En 1937 le paléontologue françaisNicolas Théobald (1903-1981) décrit un deuxième fossile de la même espèce et renomme l'espèce Glaphyroptera longipes en Leia longipes[3],[2]. Attention le genre GlaphyropteraHeer, 1852 est toujours accepté, mais appartient à la famille des Buprestidae.
Cette espèce a été décrite dans les marnes en plaquettes de Brunnstatt. Elle existe aussi à Kleinkembs (R972 + 879 de la collection Mieg de Bâle. »[3].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
[2021] (en) Sarah Siqueira Oliveira et Dalton De Souza Amorim, « Phylogeny, classification, Mesozoic fossils, and biogeography of the Leeinae (Diptera: Mycetophilidae) », Bulletin of the American Museum of Natural History, vol. 446, , p. 1-108 (DOI10.1206/0003-0090.446.1.1, lire en ligne).
[1937] Nicolas Théobald, « Les insectes fossiles des terrains oligocènes de France 473 p., 17 fig., 7 cartes,13 tables, 29 planches hors texte », Bulletin Mensuel de la Société des Sciences de Nancy et Mémoires de la Société des sciences de Nancy, Imprimerie G. Thomas, , p. 1-473 (ISSN1155-1119 et 2263-6439, OCLC786027547)..
[1909] (en) Oskar Augustus Johannsen, « Diptera. Fam. Mycetophilidae », Genera Insectorum, vol. 93, , p. 1-141
Publication originale
[1891] (de) Bruno Förster, « Die Insekten der "Plattigen Steinmergels" von Brunstatt », Abhandlungen zur Geologischen Specialkarte von Elsass-Lothringen, vol. 3, no 1, , p. 335-593.