Les larves de Bibio grandissent dans les zones herbeuses et sont des herbivores et des charognards se nourrissant de végétation morte ou de racines de plantes vivantes. Certaines espèces se retrouvent dans le compost[7]. Dans certaines régions, les mouches Bibio visitent régulièrement les fleurs et il est suggéré que ce sont des pollinisateurs de plusieurs espèces végétales[8],[9], telles que Heracleum sphondylium et Hieracium pilosella[10].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
[2017] (en) J. Skartveit and A. Nel, « Revision of fossil Bibionidae (Insecta: Diptera) from French Oligocene deposits », Zootaxa, vol. 4225, , p. 1-83.
[2019] (en) A. Nel, F. M. Collomb, and A. Waller, « Superfamily Bibionoidea, in True flies (Insecta: Diptera) from the late Eocene insect limestone (Bembridge Marls) of the Isle of Wight, England, UK. », Earth and Environmental Science Transactions of the Royal Society of Edinburgh, vol. 110, , p. 495-554
[2014] (en) J. Skartveit and M. Pika, « Revision of Bibionidae (Diptera) named by Oswald Heer from the Miocene of Öhningen, southern Germany », Mitteilungen der Schweizerischen Entomologischen Gesellschaft, vol. 87, , p. 103-134.
[1861] O. Heer, Recherches sur le Climat et la Végétation du Pays Tertiaire, , 1-220 p.
Publication originale
[1762] (en) Étienne Louis Geoffroy, Histoire Abregée des Insectes qui se Trouvent aux Environs de Paris, vol. Tome Second, , 1-690 p.
↑Peter Goldblatt, John C. Manning et Peter Bernhardt, « The Floral Biology of Melasphaerula (Iridaceae: Crocoideae): Is This Monotypic Genus Pollinated by March Flies (Diptera: Bibionidae)? », Annals of the Missouri Botanical Garden, vol. 92, no 2, , p. 268–274 (JSTOR3298518)
↑C. J. Van Der Kooi, I. Pen, M. Staal, D. G. Stavenga et J. T. M. Elzenga, « Competition for pollinators and intra-communal spectral dissimilarity of flowers », Plant Biology, vol. 18, no 1, , p. 56–62 (PMID25754608, DOI10.1111/plb.12328, lire en ligne)