« Un élytre droit vu par la face dorsale. L'échantillon en présente le moule interne.
Élytre large, légèrement bombé. Bord sutural droit ; bord marginal presque droit jusqu'au quart externe au delà duquel il s'arrondit vers le sommet ; scutellum petit, plus large que long ; bord antérieur à peine concave ; épaule arrondie ; épipleure très étroit ; surface marquée de quelques bosses faibles à l'avant ; ornementation en points creux irrégulièrement répartis. »[3].
Dimensions
La longueur de l'élytre est de 11,5 mm et la largeur de 6 mm[3].
Affinités
« Probablement identique à Chrysochloa pulchra Förster de Brunnstatt. mais ce dernier est de taille légèrement inférieure. Par ailleurs les caractères concordent. »[3].
Biologie
« Le g. Chrysochloa se rencontre en Europe. On les trouve dans les régions montagneuses le long des cours d'eau où ils vivent sur des plantes (Doronicum, Hieracium). »[3].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
[1937] Nicolas Théobald, « Les insectes fossiles des terrains oligocènes de France 473 p., 17 fig., 7 cartes,13 tables, 29 planches hors texte », Bulletin Mensuel de la Société des Sciences de Nancy et Mémoires de la Société des sciences de Nancy, Imprimerie G. Thomas, , p. 1-473 (ISSN1155-1119 et 2263-6439, OCLC786027547)..
Publication originale
[1891] (de) B. Förster, « Die Insekten der "Plattigen Steinmergels" von Brunstatt », Abhandlungen zur Geologischen Specialkarte von Elsass-Lothringen, Strasbourg, vol. 3, , p. 333-594 (ISSN1256-4338, lire en ligne)..