Mellecey est à une distance de 11 kilomètres de l'autoroute A6 (Chalon-sur-Saône), à 7 kilomètres de la ligne ferroviaire Paris-Lyon-Marseille, à 18 kilomètres du TGV (Le Creusot) et à 6 kilomètres de la route nationale 80 Chalon-Moulins.
Relief et géologie
Ce village viticole et agricole s'inscrit dans le paysage vallonné de la côte chalonnaise, sur des sols argilo-calcaires. Situé dans le bas de la vallée des Vaux, l'altitude du village varie entre 189 mètres et 371 mètres[RP 1].
Hydrographie
La rivière qui traverse le village se nomme l'Orbise. Il existe aussi deux mares (la première à côté de la place d'Ayeneux et la deuxième au lieu-dit de la Cour-Guichoux) qui communiquent avec l'Orbize.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 800 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,5 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 39,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].
Au , Mellecey est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].
Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,1 %), zones agricoles hétérogènes (18,3 %), terres arables (10,3 %), zones urbanisées (6,7 %), prairies (5 %), cultures permanentes (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
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« Ager Miliacensis in pago Cabilonensi »[13], dans le testament de Didier, évêque d'Auxerre, vers 631, où Mellecey est désigné comme « chef-lieu »[14] d'un « canton » dans le pays de Chalon[13].
villa nomine Miliciacum in pago Cabilonensi, dans un diplôme de Charles-le-Chauve du 1er août 877, par lequel Mellecey est donné à l'église Saint-Martin de Tours[14].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
De nombreuses trouvailles faites dans le village et ses hameaux prouvent que des hommes y ont séjourné dès l'époque préhistorique[MATB 1].
La grotte de la Verpillière 1[15],[16],[RP 2] est le deuxième site le plus important dans le sud de la Bourgogne pour l'Aurignacien[17]. La grotte a livré deux cents fragments de pigments de couleur ocre, des silex, des outils en forme d'os, des parures, des sagaies[Jsl 1]…
« En Roche »
Le site « En Roche »[18] est une station de plein air près des grottes de la Verpillière vers Germolles[19], à environ 1,2 km à l'est de la grotte de La Verpillière I. Avec ses quelque 10 ha, il fait partie des grands sites de cette région[Note 3] ; mais la surface correspondant au Paléolithique supérieur n'est que d'environ 6 000 m2. Il a livré du mobilier depuis le Paléolithique moyen jusqu’à l'époque gallo-romaine, dont des lames larges et épaisses, différents types de burins et de grattoirs y compris des pièces carénées et à museau[21].
Proto-histoire
Sur le lieu-dit des Rièpes (versant de la montagne qui sépare Mellecey et Givry), des monnaies gauloises, des poteries brisées, des silex taillés et des objets en fer ont été découverts[MATB 1],[RP 3].
Marloux
Marloux se trouve à environ 1,6 km au nord-est de Mellecey[22]. Ne se trouvant ni sur hauteur ni en position stratégique physique quelconque, son seul avantage est de se trouver au croisement de deux voies antiques : celle menant de Chalon-sur-Saône à Bibracte et Autun vers le nord-ouest (actuelle D 978), et celle dite « voie de pied de Mont » qui longe la côte beaunoise et chalonnaise. De longue date, les travaux agricoles ont fait remonter des vestiges protohistoriques, dont des objets de la Tène III, un peu partout dans les environs mais particulièrement concentrés en un point à environ 250 m à l'est de la chapelle de Marloux, où se tenait une station routière d'origine celtique[22],[23],[24].
Antiquité
Connue sous le nom de Meleciacum puis Melyceyum, elle était traversée par la voie romaine Agrippa qui reliait Autun à Chalon, dont les vestiges demeurent visibles sur le Montadiot[PLA 1]. Toujours de l'époque romaine, ont été découvertes des tuiles romaines, des tessons de céramique, des débris de colonnes, des marbres et une stèle représentant la déesse Epona (découverte en 1864)[RP 4]. Également de cette époque ont été trouvés des restes d'une grande villa gallo-romaine près de l'église[MATB 1].
Moyen Âge et Renaissance
Une inscription en marbre blanc, paraissant dater de la fin du VIe siècle, prouve la présence des Mérovingiens dans la commune[MATB 2].
La chapelle de Marloux[22] est élevée au XVe siècle sur l'emplacement de la Maison-Dieu, petit hôpital fondé de longue date et centre d'un domaine donné par les souverains carolingiens à l'abbaye de Remiremont[23].
Le plus ancien document du village est un écrit de Didier*, évêque d'Auxerre, de 621 environ, qui donne à son église les vignes qu'il y possède, avec les vignerons, serfs, bois et dépendances[MATB 2]. Cet écrit stipule que la commune est désignée comme un chef-lieu de canton dans le pays de Chalon (Ager Miliacensis in pago Cabilonensi)[MATB 2].
En 761, la Villa Publica du village est incendiée par l'armée de Waifre (comte d'Aquitaine)[MATB 3]. La commune de Mellecey est une possession des moines de Saint-Martin de Tours depuis au moins l'an 774[RI 1]. En 842, les émissaires des trois petits-fils de Charlemagne (Lothaire, Louis le Germanique et Charles le Chauve) se retrouvent dans ce village pour une première négociation d'urgence dans la guerre qui oppose le premier aux deux cadets. Un partage de l'Empire est esquissé en une semaine au sein du prieuré de Saint-Martin de Tours, partage qui aboutira au traité de Verdun (843)[PLA 1],[MATB 3]. En 877, Charles le Chauve octroie aux moines la licence de bâtir dans le village un monastère et une chapelle[RI 1]. Pendant tout le Xe siècle, Mellecey fera partie de la mense des chanoines. Du temps des pèlerinages, l'hôtellerie de Marloux devient une Maison-Dieu[MATB 4]. Au XIIe siècle, une famille du nom de Marne ou Marnay prend le titre de seigneur du village, mais s'efface à la fin de ce même siècle devant la famille de Montaigu, d'origine ducale. Mellecey est ensuite détaché de la seigneurie de Montaigu (au XIIIe siècle), avec Germolles, seigneurie dont elle dépend désormais. En 1378, Guillaume de Germolles vend sa terre à Philibert Paillard, chancelier de Bourgogne, seigneur de Paillart, coseigneur de Meursault et seigneur d'autres lieux. Il est lui-même obligé de la céder à Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, avec Mellecey, en 1380. En effet, la terre de Germolles et Mellecey dépendait du duc : Guillaume ne pouvait la vendre sans en référer à lui : le duc a donc pu confisquer cette seigneurie, en usant de son droit de commise. Il offre ensuite le domaine à son épouse Marguerite III de Flandre qui transforme l'austère grange fortifiée en palais de plaisance[PLA 1],[MATB 5]. Ce domaine ducal est ensuite agrandi de la seigneurie de Montaigu, acquise définitivement par Philippe le Hardi en 1387. Le château de Germolles, se caractérise par sa modernité. On y crée la plus grande roseraie d'Europe[PLA 1]. Philippe le Hardi étant fils du roi de France Jean le Bon, frère du roi Charles V et oncle et régent du roi Charles VI, de nombreux rois viennent séjourner en son château[PLA 1]. Ainsi Charles VI s'y arrête en 1389, et le duc d'Orléans en 1395[MATB 6]. Le duc Philippe III le Bon cède le château à sa tante Catherine de Bourgogne en 1425[MATB 6]. Plus tard, Henri IV y aurait retrouvé la belle Gabrielle d'Estrée[PLA 1]. Les 13 et , le Saint-Suaire de Turin aurait été présenté au public au château de Germolles, grâce à Marguerite de Charnay, amie du duc Philippe III le Bon et à sa troisième épouse Isabelle du Portugal[PLA 1].
En 1673, les habitants de Mellecey et Germolles produisent des documents de propriété de vignes et de bois lors d'un procès contre les habitants de Rusilly[MATB 7]. À la révocation de l'édit de Nantes (1685), lors de la chasse aux protestants, le sieur Guichoux, un notable de Mellecey, s'expatrie en Suisse en laissant son nom à son quartier (la cour Guichoux)[MATB 8]. L'hiver 1709 est très rigoureux et tue beaucoup de personnes dans la commune (53 morts cette année contre 20 d'habitude)[MATB 8].
Période contemporaine
XIXe siècle
Après la Révolution française de 1789, le village possède un comité de surveillance, et l'église est utilisée comme maison municipale[MATB 8].
1804 : Mellecey est l'une des premières communes de Saône-et-Loire à être cadastrée, conformément aux dispositions de l’arrêté du 12 brumaire an XI établissant le premier système de cadastre dit « par masse de culture » (il s’agissait d’établir la nature des cultures présentes sur le territoire des communes sans introduire toutefois de découpage entre les parcelles, l’administration se chargeant de faire coïncider les déclarations des propriétaires et les superficies concernées)[Note 4].
Les 11, 12 et , des gelées entraînent une sensible baisse de la récolte viticole[MATB 8]. À cette période le village possède environ 260 hectares de vignes (cépage : gamay et noirien), soit environ un quart de la surface communale[MATB 8].
Pendant le règne de Napoléon III, les règles de l'Empire font que le Te Deum est souvent chanté dans la commune[MATB 9]. Dans les dernières années de l'Empire, Émiland Menand, avocat chalonnais, représentant du peuple à l'assemblée en 1848 et 1849, se pose à Mellecey où il est nommé maire en 1870 à la fin du Second Empire[MATB 10]. La grotte de la Verpillière 1 est découverte en 1868[Jsl 1].
En 1873 et 1887 des incendies dévastent le château de Germolles. Le phylloxera touche durement les vignes du village à partir de 1879[MATB 10]. À la fin du XIXe siècle, sont recensés à Mellecey huit exploitants de carrières, trois briqueteries, trois fabricants de chaux, cinq aubergistes, deux boulangers, huit épiciers-merciers, deux charrons, deux maçons, un charpentier, un serrurier, deux meuniers, deux marchands de tissus, deux facteurs de denrées, deux loueurs d'alambics, trois bouilleurs d'eau-de-vie et une sage-femme.
À Germolles a longtemps fonctionné une école de hameau (école construite en 1881)[25].
XXe siècle
La grêle touche durement le vignoble du village et ses vignerons en 1903 et 1917[MATB 11]. En 1906, le maire de Mellecey et les conseillers municipaux du hameau de Germolles demandent la séparation des deux localités, comme ils l'avaient déjà fait plusieurs fois[MATB 11]. À la fin de la Première Guerre mondiale, environ 150 cultivateurs-vignerons sont absents[RP 6].
En 1930, il est recensé dans le village : deux boulangers, six épiciers-merciers, six aubergistes, cinq marchands de tissus, deux receveurs-buralistes, deux coiffeurs, deux cordonniers, un marchand de cycles, cinq électriciens, un hôtelier, huit maçons, deux maréchaux-ferrants, un menuisier, un meunier, une fabrique de briques, une fabrique de chaux, quatre exploitants de carrières, deux charrons, un charpentier, trois plâtriers, trois serruriers, deux commissionnaires en vins, deux voituriers, un cantonnier et deux gardes-champêtres[RP 7]. En 1990, certains secteurs du village plantés en vigne, qui correspondent en fait à des lieux-dits, obtiennent le classement en appellation d'origine Bourgogne côte-chalonnaise. Le marque officiellement le jumelage de la commune avec Ayeneux (Belgique)[PLA 2].
XXIe siècle
Le village subit des inondations importante en novembre 2014[JSL 1] et juin 2016[JSL 2].
Cette commune fait partie du canton de Givry, comptant 12 057 habitants en 2007. En intercommunalité, ce village fait partie du Grand Chalon. Pierre Voarick est conseiller général de ce canton depuis 1998.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].
En 2021, la commune comptait 1 312 habitants[Note 5], en évolution de +1,78 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
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Enseignement
La commune de Mellecey est située dans l'académie de Dijon. Il existe un groupe scolaire composé d'une école maternelle et d'une école primaire, qui a été créée en 1988. Le collège le plus proche est situé à Givry et les lycées les plus proches à Chalon-sur-Saône.
Santé
Il y a deux médecins, deux ostéopathes, deux kinésithérapeutes, mais pas de pharmacie, ni de dentiste. Les plus proches se trouvent à Givry et Mercurey. Le centre hospitalier le plus proche est situé à Chalon-sur-Saône.
Sports
2014 voit la fusion du Football Club Mercurey et de l'Étoile Sportive Mellecey Vallée des Vaux pour un nouveau club qui se nomme Association Sportive Mellecey-Mercurey[JSL 4],[RI 2]. Ce club évolue en 2017-2018 pour les seniors masculin en Départementale 2 (équipe 1) et Départementale 3 (équipe 2) ; pour les séniors féminines en Régionale 2 (équipe 1) et District départementale à 8 (équipe 2)[RI 3]. Le club compte 180 personnes en tout (110 jeunes, 35 seniors et 35 dirigeants). Auparavant, le club de football mellecéen (créé en 1972) a évolué à son plus haut niveau en 1re division de district du pays saônois (11e division nationale). Par rapport à ce club, deux stades sont implantés sur deux sites différents du village (le plus récent au lieu-dit des « Préau » et l'ancien à « Étaules »).
Un club de tennis, le Tennis Club de la Côte Chalonnaise, également en entente avec le village de Mercurey, évolue au niveau départemental, utilisant deux terrains de tennis (au lieu-dit des Retrait ).
Le village est encore doté d'un terrain multi-sport (accueillant le football, basket-ball, etc.) et un terrain de pétanque.
Le Grand Chalon gère la collecte de la commune. Il y a une collecte hebdomadaire des ordures ménagères.
Cultes
Le culte catholique est pratiqué dans la commune, des offices y ont lieu en alternance avec d'autres églises de la paroisse "Saint-Symphorien en Côte Chalonnaise" centrée sur Givry, Mercurey et les villages alentour.
Associations
Diverses associations participent à l'animation du village comme l'Association Sportive Mellecey-Mercurey, le Comité des Fêtes, le Comité de Jumelages, le Club des Ainés, la Société de Pêche, la Société de Chasse ou les Amis de l'École.
Économie
Le village de Mellecey abrite plusieurs commerces, dont un restaurant, un bar-restaurant, deux boulangeries, un tabac-presse et deux salons de coiffure[Jsl 21]. Des artisans, notamment un menuisier, un électricien, deux plâtriers-peintres, un plombier-chauffagiste y sont installés, ainsi qu'un paysagiste, trois entreprises de bâtiment et une entreprise spécialisée dans les installations solaires photovoltaïques et de pompage d'eau solaire. Trois gîtes ruraux sont répartis dans le village. Une part importante de l'activité de la commune est liée à la viticulture et à l'agriculture, représentée par 5 viticulteurs et 3 agriculteurs.
Le château de Germolles, résidence palatiale (XIIIe et XIVe siècles) avec le corps de logis, le châtelet et sa grand-vis, les deux chapelles dont la chapelle ducale nouvellement restaurée, le cellier, les vestiges de la salle d'honneur. Le château est précédé d'un hameau et est entouré d'un parc romantique.
Vue aérienne du château de Germolles.
Le château de Germolles sur sa façade est.
Le corps de logis du château de Germolles.
La chapelle ducale du château de Germolles nouvellement restaurée.
Centre de Mellecey et rue principale, la route de la Vallée.
Vue d'une partie du bourg de Mellecey.
L'église Saint-Pierre.
Mairie.
La salle des fêtes et Agorespace.
Rue principale à Germolles (Mellecey).
Vignes au lieu-dit « les Bdeurs » ou « Sur le Château ».
Vignes au lieu-dit « les Bdeurs » ou « Sur le Château ».
Vignes (fin de « les Bdeurs »).
Vue de la rivière nommée l'Orbise.
Vue de la rivière nommée l'Orbise.
Vue de la rivière nommée l'Orbise.
Héraldique
Les armoiries de Mellecey se blasonnent comme suit : De gueules à deux clefs d'or passées en sautoir, chapé d'argent, chargé en chef de deux fleurs de lys d'azur
Pour approfondir
Bibliographie
[Canat 1872] Marcel Canat de Chizy, « Notes historiques et topographiques sur quelques villages de la Bourgogne Mellecey » (Meliciacum, Mellecey. - Monasteriomum, Saint-Sauveur. Donation de Mellecey…), Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône, t. 6, 2e partie, , p. 169-179 (lire en ligne [sur gallica]).
[Leclerc 1981] Eugène Leclerc, « Une promenade en vallée des Vaux », Images de Saône-et-Loire, no 48, , p. 3–6.
[Trémeau-Böhm 2005] Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs, éd. JPM, , 400 p. (ISBN2-84786-036-3).
La Saône-et-Loire. Les 573 communes, Granvilliers, éd. Delattre, , 255 p. (ISBN2-915907-23-4).
Plaquette du jumelage "Mellecey-Ayeneux", 2000, 27 p.
↑Le site de plein air de Saint-Martin-sous-Montaigu, à environ 3 km au sud-ouest de Germolles, couvre plus de 20 ha[20].
↑La démarche était expérimentale : 1800 communes avaient été retenues pour l'ensemble du territoire national. Tirées au sort, elles devaient être au moins deux par arrondissement et pas plus de huit, théoriquement. Pour le département de Saône-et-Loire, il subsiste aujourd'hui une quarantaine de plans, disponibles sur le site internet des archives départementales, avec une répartition inégale d’un arrondissement à l'autre. Techniquement, le plan devait être réalisé à l'échelle du 1/5000e, après arpentage et triangulation. Le territoire de la commune était divisé en masses colorées figurant de la même manière les terrains portant des récoltes identiques. Source : Annie Bleton-Ruget, Un département à l'aube du XIXe siècle : images et représentations de la Saône-et-Loire, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire », n° 199-200 de novembre 2019, p. 18-24.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bMarie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 331.
↑Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 332.
↑Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs (Mellecey), p. 334.
↑ a et bMarie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 335.
↑Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 337.
↑ abcd et eMarie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 338.
↑Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 342.
↑ a et bMarie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 343.
↑ a et bMarie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 345.
Site de l'Insee
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Ewa Dutkiewicz et Harald Floss, « La grotte de La Verpillère I à Germolles, site de référence paléolithique en Bourgogne méridionale. Historique des 150 ans de recherches », La Physiophile, no 162, , p. 32 (lire en ligne, consulté le ).
↑Harald Floss, Christian Hoyer et Heike Würschem, « Le Châtelperronien de Germolles (Grotte de La Verpillière I, commune de Mellecey, Saône-et-Loire, France) », Paléo, no 27, , p. 149-176 (lire en ligne [openedition], consulté le ).
↑[Floss et al. 2015] Harald Floss, Christian Thomas Hoyer, Claire Heckel et Élise Tartar, « L'Aurignacien en Bourgogne méridionale », Palethnologie, no 7 « Aurignacian Genius », (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté en ), paragr. 4.
↑[Guillard 1954] E Guillard (abbé), « Une station aurignacienne inédite à Germolles », Mémoires de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Chalon-sur-Saône, t. 33, , p. 129-138.
↑ a et b[Batault 1872] Henri Batault, « Essai historique sur les écoles de Chalon du XVe à la fin du XVIIIe siècle », Mémoire de la Société d'Histoire et d'Archéologie de Chalon, t. 6, 1re partie, , p. 172 (lire en ligne [sur gallica], consulté en ).
↑[Armand-Calliat 1944] Louis Armand-Calliat, « Les fouilles de Marloux près Mellecey (Saône-et-Loire) en 1943 », Gallia, no 2 « Fouilles et monuments archéologiques en France métropolitaine », , p. 25-41 (présentation en ligne, lire en ligne [PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr, consulté en ).
↑Alain Dessertenne, Les écoles de hameaux en Saône-et-Loire, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 145 de mars 2006, pages 14 à 18.
↑Son nom figure sur le mémorial commémoratif des douze compagnons de la Libération originaires de Saône-et-Loire inauguré le 16 octobre 2021 à Buxy. Source : Michel Debost et Simone Mariotte, « Un mémorial à Buxy pour les compagnons de la Libération originaires de Saône-et-Loire », revue Images de Saône-et-Loire, no 211, , pages 2 à 4.
Mellecey-Ayeneux, plaquette du jumelage
↑ abcdef et gMellecey-Ayeneux, plaquette du jumelage (2000), p. 9.
↑Mellecey-Ayeneux, plaquette du jumelage (2000), p. 7.
↑Mellecey-Ayeneux, plaquette du jumelage (2000), p. 8.
Autres sources
Livres, ouvrages, sources papier
↑La Saône-et-Loire ; les 573 communes, Mellecey, p. 135.
↑[Méray 1872] Charles Méray, « Fouilles de la caverne de Germolles, commune de Mellecey », Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône, t. 6, , p. 251-298 (lire en ligne [sur gallica]).
↑[Lénez 1940] Dr Louis-Antonin Lénez, « Vestiges d'un habitat préhistorique gallo-romain et médiéval entre Givry et Mellecey lieu-dit les Rieppes », Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône (SHAC), t. 29, , p. 76-79 (lire en ligne [sur gallica]).
↑« Une déesse des chevaux », article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 137 de mars 2004 (pages 2 à 4).
↑Louis Gallas : Les invasions autrichiennes de 1814 et 1815 (Chalon-sur-Saône, 1938)