Cet article recense, en respectant la chronologie, les titres enregistrés par Léo Ferré qui ont fait l'objet d'une diffusion sur disque.
Avant-propos
Parue en 1950, la chanson Le Temps des roses rouges a longtemps été considérée comme la première chanson écrite par Léo Ferré. Il n'en est rien : en 1941, Léo Ferré (sous le pseudonyme de Forlane), se produit pour la première fois en public, au théâtre des Beaux Arts de Monte-Carlo. Il y chante : Ah monsieur, jouez-moi du Bach, ainsi qu'une « première version » d'un titre qui deviendra en 1944L'Opéra du ciel (*). Le Temps des roses rouges est également écrit et composé en 1941.
En 1943, apparaissent de nouvelles chansons : L'Histoire de l'amour, Petite vertu. Ferré met également en musique des poèmes de René Baer : La Mauvaise étoile, Oubli, Le Banco du diable.
Ainsi qu'en 1944 : Suzon (*), Le Carnaval de tous les jours, Ils broyaient du noir (*). Cette même année, il met en musique Le Viveur lunaire de Jules Laforgue, ainsi que La Chanson du scaphandrier (*) et La Chambre (*) de René Baer.
Deux textes inédits datant de 1945 ont été redécouverts dans les années 2010 : La Relève (un temps nommé On change à la Bastille) et La Vénus de carrefour.
L'année suivante, Léo Ferré écrit Les Amants de Lyon, qui deviendra Les Amant de Paris pour Édith Piaf (elle enregistre la chanson en 1948).
1946 est aussi l'année des débuts de Léo Ferré à Paris au Bœuf sur le toit ; en plus des titres précédemment cités, il y interprète L'Inconnue de Londres (*), Le Bateau espagnol (*) et Le Flamenco de Paris (*).
En 1947, il signe son premier contrat avec une maison de disque et lors d'une tournée en Martinique, fait la connaissance de Jamblan dont il met en musique quatre textes[1] : Le marin d'eau douce, Zingare, C'est la fille du pirate (*) et Les Douze (*). Ferré inclura ces deux dernières dans son récit radiophonique De sacs et de cordes en 1951.
Certains des titres indiqués ci-dessus ont été ultérieurement enregistrés (*) ; les autres n'ont pas été retrouvés à ce jour, l'existence d'un enregistrement de ces titres par Léo Ferré est incertaine, voire improbable.
En revanche, certaines chansons retrouvées ont fait l'objet d'un enregistrement tardif par d'autres interprètes. Pour plus de détails concernant les reprises de Léo Ferré, le lecteur peut consulter l'article suivant : Liste des interprètes de Léo Ferré.
Titres non enregistrés par Léo Ferré
Textes et musiques sont de Léo Ferré, sauf indications contraires.
1er enregistrement dans le double album Les Faux Bijoux & Gilles Droulez chantent Léo Ferré (les inédits), 2003
J'aime pas l' pognon
1952
1er enregistrement dans le double album Les Faux Bijoux & Gilles Droulez chantent Léo Ferré (les inédits), 2003
Complainte pour Popaul
1952
1er enregistrement dans le double album Les Faux Bijoux & Gilles Droulez chantent Léo Ferré (les inédits), 2003
Titres enregistrés
Si la discographie officielle de Léo Ferré débute en 1950 avec ses premiers enregistrements pour la maison de disques Le Chant du Monde, des archives personnelles de l'artiste et d'autres de l'INA permettent de la faire remonter (partiellement) jusqu'en 1944.
Titre inédit issue des archives de la maison de disques Odeon (a) Archive de Léo Ferré, restée inédite jusqu'en 2018. Il existe aussi une version instrumentale (2018) (b).
Paroles de Claude Normand et Raymond Vincy, musique de Roger Bernstein. Chanson enregistrée dans le cadre du tournage de La Cage d'or de Basil Dearden et restée inédite au disque jusqu'en 2018. Piano et chant Léo Ferré, violon Stéphane Grappelli.
De sacs et de cordes est un récit lyrique diffusé pour la 1re fois à la radio française en 1951 Resté depuis inédit, jusqu'en 2004, année de ça diffusion en CD Nous citons ici l'unique titre de l'œuvre interprété par Léo Ferré
Musique du documentaire d'Henri FabianiLes Hommes de la nuit composée par Léo Ferré (non crédité au générique) Direction et chant Léo Ferré ; narrateur Serge Reggiani Resté inédit au disque jusqu'en 2018
composé par Ferré, Byzance est le générique de l'émission radiophonique Musique byzantine qu'il anime chaque samedi de 1953. Resté inédit sur quelques supports que ce soit jusqu'en 1999, Byzance est édité sur un CD joint à un livre. Le CD contient trois versions différentes de Byzance Titre réédité de façon plus pérenne en 2004
paroles Léo Ferré et Francis Claude Bien qu'il ait rejoint la firme Odeon, Léo Ferré, pour des raisons contractuelles avec Le Chant du Monde, se voit contraint de retourner en studio pour son ancienne maison de disque. Lui devant encore 12 chansons, il choisit de réenregistrer les 12 premiers titres de 1950 (pour rappel, voir l'album Le Temps des roses rouges). Finalement, seulement 11 seront gravés (Le temps des roses rouges ne sera pas réenregistré)
Écrites par Léo Ferré, ces deux œuvres musicales furent jouées en public à l'opéra de Monte-Carlo le . Elles sont diffusées le sur Radio Monte-Carlo pour être « oubliées » jusqu'en 2006, année où elles sont jointes au programme de l'édition en CD du disque Le piano du pauvre.
En , Léo Ferré enregistre ce titre au piano pour l'émission radiophonique Avant-Premières de Luc Bérimont. Cette version restera inédite sur disque jusqu'en 2006
Cet album studio comprend 15 poèmes de Léo Ferré ; 2 sont chantés par l'auteur, les autres sont dits par sa femme Madeleine Ferré. Chaque morceau débute par un texte court de Léo Ferré. Barthélémy Rosso accompagne à la guitare Léo Ferré dans cette version
Chanson interprétée sur scène et jamais enregistrée sur un album. Il existe par ailleurs une version « studio » enregistrée à la radio française, publiée en 2018.
Les titres suivant furent enregistrés à la radio en 1959, lors des divers passages de Léo Ferré à l'émission Avant-premières de Luc Bérimont Ils sont diffusés pour la première fois en 2006 poème de Louis Aragon
Poème de Paul Verlaine Les titres rassemblés sur ce double CD parut en 2004 sont des maquettes de travail de Léo Ferré - consacrées à Arthur Rimbaud et Paul Verlaine - retrouvées dans ses archives personnelles[3]. Le CD 2 regroupe des enregistrements de poèmes de Verlaine. Pour la plupart, ils datent de 1959-début 1960 ; il est toutefois précisé dans le livret de Maudits soient-ils ! : « Nous ne connaissons pas avec précision, les circonstances dans lesquelles ont été effectués les enregistrements publiés dans ce double album. » Pour une meilleure lisibilité regroupons ici l'ensemble des titres du second CD. (Les titres consacrés à Rimbaud sont recensés ici)
Poème extrait du feuilleton radiophonique « La Complainte de Fantômas», écrit par Robert Desnos en 1933 et mis en musique par Kurt Weill. Inédit au disque jusqu'en 2016. Écoutez... faites silence - Cent personnes il assassine - Un phare dans la tempête - En consigne d'une gare - Un beau jour des fontaines - Il fit tuer par la Toulouche - La peste en épidémie - Méfiez-vous des roses noires - Il assassina la mère - À la reine de Hollande - À Valmondois un fantôme - Dans la nuit sinistre et sombre - Dans la mer un bateau sombre
Coffret Monsieur mon passé : intégrale 1950-1960 (Le Chant du monde)
Paroles de Léo Ferré et Francis Claude Prévu pour un 33 tours 25 cm censuré par Barclay, ce titre est présent sur l'album en public Récital Léo Ferré à l'Alhambra paru en 1961. La version studio reste inédite jusqu'en 2003
Prévu pour un 33 tours 25 cm censuré par Barclay, ce titre est présent sur l'album en public Flash ! Alhambra - A.B.C., paru en 1963. La version studio reste inédite jusqu'en 2003
Prévu pour un 33 tours 25 cm censuré par Barclay, ce titre est présent sur l'album en public Récital Léo Ferré à l'Alhambra paru en 1961. La version studio reste inédite jusqu'en 2003
titre inédit jusqu'en 1989, initialement prévu pour un super 45 tours qui n'est jamais paru Titre regroupé en 2003 sur le CD posthume Les Chansons interdites... et autres
Coffret CD Avec le temps... (Enregistrements studio-live 1960-74)
Le Vent
3 min 24 s
1961
titre inédit jusqu'en 1989, initialement prévu pour un super 45 tours qui n'est jamais paru Titre regroupé en 2003 sur le CD posthume Les Chansons interdites... et autres
Coffret CD Avec le temps... (Enregistrements studio-live 1960-74)
Chanson pour elle
2 min 31 s
1961
titre inédit jusqu'en 2013, initialement prévu pour un super 45 tours qui n'est jamais paru. Une interprétation en public est parue en 1961 sur l'album Récital Léo Ferré à l'Alhambra
Coffret CD L'indigné (intégrale studio Barclay 1960 - 1974, en 20 CD)
titre inédit jusqu'en 2013, initialement prévu pour un super 45 tours qui n'est jamais paru. Une interprétation en public est parue en 1961 sur l'album Récital Léo Ferré à l'Alhambra
Coffret CD L'indigné (intégrale studio Barclay 1960 - 1974, en 20 CD)
Titre inédit interprété à l'A.B.C en 1962. Jamais enregistré en studio par Léo Ferré dans son intégralité (voir plus bas Les temps sont... 2e version studio (1965) Le texte de cette 2e version, est totalement différent de la précédente
En 1972, Léo Ferré, en préparation du 33 tours de compilations Avec le temps (les chansons d'amour de Léo Ferré), réenregistre la chanson. Il en change le titre et le texte, c'est ainsi que « La gauloise » devient « La gitane ». L'édition CD en 2003 de Ferré 64, contre toute logique, inclut La gitane ; celle de 2013 perpétue cette méprise ; À contrario du coffret CD L'Âge d'or 1960 - 1967 intégrale vol.2 de 2020, qui dans sa réédition de l'album Ferré 64 réintroduit la version originale La Gauloise.
enregistré en public au Casino de Trouville le Ce titre n'a jamais été enregistré en studio par Léo Ferré Cette fois encore, Léo Ferré propose un texte totalement différent des deux versions précédentes les trois versions live sont regroupées en 1966 sur un super 45 tours constituant « l'intégral » des différentes versions de Les temps difficiles
chanson qui se veut un hommage à Édith Piaf, censurée par Eddie Barclay à l'époque ce titre sort de l'anonymat en 2003 à l'occasion de l'édition de l'album en CD ; il prend alors la place du titre Pacific Blues (datant de 1961, lui aussi interdit cette même année), cinquième piste de la face A sur le vinyle original[4] (Rappel : Pacific Blues est désormais en diffusion CD inclus à l'album Les Chansons interdites... et autres retrouvant ainsi sa place première)
poème de Charles Baudelaire interprété en duo avec Madeleine Ferré. À la demande de Léo Ferré ce titre est écarté lors de la réédition de l'album en 1973. À ce jour, il est toujours inédit sur support CD et digital
Ce titre n'a jamais été enregistré en studio par Léo Ferré L'édition CD de l'album en 2003, inclut cette seconde version où Léo Ferré modifie quelque peu les paroles et conclut cette version par un hommage au journaliste Max-Pol Fouchet
poème de Cesare Pavese publié en 45 tours sur le marché italien. Inclus depuis 2013 dans l'édition CD de l'album La Solitudine Léo Ferré enregistrerait une version avec le pianiste Paul Castanier le . Cet enregistrement n'a pas été retrouvé à ce jour. Début mars Ferré l'enregistre en version orchestrée (ainsi que Verrà la morte)[5]
Léo Ferré, a précédemment enregistré, en décembre 1969, à New York, une première version studio du titre, avec des musiciens de jazz-rock : le guitariste John McLaughlin et le batteur Billy Cobham (tous deux membres du Mahavishnu Orchestra), et le bassiste Miroslav Vitouš (du groupe Weather Report) Cet enregistrement Pour des raisons méconnues ne sera pas retenu et Ferré réenregistre le titre avec le groupe français Zoo La version « américaine » du titre est toujours inédite à ce jour
Cette nouvelle version fut enregistrée par Léo Ferré à l'occasion de la sortie du 33 tours de compilation Avec le temps... En 2003, elle fut jointe en titre bonus à la réédition en CD de l'album Amour Anarchie puis en 2013, elle est ajoutée à la réédition CD de l'album La Solitude
Léo Ferré comme l'indique le recto de la pochette originale de l'album « chante et dirige La Chanson du Mal-Aimé de Guillaume Apollinaire » pour cette ultime version de l'œuvre, modulant sa voix, il campe donc tous les personnages
Album exclusivement destiné au marché italien Il s'agit du premier des deux albums de Léo Ferré interprété dans une langue autre que le français adaptation italienne du titre Les Pop par Enrico Médail
adaptation italienne du titre C'est extra par Enrico Médail 8 des 9 titres qui composent la version originale de l'album furent enregistrés en . Pour des raisons ignorées, la version de Niente piu ne fut pas retenue et Ferré retourne en studio en juin ; où là il réenregistre la chanson (ainsi qu'une version alternative de La solitudine)[5]. Le titre É la fine (voir plus bas) est-il la version recalée des séances studio de mai ?
adaptation italienne de Préface par Enrico Médail Titre (italien) enregistré en . Au cours de ces sessions d'enregistrements, Ferré enregistrerait également en italien une version récité de Ni Dieu ni maître (Ne Dio ne padrone) ainsi que des versions italiennes de La Mémoire et la Mer et Le Bateau espagnol[5]. Ces enregistrements n'ont pas été retrouvés à ce jour
L'édition CD de 2013, inclus également 4 titres inédits Ce titre présente une autre adaptation de la chanson C'est extra (auteur de l'adaptation inconnu à ce jour)
adaptation italienne du titre La Nuit (auteur de l'adaptation inconnu à ce jour) Titre (italien) enregistré en . (Selon Alain Reamackers, au cours de ces sessions d'enregistrements, Ferré aurait également gravé une version italienne de C'est extra restée inédite[7])
L'ensemble des titres qui composent l'album, ont pu être précédemment découvert par le public dans des versions scéniques (album Seul en scène (Olympia 1972))
L'album live posthume Sur la scène... (restituant l'intégralité d'un récital de Ferré en Suisse en 1973), propose aussi la totalité des titres de l'album Il n'y a plus rien en versions live (et alternatives à l'enregistrement de 1972 à l'Olympia de Paris)
À l'exception des titres L'espoir et Je t'aimais bien tu sais, l'album live posthume Sur la scène... (1973), inclus, en versions live, l'ensemble des titres constituant l'album (à paraitre en 1974) L'espoir
En rupture avec sa maison de disques Barclay, Léo Ferré signe chez CBS. Mais une clause de son précédent contrat (qu'Eddie Barclay refuse de rendre caduque), lui interdit de faire paraitre tout nouvel enregistrement de sa voix durant une année. C'est ainsi que l'artiste appliquant stricto sensu cette contrainte, choisit d'enregistrer et de diriger ses dernières compositions auxquelles il joint le Concerto pour la main gauche de Maurice Ravel Au recto de la pochette, on peut lire cette apostrophe signée Léo Ferré : « Je n'ai pas le droit de chanter mes chansons nouvelles jusqu'au . Pia Colombo le fait à ma place, dans un disque accouplé à celui-ci. Quant à moi, je fais jouer, tout seuls, mes instruments, et ceux de Ravel, avec humilité. L'exploitation de l'Artiste par l'homme est un aspect du proxénétisme contemporain. Le "chanteur" ne vit pas forcément sur le trottoir. Et pourtant... » Parait donc, en plus de ce disque orchestral - l'unique de la carrière de Léo Ferré - l'album Pia Colombo chante Ferré 75, sur lequel la chanteuse interprète les dernières chansons d'un ferré contraint au silence Recouvrant sa voix Ferré enregistrera ses titres sur l'album suivant Je te donne
maquettes de travail enregistrées par Léo Ferré été 1976 et début 1977 en préparation d'un album à venir. Le projet resta inabouti... l'album posthume parait sur CD en 2008 poème de Charles Baudelaire
Pendant italien de l'album Je te donne, ce disque est le second et dernier où Ferré ne chante pas en français À l'époque, il fut exclusivement destiné au marché italien (il en va autrement depuis pour ce qui est des éditions CD) version italienne de la chanson Je te donne Adaptation de Guido Armellini
en 2000, l'édition CD de l'album présente en bonus 3 titres supplémentaires poème (S'i' fosse foco, ardere' il mondo) de Cecco Angiolieri Ce titre fut diffusé en Italie en 1980, en face A d'un 45 tours (l'autre face proposait la version française de la chanson Allende - 1977, album La Frime)
(rappel) Textes et musiques sont de Léo Ferré, sauf indications contraires.
Titre
Durée
Dates
Remarques (auteur et/ou compositeur autre que L.F. / inédit / version alternative / autres...)
Support
Aube
1 min 53 s
(datation incertaine)
poème d'Arthur Rimbaud. Jamais officiellement enregistré par Léo Ferré, ce titre est resté à l'état de maquette. Les titres rassemblés en 2004 sur double CD Maudits soient-ils ! sont des maquettes de travail de Léo Ferré - consacrées à Arthur Rimbaud et Paul Verlaine - retrouvées dans ses archives personnelles[3]. Le CD 1 regroupe des enregistrements de poèmes de Rimbaud réalisés durant les années 1980 ; une datation plus précise est hasardeuse, tenant compte du fait qu'il est précisé dans le livret de Maudits soient-ils ! : « Nous ne connaissons pas avec précision, les circonstances dans lesquelles ont été effectués les enregistrements publiés dans ce double album. » Pour une meilleure lisibilité, nous regroupons ici l'ensemble des titres du premier CD. (rappel pour les titres consacrés à Verlaine voir ici)
L'opéra du pauvre : pour voix, chant et orchestre Les personnages[N 1] sont tous interprétés par Léo Ferré Il n'est pas donné plus de détails concernant le contenu de chaque face, notamment les parties chantées de l'œuvre, auxquelles, à de très rares exceptions près, il n'a pas été attribuées de titres les chansons La chemise rouge et Tango Nicaragua seront extraites de l'opéra et chanté sur scène par Ferré : voir Léo Ferré au Théâtre des Champs-Élysées par ailleurs, on retrouve dans l'opéra Les copains d'la neuille, chanson parue dans les années cinquante, sur les disques Poète... vos papiers ! et Encore du Léo Ferré (* disque 1 face A)
Lorsque Léo Ferré meurt en 1993, il travaillait à la réalisation de ce futur album Les enregistrements proposés sur l'édition posthume sont des maquettes de travail enregistrées chez lui
Métamec est dit sur l'accompagnement musicale du Bateau ivre (voir Ludwig - L'Imaginaire - Le Bateau ivre), (Ferré avait composé une autre musique, qu'il n'a pas eu le temps d'enregistrer)
↑Liste des personnages : Le narrateur / La Nuit, accusée / Le Corbeau, président du tribunal / Le Coq, avocat général / Le Hibou, avocat de la Nuit / Le Chat, greffier / La Cloîtrée, témoin / La Rose, témoin / Calva, tenancier du bar-discothèque et témoin / Miseria, témoin / Le Ver Luisant, témoin / Les deux « Professionnelles », témoins / L'Enfant, témoin / Le Joueur, témoin / La Bougie, témoin / La Mort, témoin / La Baleine Bleue, témoin / Le Poète, témoin / Le public de l'audience / Voix de Saint-Pierre / voix diverses et public / Source : Livret du quadruple album L'Opéra du pauvre.