La représentation sculptée de la Mise au tombeau apparaît vers le milieu du XVe siècle et s'est répandue jusqu'à la fin du XVIe siècle et parfois même au-delà. On en dénombre encore 450 en Europe[1]. Elles sont révélatrices de la mentalité de la société de la fin du Moyen Âge et du début de la Renaissance, période où, dans l'art, domine la représentation de la souffrance, la douleur et la mort. Cependant, la plupart, loin d'être lugubres, sont imprégnées de sérénité et invitent à la méditation[1].
Les œuvres dans cette liste sont classées par région, département, commune, puis par lieu ou édifice (église, musée ou autre) et enfin par ordre chronologique.
Mise au tombeau, polychrome datée de 1495, offerte par le père Géraud Vitalis pour la reconstruction et la consécration de l'église. Classé MH (1902)[6].
Mise au tombeau de bois peint comprenant six des huit statues habituelles, plus deux personnages masculins placés au second plan. XVe siècle. Classé MH (1911)[9].
Mise au tombeau de pierre comprenant les huit statues habituelles. Les conditions de conservation ont fait que cet ensemble n'est pas en bon état. Fin du XIVe siècle. Inscrit MH (1926)[12].
Mise au tombeau, en pierre comportant 12 personnages datant de 1527 environ. Commandée par Edme Régnier de Romprey et Jeanne de la Ferté son épouse. Classé MH (1908)[13].
Mise au tombeau, en pierre de cinq personnages. Il manque, le Christ, Joseph d'Arimathie et Nicodème. Provient de l'église des Jacobins. Milieu du XVe siècle. Classé MH (1907)[14].
Mise au tombeau en pierre de 10 statues (les 8 traditionnelles plus 2 soldats en relief sur le sarcophage). Actuellement dans la chapelle ND Trouvée elle provient de l'église Saint Pierre détruite. Elle est entourée d'une grille de fer forgé depuis 1908. Un blason est sculpté sur la tombe. Selon Claude Courtépée le donateur serait N.Boyeau bourgeois de Pouilly. Elle est datée de 1521. Classé MH (1897)[15]
Restes d'une mise au tombeau comportant quatre personnages. Le Christ, la Vierge, un ange portant les instruments de la Passion et une statue de Saint-Jean dont le style ne correspond pas à celui des autres personnages. Il s'agit probablement d'un ajout. Début XVIe siècle[17]. Gisant Classé MH (1919)[18]; Tête de Nicodème Classé MH (1972)[19].
Mise au tombeau de sept personnages (il manque une Sainte Femme) en pierre peinte réalisée en 1550 aux frais de Jean Sardon lieutenant local du bailliage d'Amont. Classé MH (1904)[22].
Mise au tombeau de 1454 en marbre blanc comprenant les personnages habituels. Œuvre réalisée en par deux élèves de Claus Sluter, Jean Michel et Georges de la Sonnette grâce au don fait par Ancelot de Buranfosse marchand à Tonnerre et placée dans l'église du saint Sépulcre. Classé MH (1902)[25].
Mise au tombeau en pierre composée des huit personnages traditionnels provenant de l'Abbaye de Vauluisant. Deux Saintes Femmes sont isolées du groupe attribué à Gentil et Dominique de Troyes. Elle est datée de 1528. Classé MH (1886)[26].
Mise au tombeau en pierre composée des huit personnages traditionnels. Le Christ est en bois et date du XIVe siècle, les sept autres du XVIe. Proviendrait de l'abbaye Notre-Dame de Dilo. Classé MH (1905)[27].
Panneau d'une mise au tombeau intégrée dans l'autel. Elle comporte des personnages supplémentaires en retrait des habituels. Réalisée aux environs de 1575. Classé MH (1914)[28].
Mise au tombeau polychrome de 1676, avec ses neuf personnages en grandeur naturelle, sculpté dans du tuffeau par Antoine Chavagnac, sculpteur de la Marine à Brest. Classé MH (1906)[29].
Mise au tombeau polychrome : moulage réalisé à partir du sépulcre de la crypte de la cathédrale de Bourges (XVIe siècle), installé à Quimper en 1868[31].
Mise au tombeau, en calcaire de Saintonge, sculptée aux environs de 1500. Elle a totalement perdu ses peintures d'origine car elle fut malencontreusement entreposée de manière précaire dans le jardin de l'abbaye pendant plusieurs décennies. Classé MH (1958)[32].
Mise au tombeau dont il ne reste que le Christ gisant, réalisée vers 1520-1550 en pierre calcaire polychrome. Provenant de la chapelle du Saint-Sépulchre attenante à la chapelle du Saint-Esprit, elle est transférée dans l'église Saint-Gildas en 1921. Classé MH (2012)[34].
Ensemble monumental placé sous un portique comprenant 10 personnages en pierre peinte: les huit traditionnels plus, à droite, le donateur et son Saint Patron. Le chanoine Pierre Dubreuil aurait fait don au Chapitre en 1543. Les statues sur le mur au fond de la crypte ont une autre origine. Classé MH (1862)[35].
Mise au tombeau, groupe de huit statues de pierre datant du début du XVIe siècle[36].Elle provient de la chapelle du couvent des Cordeliers. Classé MH (1906)[37].
Corse
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Groupe sculpté «Le Saint Sépulcre ou Mise au tombeau », composée des 8 personnages habituels. Inscription : "Frère François Sarradin, commandeur de céans, a fait faire ce sépulcre en l'an mil cinq cens trente et ung, priez Dieu pour luy" (sur la bordure de la dalle funéraire du tombeau). La date de 1531 est gravée sur la bordure de la dalle funéraire du tombeau. Classé MH (1841)[46]
Mise au tombeau en pierre polychrome, de onze personnages (les huit habituels et trois autres qui pourraient être le donateur et des membres de sa famille)[49]. Cette œuvre est achevée en 1471 et placée dans la chapelle où elle se trouve toujours. Classé MH (1862)[50].
Mise au tombeau en pierre de huit personnages offerte par Antoinette de Bourbon veuve de Claude de Lorraine au couvent des Cordeliers qu'elle venait de créer. 1567. Classé MH (1903)[51].
Mise au tombeau de six personnages en pierre: le Christ, Marie-Madeleine, la Vierge et Saint-Jean, Marie Salomée, plus un personnage non identifié.Elle provient d'une ancienne église brûlée. Sur la robe de Marie-Madeleine figure la phrase suivante: Ave rabbi, spes meae lautis. 1507. On peut tenter la traduction suivante: Salut rabbin espérant que mes fautes me sont pardonnées. Classé MH (1961)[53].
Mise au tombeau (XVIe siècle) composée de 10 personnages (dont deux anges), le sépulcre a été élevé en 1515 dans la chapelle de l'ancien hôpital. Classé MH (1961)[54].
Mise au tombeau en pierre datant du milieu du XVIe siècle, dont il ne subsiste que trois personnages : Le Christ, Joseph d'Arimathie et Nicodème. Classé MH (1979)[55].
Mise au tombeau en pierre (entre 1520 et 1530). Ce groupe sculpté se compose de dix personnages : les huit habituels plus deux anges porteurs des instruments de la Passion. Classé MH (1908)[56].
Mise au tombeau composée de 13 personnages (21 si l'on compte les angelots), le sépulcre aurait été soit élevé par le souhait de Robert Ier de Bar (†1409) ; soit élevé entre 1415 et 1430 pour le tombeau de Baldemar-Johannis de Biebelnheim. Classé MH (1908)[57].
Mise au tombeau en pierre peinte (polychromie moderne) dont les statues mesurent 1,30 m. Le groupe comprend 11 personnages (8 habituels plus 3 hommes) dont la disposition peut être modifiée.Date du début du XVIe siècle. Classé MH (1929)[58].
Mise au tombeau en pierre comprenant les huit personnages habituel plus trois soldats et deux anges agenouillés. Date de la fin XVe, début du XVIe siècle. Cet ensemble ne se trouve pas à son emplacement d'origine[61]. Classé MH (1907)[62].
Une sculpture en terre cuite de faible taille représentant le Saint Sépulcre a été détruite en .
Actuellement on peut voir un ensemble composite comprenant Saint Jean et Marie-Madeleine (début XVIe) la Vierge et une Sainte Femme (fin XVIe) un Christ et deux anges (fin XVIe début XVIIe). Classé MH (1907), Déclassé MH(1951)[63],[64].
Groupe sculpté en stuc armé composé des huit personnages traditionnels de taille humaine. La scène représente l'Onction. Fin du XVIe, début du XVIIe siècle. Classé MH (1960)[66].
Calcaire taillé en haut relief vertical représentant la Mise au tombeau du Christ avec les 8 personnages traditionnels (environ 1,10 m de hauteur). Seconde moitié du XVIe siècle. Classé MH (1909)[67].
Cette Mise au tombeau en pierre, est composée de 12 personnages. Aux 8 habituels viennent s'adjoindre trois soldats (sur le sarcophage) et un ange. Cet ensemble date de la fin du XVe/début du XVIe siècle. Classé MH (1983)[70].
Mise au tombeau, composée des 8 personnages habituels auxquels viennent s'adjoindre deux anges. Cet ensemble du XVIe siècle vient de Xivry-Circourt en Meurthe et Moselle. Classé MH (1972)[71].
Placé dans une niche sous deux arcades de style flamboyant, le sépulcre regroupe autour du corps du Christ des anges et les Saintes Femmes. Le socle est sculpté de soldats. L'ensemble est de style Rhénan du XVe siècle. Classé MH (1968)[73].
Monumental Saint Sépulcre en grès du XIVe siècle avec Christ gisant veillé par deux anges debout.
Au-dessous, quatre soldats somnolent. Au-dessus, posée chacune sur une console sculptée et sous un dais, les trois Marie portant les aromates. Classé MH (1982)[75].
Mise au tombeau en pierre polychrome comprenant cinq personnages: Le Christ, Joseph d'Arimathie, Nicodème, la Vierge, saint Jean et Marie Madeleine.Il manque donc deux saintes femmes. XVIe siècle. Classé MH (1903)[78].
Mise au tombeau en pierre composée de neuf personnages:les 8 traditionnels et un ange.Elle a été transférée de l'ancienne chapelle des Tiercelins après la Révolution. XVe siècle. Classé MH (1846)[80],[81].
Monument (Onction) en pierre badigeonnée, jadis probablement polychrome, composé des huit personnages traditionnels.Date de la fin du XVe, début du XVIe siècle. Classé MH (1908)[82].
Mise au tombeau polychrome de neuf personnages (les huit traditionnels et un soldat) provenant du couvent des Franciscains. Milieu du XVe siècle. Classé MH (1905)[84].
Mise au tombeau (troisième quart du XIXe siècle) en pierre calcaire peinte en blanc L. Laget, sculpteur. L'œuvre est cassée en de nombreux endroits, en particulier sur les côtés latéraux[88].
Mise au tombeau de sept personnages en pierre peinte. Elle a été déplacée et restaurée en 1867 puis en 1994. Elle est surmontée par un tableau représentant la tombe du Christ vide. Classé MH (1906)[90].
Mise au tombeau en pierre peinte comprenant les huit personnages traditionnels. Elle date du milieu du XVIe siècle mais très endommagée lors de la Révolution, elle a été restaurée au XIXe. Classé MH (1913)[91].
Mise au tombeau de sept personnages en pierre (manque Marie-Madeleine). Vient de la chapelle Sépulcrale de Ferry d'Aumont. Très rénovée à la fin du XIXe siècle, les têtes ayant été très endommagées durant la Révolution. Date de la seconde moitié du XVIe siècle. Classé MH (1912)[92].
Mise au tombeau (fin XVIe siècle) en pierre polychrome. Onze personnages représentés dont trois soldats, gardiens du tombeau devant le sarcophage. Classé MH (1912)[93].
Partie de retable en bois polychrome doré représentant la mise au tombeau du Christ. Les huit personnages habituels sont représentés (XVIe siècle). Classé MH (1913)[94].
Mise au tombeau du XVIe siècle, endommagée à la Révolution française et reconstruite par J. Blondin en 1899. Sept personnages autour du Christ : Joseph d'Arimathie et Nicodème, Marie, l'apôtre Jean et les Saintes Femmes : Marie de Magdala, Marie Jacobé et Marie Salomé. Le Christ allongé dans le sarcophage est en bois alors que les autres personnages sont en pierre[100]. Classé MH (1906)[101].
Mise au tombeau (1506). Sept personnages autour du Christ : Joseph d'Arimathie et Nicodème, Marie, l'apôtre Jean, une sainte femme, Madeleine, une sainte femme. Tous les personnages sont en pierre. Classé MH (1904)[104].
Petite Mise au tombeau du XVIe siècle, œuvre d'un artiste local, proviendrait d'un monument funéraire. Quatre personnages représentés autour du Christ : Joseph d'Arimathie, Marie, l'apôtre Jean, Nicodème[105]. Classé MH (1907)[106].
Mise au tombeau (première moitié du XXe siècle) d'antependium d'autel, en mosaïque œuvre de Gérard Ansart. Quatre personnages représentés autour du Christ : la Vierge Marie, l'apôtre Jean, Marie-Madeleine et Nicodème[105]. Inscrit MH (1996)[107].
Mise au tombeau (1484), certainement l'une des plus anciennes de Picardie. Sept personnages entourent le Christ : Joseph d'Arimathie et Nicodème, sculptés en ronde-bosse, les autres personnages : Marie, l'apôtre Jean, Marie-Madeleine, deux saintes femmes, sont sculptés en haut-relief. Tous les personnages sont en pierre. Classé MH (1907)[108].
Petite Mise au tombeau (XVIe siècle), en bois polychrome. Sont représentés autour du Christ : Joseph d'Arimathie, Nicodème, Un personnage chauve et barbu (Simon de Cyrène ?), l'apôtre Jean, barbu, la Vierge Marie, et agenouillée, Marie-Madeleine[105]. Classé MH (1984)[110].
Mise au tombeau (première moitié du XXe siècle) d'antependium d'autel, œuvre en céramique de Maurice Dhomme, en bas-relief. Quatre personnages représentés autour du Christ : la Vierge, Marie-Madeleine, l'apôtre Jean et Nicodème[105].
Mise au tombeau (XVIe siècle), bas-relief en pierre représentant le Christ entouré des sept personnages traditionnels avec au premier plan trois donateurs. Classé MH (1909)[118].
Mise au tombeau du milieu du XVIe siècle, attribué à l'entourage de François Marchand. Vandalisée en 1932, l'œuvre est détruite mais connue par des photographies anciennes, et plusieurs fragments ont été retrouvés en 2009 au château d'Anet
Groupe sculpté en ronde-bosse représentant la Mise au tombeau, sous un enfeu. Les huit personnages traditionnels sont représentésInscrit MH (1927)[128].
Mise au tombeau, en pierre du XVIe siècle. Selon l'abbé Cochet, l'œuvre d'un artiste espagnol. Offerte par Jean de Saint-Ouen, seigneur du lieu, elle porte les armoiries de la famille. Classé MH (1908)[140].
Mise au tombeau en pierre de taille située dans la chapelle du château comprenant les huit personnages habituels. Elle fut réalisée au XVe siècle par les frères Pons et Armand de Gontant et Jean de Biron leur successeur. Cinq angelots voletaient au-dessus de la scène. En 1907 elle quitte le château pour entrer dans la collection Pierpont-Morgan et se trouve maintenant au Metropolitan Museum of Art[146]. Classé MH (1963)[147].
Haut relief de pierre monumental associant une descente de croix, une piéta, une déploration et une mise au tombeau comportant onze personnages plus des anges entourant la scène. Fin du XVe siècle. Classé MH (1846)[149].
Mise au tombeau en bois peint composée de sept personnages (il manque une Sainte Femme). Date de la fin XVIe début XVIIe siècle. Classé MH (1906)[151].
Mise au tombeau en pierre polychrome comprenant dix personnages. Les huit habituels plus un soldat et un homme inconnu placé au second plan. Ensemble fortement rénové[152].
Mise au tombeau de sept personnages en pierre peinte (une saint Femme n'est pas représentée) provenant de l'abbaye de la Trinité de Poitiers. Classé MH (1840)[153].
Mise au tombeau comprenant les huit personnages habituels. Il s'agit d'une copie de celle du Château de Biron. Moulage en plâtre réalisé par l'atelier Virebent de Toulouse à la fin du XIXe siècle. Inscrit MH (2003)[154],[155].
Mise au tombeau en pierre peinte comprenant les huit personnages habituels. Quatre anges surevollent la scène. Ressemble au groupe de Rodez. Début du XVIe siècle. Classé MH (1963)[157].
Mise au tombeau en bas relief fixée au mur comportant les huit personnages traditionnels et deux anges. L'attitude de la Vierge n'est pas habituelle puisqu'ici elle penche son visage vers la joue de son fils. Classé MH (1913)[159].
Mise au tombeau, composée des 8 personnages habituels. Cet ensemble date du XVIe siècle. La chapelle du sépulcre est richement décorée. De part et d'autre de l'enfeu veillent deux soldats; le tombeau est orné de deux anges. Classé MH (1905)[160].
Mise au tombeau de bois peint comprenant les huit personnages habituels. Le christ gisant date du XVe alors que les autres personnages sont du début du XVIIe siècle. Classé MH (1913)[164].
Mise au tombeau en calcaire polychrome (1522), semble avoir été déplacée depuis le cimetière vers 1735, œuvre du sculpteur Gnothus, commanditaire Arthuse de Melun, 1522. Classé MH (1902)[166].
Mise au tombeau de petite taille en pierre blanche de six figurines datant du XVIIe siècle.Située dans la chapelle Sainte Jeanne d'Arc. Classé MH (1908)[168].
Mise au tombeau (déploration) en terre cuite du XVIIe siècle.Située dans la chapelle Saint Pierre. Plusieurs artistes auraient participé à sa réalisation. Cette représentation est très proche de celle de Marolles-les-Braults. Classé MH (1862)[169].
Mise au tombeau en terre cuite peinte composée des 8 personnages habituels en grandeur nature. Statue exécutée par le sculpteur manceau Charles Hoyau après un marché fait le avec le curé de Marolles, François Angoulvent. Classé MH (1905)[171].
↑Sangouard Antoinette, Sangouard Jacques. L'autel du Saint-Sépulcre de Biron et le tombeau de l'évêque Armand de Gontaut.
In: Bulletin Monumental, tome 142, no 4, année 1984. p. 357-374;
doi : 10.3406/bulmo.1984.6425
http://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_1984_num_142_4_6425
↑Jacques Baudouin, Les grands imagiers d'Occident, volume 1, Éditions créer, , 260 p. (ISBN9782902894154, lire en ligne), p. 202.
Voir aussi
Bibliographie
Michel Martin, La Statuaire de la Mise au tombeau du Christ aux XVe et XVIe siècles en Europe Occidentale, Paris, Éditions Picard, , 414 p. (ISBN2-7084-0502-0)
Elsa Karsallah, « Un substitut original au pèlerinage au Saint-Sépulcre: les Mises au tombeau monumentales du Christ en France (XVe – XVIe siècles) », dans Reti Medievali Rivista, 2016, vol. 17, no 1, p. 417-428(lire en ligne)