Cette section contient une ou plusieurs listes. Le texte gagnerait à être rédigé sous la forme de paragraphes synthétiques. Les listes peuvent demeurer si elles sont introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents éléments (mars 2020).
En 1905, le lieutenant Prévost créé le poste militaire français de Mbaïki[3].
La ville est le siège d'un tribunal de grande instance, juridiction du ressort de la cour d'appel de Bangui[8].
Quartiers
La population urbaine est répartie en 22 quartiers : Baguirmi, Boali 2, Bobolo, Bodili, Bombékiti, Bombolet 1, Bombolet 2, Bombolet 3, Bornou, Bossangoa, Botto Bonguélé, Dédé, Démou, Gbokombo 1, Gbokombo 2, Kouango, Mbangui 1, Mbangui 2, Ndéya, Ngbale, Typoyeurs, Yérima.
Villages
La commune de Mbaïki comporte quatre villages en zone rurale : Gappa, Toukoulou, Wakombo 1, Zanga.
Enseignement et Recherche
En 1939, est créée, à Boukoko, à 15 km de Mbaïki une Station Centrale d'Agriculture, qui se consacrera d'abord à l'étude du caféier, puis étendra ses activités à l’agronomie équatoriale. Cette station est aujourd’hui un centre régional polyvalent de recherche (CRPR) de l’ICRA, Institut Centrafricain de Recherche Agronomique.
En 1970, l'Institut universitaire de technologie agricole (IUTA) ouvre ses portes à Mbaïki. Il devient, en 1973, l’Institut universitaire de technologie agricole et forestière (IUTAF). Puis en 1981, il se transforme en Institut supérieur de développement rural (ISDR), et forme des techniciens supérieurs et des ingénieurs pour les différents acteurs du développement rural, ainsi que des agriculteurs et éleveurs.