L'espèce est valide pour Paleobiology Database en 2023, mais GBIF et The Taxonomicon ont reclassé cette espèce dans Limnohydrobius convexus (Brullé, 1835) avec l'avantage de faire apparaître six synonymes :
« Espèce décrite par Förster des marnes en plaquettes de Brunnstatt. L'auteur l'attribue au g. EscheriaHeer. Ce g. fossile a été établi par O. Heer pour désigner des Hydrophilidae d'Oeningen à position systématique douteuse.
En réalité les formes citées par Förster se distingeuent déjà de Escheria ovalis Heer en ce sens qu'elles ont une taille double, ce qui n'entraine pas, il est vrai, la nullité de la détermination. Mais la conformation de l'abdomen n'est pas la même. Dans l'ornementation des élytres aussi, il y a une différence : dans Escheria ovalis, Heer cite huit stries, dans Hydrobius convexus, dix sont visibles, surtout dans la partie inférieure. C'est là un caractère du genre Hydrobius dans lequel il convient, à notre avis, de ranger cette espèce. La forme du corselet a la même conformation dans Hydrobius et dans l'insecte de Brunnstatt.
Un échantillon et sa contre empreinte de Kleinkembs (R91+74) de la collection Mieg du Muséum de Bâle. »[3].
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
[1937] Nicolas Théobald, « Les insectes fossiles des terrains oligocènes de France 473 p., 17 fig., 7 cartes,13 tables, 29 planches hors texte », Bulletin Mensuel de la Société des Sciences de Nancy et Mémoires de la Société des sciences de Nancy, Imprimerie G. Thomas, , p. 1-473 (ISSN1155-1119 et 2263-6439, OCLC786027547)..
Publication originale
[1835] Gaspard Auguste Brullé, Coléoptères, II. Histoire Naturelle des Insectes, Traitant de Leur Organisation et de Leurs Mœurs en Général, par M. V. Audouin, et Comprenant Leur Classification et la Description des Espèces, par M. A. Brullé, , 1-436 p.