" qui vise à diminuer le chômage des jeunes, à travers le pacte pour l'emploi 1977-1978, mis en place en 1976, qui est suivi de deux autres (1978-1979 et 1979-1980). Adressés aux jeunes entre 16 et 25 ans, puis à partir du deuxième pour les mères seules, ces pactes sont fondés sur une exonération des charges, de la simplification du contrat de travail avec la création de CDD de six mois, et un volet "formation" centré sur l'apprentissage. Le chômage des jeunes n'est pourtant pas enrayé, passant de 7% en 1976 à un peu moins de 10% en 1978.
Analyse de la popularité
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?