L'origine de Châteauvillain est inconnue mais sa première trace remonte à 852 comme l'atteste la découverte en 1836, lors du démantèlement de la cour du château, de pièces de monnaie frappées de l'inscription « Karolus II, imperator » et portant la date de 852. Une autre preuve indirecte de l'existence de Châteauvillain est donnée dans une charte datée de 949 d'Achard, évêque de Langres, à l'intention de Dagobert, seigneur de Fontettes et d'Essey, localités situées près de Châteauvillain, qui l'autorisait à donner des terres à une abbaye proche : "Anno Ludovici Regis XIV, nempe Christi 949, novembris 18, Archardus episcopus, Henrici successor, nobili cuidam fideli suo, Dagoberto, velut ex indulgentia concessit ut praedia quaedam ex iis, quae apud Fontetas et Esceyum possidebat"[1].
La « Décade historique » de Vignier donne une origine pittoresque au nom de la ville ; il y explique qu'elle s'appelait anciennement « Château-Gentil à l'Arbre d'or » et qu'on trouvait une représentation en peinture et relief des armoiries de la ville accolées à la représentation d'un arbre doré dont les branches portaient la devise « l'Arbre-d'Or ». Un seigneur de Château-Gentil avait enlevé une princesse de force ; son forfait l'ayant obligé à se réfugier en Espagne, sa seigneurie fut confisquée et en punition le nom fut changé en « Château-Villain ». Pour garder le souvenir de ce crime un poteau de fer fut planté au milieu de la place du château et il y resta jusqu'en 1566[1].
Hôpitaux, religion et foires
Avant 1260, date de l'affranchissement des habitants par Jean Ier de Châteauvillain, la ville comptait cinq hôpitaux dont l'un, nommé « les Bons-Hommes » ou « Macherets », fondé en 1184, se situait à l'écart de la ville et était destiné à recueillir les voyageurs et les pèlerins. Les quatre autres établissements hospitaliers se nommaient « l'Hôtel-Dieu », « la Maison-Dieu », tous deux à l'intérieur de la ville, et « l'hôpital des lépreux » situé au lieu-dit « la Trinité » où se trouve maintenant la « chapelle de la Trinité » et « la Maison du Saint-Esprit ». En plus de ces édifices, la ville comptait un chapitre de chanoines, une communauté de religieuses de Sainte-Élisabeth et un couvent d'hommes. Dès 1190, une chapelle fondée par Hugues III de Broyes, existait au château ; en 1260 elle était érigée en collégiale[1].
Depuis le XIIIe siècle des foires et des marchés existaient à Châteauvillain, comme le prouve une charte stipulant que « Adelinette de Criancei, damoiselle à la noble fame Jehanne, dame de Chatiauvilain et Lusey, donne au chapitre deus souls de provens, fors de Champaigne, à panre chascun touz jourz mais en la foire de Saint-Berchaire és deniers que le sire de Chatiauvilain lui doit ». Un autre document daté de 1270 cite la « foire de Chastiauvillain » lors de laquelle Jean de Chateauvillain devait cinquante sous au curé Renaut. Enfin, à la même époque il existait une rue du marché, située « derrière les halles ». Trois autres foires sont obtenues par la ville en 1625 et fixées au , et [1].
Fortification de la ville
Du fait de sa position sur la frontière entre deux États, la ville de Châteauvillain dut très tôt se fortifier. En 1351 les seigneurs avaient organisé une compagnie d'arbalétriers composée d'hommes volontaires, dispensés pour leur peine des corvées envers la ville. En 1364 ces soldats s'organisèrent en une confrérie ayant pour patron saint Thomas de Canterbury, et firent ériger une chapelle en son honneur dans l'église Notre-Dame.
Cette petite armée venait en complément du dispositif défensif construit dès 1251 et décrit dans la charte d'affranchissement, où il est dit que la ville comporte des forteresses et une double enceinte : « Nous voulons pour nous et nos hoirs que toutes laes maisuns, les appendices et les places, li meis, li cortis et li jardin qui sont dedenz Chastiau-Villain et de forz joignant à nos murs et à nos foussés... ils (les habitants) sont tenus au relevé et au mond lou leu à lou constanges ; et tuil li postiés de nos fourtereces ou qu'il se demorront...et se nous avons guerre ouverte ils sont tenus au murer à lour propres depens touz les diz postiz toutes les fois qu'il en seront requis... ».
Le mur d'enceinte de la ville était percé de plusieurs portes avec pont-levis « tuit cil ou toutes celles de la franchise... seront quittes et de toutes autres corvées fors de la refection des pons de Châtiau-Vilain, lesquex ils doivent faire au tour et soutenir et nous leur devons bailler marrien et bois suffisant ».
À cette époque la ville comptait douze cents feux « et lors, ladite ville de Chastelvillain estoit et a esté jusques aux guerres de ce royaume tréffort peuplée et habundant, et y avoit de huit à douze feuz ou mesnages... ». Malgré ces fortifications, la ville fut presque entièrement détruite en 1425 et en 1562 et pour finir la peste décima les derniers habitants en 1578[1].
Mariages et succession :
Il épouse en premières noces Jeanne, fille de Gui de Milly et d'Agnès de Reynel, puis en secondes noces Jeanne (1245 - ?), dame de Semur-en-Brionnais, de Luzy, de Bourbon-Lancy et d'Uchon, fille de Simon de Semur et d'Isabelle de Beaujeu. Du premier mariage il a :
Simon II, qui suit ;
Guyot/Guy (? - 1288), fonde la branche de Luzy (voir plus bas) ;
Mariage et succession :
Il épouse en 1321 Marguerite (? - avant 1353), dame de Villeneuve, fille de Miles de Noyers et de Jeanne de Dampierre, avec qui il a :
Mariages et succession :
Sa première épouse est inconnue. Il épouse en secondes noces en 1433 Isabeau, fille de Guy VI de La Trémoille et de Marie de Sully. Il a :
Du premier mariage :
Jeanne (? - ) ;
Marie (? - ) ;
D'une relation hors mariage il a :
Bernard, "bâtard de Châteauvillain", seigneur de Courtenoiges et de Villers-Monroyer ;
Robert, "bâtard de Châteauvillain", seigneur de Breuiande et de Briel.
Bernard de Châteauvillain (? - ou ), seigneur de Châteauvillain, de Thil-en-Auxois, de Grancey, de Pierrepont, de Marigny et de Neuilly.
Mariage et succession :
Il épouse Jeanne de Saint-Clair "dite de Vez", avec qui il a :
Anne de La Baume-Montrevel, dame de la Cour, d'Arcenay et de Grancey, épouse en premières noces Pierre III-IV d'Aumont (veuf de Françoise de Sully ; sans postérité d'Anne), puis en secondes noces en 1526 ou 1534 Jean de Hautemer : d'où le maréchalGuillaumede Fervaquesde Grancey ;
Jean, baron du Fay ;
Marie ;
Joachim, qui suit ;
Catherine de La Baume-Montrevel (vers 1510 - ?), épouse Jacques d'Avaugour-Courtalain avec qui elle a Jean d'Avaugour, qui suivra.
Joachim de la Baume (? - avant 1556), Ier comte de Châteauvillain, seigneur de Grancey, du Fay, de Selongey, de Gemeaux, de Thil-en-Auxois, de Marigny, de Milly, de la Roche-Vannel. Titré comte de Châteauvillain par le roi Henri II[1].
Mariage et succession :
Il épouse le Jeanne (° vers 1514 - † après 1579), dame d'honneur de Catherine de Médicis en 1579, fille de Nicolas de Moÿ et de Françoise de Tardes, avec qui il a Antoinette, qui suit.
Antoinette de la Baume (? - ), comtesse de Châteauvillain.
Mariage et succession :
Elle épouse Jean III d'Ailly d'Annebault (1540 - 1562), baron de Retz, seigneur de Machecoul, d'Annebault et de La Hunaudaye, commandeur de l'ordre de Saint-Michel et amiral de France, avec qui elle a Diane (? - ). Sans héritier, cette dernière désigne son cousin Jean d'Avaugour comme successeur.
Jean d'Avaugour (? - ), seigneur de Courtalain, dernier comte héréditaire de Châteauvillain, baron de Grancey. Le comté passe à Louis d'Adjacette par acquisition[1].
Mariage et succession :
Il épouse à Paris le Anne d'Aquavive (vers 1551 - après 1593), dite "mademoiselle d'Atri", duchesse d'Astri et d'Amalfi, princesse de Melfi (royaume de Naples), fille d'honneur de Catherine de Médicis en 1589, fille de Gian francesco Acquaviva d'Aragona et de Susanna Camilla Caracciolo, avec qui il a :
Se fait construire en 1574 un hôtel particulier rue Vieille-du-Temple à l'emplacement de l'actuel Espace des Blancs-Manteaux. Cet hôtel devient en 1594 la propriété de François d'O ministre de Henri IV, est acquis par les Religieuses hospitalières de Saint-Gervais puis est détruit vers 1800 pour construire le marché des Blancs-Manteaux[8].
Scipion d'Adjacet ou "Scipion d'Aquavive d'Adjacette" (? - 1648), comte de Châteauvillain à partir de 1617. Ayant fait une carrière ecclésiastique il vend le comté à Nicolas de L'Hospital[1], acquéreur en 1622 du marquisat d'Arc-en-Barrois.
Mariage et succession :
Il épouse Geneviève, fille d'Octavien Dony et de Valence de Marillac, avec qui il a Joseph (? - 1648), comte de Châteauvillain.
Mariage et succession :
Il épouse Lucrèce-Marie Bouhier, veuve de Louis de La Trémoille, avec qui il a François-Marie.
François-Marie de L'Hospital (~ 1620 - Paris le ), duc de Vitry, comte de Châteauvillain, il fait clore le parc du château[1].
Mariage et succession :
Il épouse le Marie-Louise-Élisabeth-Aimée (vers 1628 - † Paris le ), fille de Claude Pot et de Louise Henriette de la Châtre, avec qui il a :
Louis-Marie-Charles (1653 - Paris le ), comte de Châteauvillain ;
Nicolas-Jean, mort jeune ;
Marie-Françoise-Élisabeth (vers 1660 - ), épouse le Antoine Philibert de Torcy.
À partir des L'Hospital ducs de Vitry, le comté de Châteauvillain et le marquisat d'Arc-en-Barrois retrouvent un destin commun : vente en 1679 à Jean-André comte de Morstein (Jan Andrzej Morsztyn), ambassadeur de Pologne en Suède puis en France, père de Michel-Adalbert de Morstein comte de Châteauvillain († 1695, époux en 1693 de Marie-Thérèse d'Albert de Luynes fille du duc Charles-Honoré). Les Morstein les cédèrent vers 1693 ou 1699/1700 à Louis Alexandre de Bourbon (1678-1737), comte de Toulouse et amiral de France, fils naturel de Louis XIV. Son fils Louis Jean Marie de Bourbon (1725-1793), duc de Penthièvre, hérita des domaines qui formèrent, sous les Bourbon-Toulouse-Penthièvre, le duché de Châteauvillain, duché-pairie en 1703. Par la fille du duc de Penthièvre, Louise-Marie-Adélaïde, duchesse d'Orléans par son mariage avec Philippe-Égalité et mère de Louis-Philippe, les domaines d'Arc et Châteauvillain passèrent aux Orléans.
Branche de Pleurs et de Baye
Hugues de Châteauvillain (? - après 1314), seigneur de Pleurs et de Baye, fils de Simon II de Châteauvillain et de Marie de Dampierre.
Mariage et succession :
Son épouse est inconnue. Il a :
Guillaume (? - 1349), seigneur de Pleurs ;
Robert (? - après 1344), seigneur de Baye, épouse en 1321 Jeanne d'Anglure, dame de Vauclerc (? - 1344), avec qui il a :
Simon, qui suit ;
Robert, seigneur de Baye et de Vauclerc, épouse Marguerite, dame de Trainel et de Vaucler, fille de Jean Ier de Trainel et de Marie de Barbançon.
Simon de Châteauvillain (? - avant 1353), seigneur de Pleurs et de Baye.
Mariage et succession :
Il épouse Marguerite (? - 1401), dame de Molinot, fille de Jean de Frolois et d'Isabeau de Montreal, avec qui il a : (Jean, Marie et Béatrix qui suivent sont plutôt donnés comme les enfants de Robert de Châteauvillain sire de Baye et Vauclerc - et de sa femme Marguerite de Traînel - et non de son frère Simon)
Béatrix (? - ), épouse en premières noces Colart du Bouchin, puis en secondes noces Jean de Châtillon-Dours, petit-fils de Jean IIde Châtillon.
Branche de Luzy
Guyot/Guy de Châteauvillain (? - 1288), chevalier, seigneur de Luzy, de Semur, d'Uchon et de Bourbon-Lancy, fils de Jean Ier de Châteauvillain et de Jeanne de Milly.
Mariage et succession :
Il épouse le Isabelle (? - ), dame de Jaligny-sur-Besbre, de la Montagne et de Crocq, fille d'Hugues de Châtillon-en-Bazois et d'Isabelle de Mello fille de Guillaume le Jeune de Mello-Saint-Bris, avec qui il a[9] :
Jean Ier, qui suit ;
Guillaume (? - 1328), dit "Guillaume de Luzy", seigneur de Boissy et de Villiers-sur-Romon, chanoine de Châlons, clerc et conseiller du Roi, trésorier de l'église de Reims, moine à Cluny, prieur à Marcigny ;
Alix ;
Jeanne ;
Marguerite ;
Marie (? - 1335), dame d'Uchon et Bourbon-Lancy, épouse en 1311 Guillaume de Mello (1295 - 1326), seigneur d'Époisses et de Givry.
Jean Ier de Châteauvillain (? - ), seigneur de Luzy, de Semur-en-Briennois, d'Uchon et de Bourbon-Lancy.
Mariages et succession :
Il épouse en premières noces avant le Isabeau de Torote, fille de Gaucher de Torotte et de Marie de Coucy-Vervins fille de Thomas III et petite-fille de Thomas II de Coucy[10] ; puis le il épouse en secondes noces Catherine de Beaujeu, fille de Louis de Forez et d'Éléonore de Savoie. Il a :
Du premier mariage :
Jeanne (? - après le ), dame de Semur-en-Brionnais, épouse le Guichard VI le Grand (? - ), seigneur de Beaujeu, avec qui elle a Blanche, Éléonore, Guichart VII, Guillaume et Robert ;
Du second mariage il a :
Jean II, qui suit ;
Jeanne/Jeannette, épouse Guy d'Autun, seigneur de Dracy-le-Loup.
Jean II de Châteauvillain (? - /1367), seigneur de Luzy et Bourbon-Lancy et d'Uchon.
Mariages et succession :
Il épouse en premières noces Marie, dame de La Roche-Milay, fille de Gérard de Châtillon et de Guillemette de Coulches ; puis en secondes noces Alix, dame de Drony, fille de Guillaume de Thianges et d'Hélissent de Barres. Il n'eut pas d'enfants de ses deux épouses.
Pour approfondir
Bibliographie
Jean-Baptiste Carnandet, Notes et documents pour servir à l'histoire de Chateauvillain, J. Techener, (lire en ligne)
André Duchesne, Histoire généalogique de la maison de Dreux de Bar le Duc, de Luxembourg et de Limbourg, Du Plessis de Richelieu, de Broyes et de Chasteauvillain, (lire en ligne), Seigneurs de Châteauvillain, de baye, et de Luzy, de la Maison de Broyes, pages 33 à 80
Articles connexes
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↑André Du Chesne Tourangeau, Histoire généalogique de la maison de Dreux de Bar le Duc, de Luxembourg et de Limbourg, Du Plessis de Richelieu, de Broyes et de Chasteauvillain, Paris, Sébastien Cramoisy, , 67 p. (lire en ligne).
↑La chronique d'Albéric de Trois-Fontaine confirme sa filiation : "Isabella domna de Baia, mater Symonis de Castro Villani (Isabelle dame de Baudement, mère de Simon de Châteauvillain)", une charte de 1200 précise : "Hugo dominus Brecarum (Hugues III seigneur de Broyes)" donne des biens situés à Clairvaux avec le consentement d'"Elisabeth uxor mea et Symon filius meus junior et Emelina filia mea domina de Chanlita (Élisabeth/Isabelle mon épouse et Simon junior mon fils et Emeline ma fille dame de Champlitte)" ; une autre charte de 1208 stipule : "Symon dominus Castrivillani (Simon seigneur de Châteauvillain)" enregistre un accord avec "comitem Theobaldum (le comte Thibaut Ier de Navarre", nommant "Symone domino Commarceii fratre meo primogenito (Simon II de Broyes-Commercy mon frère aîné". Enfin en 1219 un document signé de "Simon seigneur de Châteauvillain chevalier" confirme les donations de son père Hugues III de Broyes à l'abbaye Notre-Dame-d'Andecy (Simon Ier de Châteauvillain, Médiéval Généalogie.
↑Agnès épouse de Guillaume III est citée dans le contrat de mariage du 8 novembre 1257 de "Guillaume comes Jovigniaci (Guillaume comte de Joigny)" et sa seconde épouse "Isabellim, quondam filiam Guillelmi de Meloto militis (Isabelle fille de feu Guillaume de Mello)" par lequel Guillaume renonce à ses droits de succession en faveur de ses enfants "Isabellis, Joanna et Agnes" nés de son ex-épouse Agnès de Châteauvillain (voir Simon Ier de Châteauvillain, Médiéval Généalogie.
↑Jean Ier de Châteauvillain est cité dans le contrat de mariage de juin 1276 entre son fils Guyot et Isabelle de Jaligny : "Jehans sires de Chatiauvillain et de Luzi… Guiot sun fil" et "Guillaumes de Geligneys Chantres d´Auceurre… Ysabel fille jadis Huguon seigneur de Geligney et nièce dudit Chantre" (voir Simon Ier de Châteauvillain, Médiéval Généalogie.
↑"Symons ainnez fils Monseignour de Chasteau-vilein..." et "ma...feme Marie fille le Conte de Flandres" - voir Simon II de Châteauvillain, Médiéval généalogie.
↑Danielle Chadych, Le Marais : évolution d'un paysage urbain, Paris, Parigramme, , 638 p. (ISBN2-84096-188-1), p. 368-369
↑Une charte de 1301 cite : "domina Ysabelle quondam domina de Jaliniaco... domicellus Johannes de Castrovillani dominus de Luziaco filius quondam domini Guidonis de Castrovillani... et pro Guillermo fratre suo et Maria sorore sua... Aelidis et Johannæ sororum suarum (Isabelle dame de Jaligny... Jean seigneur de Châteauvillain et de Luzy fils de feu Guy de Châteauvillain... et pour son frère Guillaume et sa sœur Marie... et ses sœurs Alix et Jeanne)"... (Simon Ier de Châteauvillain, Médiéval Généalogie.
↑Le "Lignage de Coucy" (1303) stipule que : "la fille monsieur Thomas de Coucy le second" était mariée à "Gaucher de Torote" et qu'il avait deux filles dont "l´autre... Ysabeau... mariée au Sieur de Luzy, qui avoit esté fils Monsieur de Chasteauvilain" (voir Simon Ier de Châteauvillain, Médiéval Généalogie.