La commune est classée en zone de montagne au titre de la loi du dite « loi montagne » modifiée par la loi no 2005-157 du relative au développement des territoires ruraux[1].
Géographie
Localisation
Carte de la commune avec localisation de la mairie.
Sur le plan historique et culturel, Accous fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
La commune est frontalière avec l'Espagne (Aragon) au sud.
La commune est traversée[10] par des affluents du gave d'Oloron, l'arrèc de Besse et le gave d'Aspe, ainsi que par des tributaires de ce dernier, le gave de Lescun (lui-même rejoint sur la commune par le ruisseau Labadie) et la Berthe[11] (alimentée sur Accous par le torrent d'Araille).
Le ruisseau de Cotcharas et son tributaire, le ruisseau de Congaets, coulent également sur le territoire d'Accous, tout comme des affluents du gave d'Aydius, le gave de Bouren et le ruisseau de Sahun.
La Berthe à Accous.
Pont d'Esquir, cascade descendant du bois d'Arapoup.
Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[12].
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hiver très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[13].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 550 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 9,7 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie à 24 km à vol d'oiseau[15], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491,4 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].
Biodiversité et milieux naturels
Deux zones importantes pour la conservation des oiseaux (ZICO) couvrent 48 % de la surface de la commune d'Accours. Il s'agit, d'une part, de la Rive gauche de la vallée d'Aspe et du pic d'Anie et, d'autre part, des Hautes vallées d'Aspe et d'Ossau[1].
L'intégralité de la commune a été inscrite au titre des sites par arrêté du , en tant que monument naturel sous surveillance. Pour partie, depuis le , Accous est concerné par le classement au titre des sites du Défilé d'Esque, caractéristique des verrous rocheux. « Ce défilé a été classé, comme celui du fort de Portalet, pour bien affirmer la volonté de l’État de ne pas sacrifier les caractéristiques de ces sites emblématiques des Vallées Béarnaises aux velléités de grands aménagements routiers classiques »[19].
Sept cours d'eau traversant la commune bénéficient d'un classement en vue de la protection ou de la restauration de leur continuité écologique. Il s'agit :
du gave d'Aydius et ses affluents à l'amont de la confluence du gave de Bouren (inclus) ;
du gave de Belonce et ses affluents ;
du gave de Lescun et ses affluents à l'amont de la confluence du ruisseau Labadie (inclus), à l'exclusion du Lauga et de ses affluents ;
du ruisseau de Cotcharas et ses affluents à l'amont de la prise d'eau du Bitet ;
du ruisseau de Lacure.
Deux cours d'eau bénéficient en outre d'un classement pour rétablir ou assurer la libre circulation des poissons migrateurs et le transit des sédiments :
le « massif de Sesques et de l'Ossau », d'une superficie de 25 794 ha, présentant des habitas avec de nombreuses espèces rares, souvent endémiques des Pyrénées. Il constitue également une aire de présence régulière de l'ours des Pyrénées[26] ;
le « massif de l'Anie et d'Espelunguère », d'une superficie de 14 253 ha, un massif montagneux siliceux avec des secteurs calcaires, avec de nombreux habitats herbacés à boisés, siliceux à calcaires, secs à humides[27] ;
« le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau) », d'une superficie de 1 595 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[28].
un au titre de la « directive Oiseaux »[25],[Carte 2] :
les « hautes vallées d'Aspe et d'Ossau », d'une superficie de 49 106 ha, une vaste étendue de système montagnard et alpin étalée sur plusieurs vallées incluant la Zone centrale du Parc national des Pyrénées, dont l'intérêt est la présence d'habitats et d'espèces de haute altitude, souvent spécifiques aux Pyrénées[29].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Sept ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[30],[Carte 3] :
le « cirque de Lescun » (5 691,44 ha), couvrant 4 communes du département[31] ;
la « hêtraie-sapinière de la vallée d'Ossau » (4 606,02 ha), couvrant 2 communes du département[32] ;
le « massif du pic de Sesques » (3 824,08 ha), couvrant 2 communes du département[33] ;
la « montagne de Liard » (7 047,09 ha), couvrant 5 communes du département[34] ;
le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » (1 207,81 ha), couvrant 23 communes du département[35] ;
le « réseau hydrographique du gave d'ossau à l'amont d'Arudy et ses rives » (586,79 ha), couvrant 12 communes du département[36] ;
la « Rive gauche de la Haute vallée d'Aspe » (9 444,85 ha), couvrant 5 communes du département[37] ;
le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[38] ;
la « vallée d'Aspe » (54 924,87 ha), couvrant 22 communes du département[39] ;
la « vallée d'Ossau » (43 624,41 ha), couvrant 13 communes du département[40].
Écologie et recyclage
En ce qui concerne l'occupation des sols, Accous comprend 0,5 % de terrains artificialisés, 10,3 % de terres agricoles et 89,2 % de forêts et milieux semi-naturels.
La commune appartient au territoire de l'agence de l'eau Adour-Garonne et se situe dans le bassin versant du gave de Pau. Elle intègre les sous-bassins du gave d'Aspe de sa source au confluent de la Berthe, du gave d'Aspe du confluent de la Berthe au confluent du gave de Lourdios et du gave d'Ossau de sa source au confluent du Lasnères.
Au niveau des eaux souterraines, Accous se situe sur les aquifères des Pyrénées occidentales/Massifs pyrénéens pour 54 %, des Pyrénées occidentales/Massif du Flysch pour 37 % et de La Pierre Saint-Martin pour 9 %.
En ce qui concerne les risques, la commune est concernée par le risque industriel (Toyal Europe) et par le risque technologique de transport de matières dangereuses. Accous comprend par ailleurs trois établissements classés soumis à autorisation. La commune est enfin concernée par les risques naturels d'inondation (crues torrentielles), feux de forêts, avalanches, effondrement de carrières souterraines (sept cavités de recensées), de glissements de terrain, de tempête et de sismicité (sévérité 4 — moyenne).
La commune ne comprend ni déchetterie ni installation de traitement des ordures ménagères[1].
Urbanisme
Typologie
Au , Accous est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[41].
Elle est située hors unité urbaine[2] et hors attraction des villes[42],[43].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (42,3 %), forêts (30,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (15,8 %), prairies (6,7 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), zones urbanisées (0,7 %)[44].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].
Accous est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[51]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[52],[53].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[54]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[55].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[56]. 39,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[57].
La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[58],[59].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Accous est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[60].
Brigitte Jubbé-Duval[70] rappelle l’hypothèse selon laquelle Accous proviendrait d'Acca ou Acco, d’un nom de femme mentionné dans les inscriptions d’Espagne.
Le toponyme Appatie (cf. basqueAphatea) signale un fief d'abbés laïcs, présent à Jouers (Abadie en gascon standard). On note qu'en vallée d'Aspe les sourdes latines sont conservées. Ce fief était vassal de la vicomté de Béarn[11].
Le bois d'Arapoup est attesté en 1863[11] dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.
Aület est mentionné sous la forme Aulet en 1863 par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[11]. Lhers est également cité dans ce dictionnaire.
L’hydronymeLa Berthe, affluent du gave d’Aspe, est cité dans le dictionnaire de 1863[11].
La colonne Despourins est indiquée en 1863 par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[11].
Paul Raymond mentionne en 1863[11], une ferme du nom d’Izaure, déjà citée en 1376[11] sous la forme Usaure (montre militaire de Béarn[64]), et en 1385[11] sous les graphies Ixaure, Isaurs et Isaure (censier de Béarn[63]).
Le toponyme Jouers /juèrs/ est un ancien Joertz (1345[11], Hommages de Béarn[71]), probablement une métathèse d'un basqueOïhartz dérivé d'oihan 'forêt'. On le trouve sous les graphies
Joers (1345, ) puis Jouers (dès 1712), ou encore Joers (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[11]).
Lourtica est le nom d’un col entre les communes d’Accous et d’Aydius[11].
Une chapelle, mentionnée par le dictionnaire de 1863[11], s’élevait au lieu-dit Saint-Christau.
Tillabé était un hameau d’Accous, signalé par le dictionnaire de 1863[11], et également mentionné au XVIIIe siècle[11] sous la forme le Tillaber (registre des délibérations d’Accous). Paul Raymond indique que Tillabé « était le lieu d’assemblée des jurats de la vallée d'Aspe ».
le syndicat de télévision d'Oloron - Vallée d'Aspe ;
le syndicat intercommunal d'aide matérielle à la scolarisation en Vallée d'Aspe ;
le syndicat mixte des gaves d’Oloron-Aspe-Ossau et de leurs affluents ;
le syndicat mixte du Haut-Béarn.
La commune accueille le siège de la communauté de communes de la Vallée d'Aspe ainsi que celui du syndicat intercommunal d'aide matérielle à la scolarisation en Vallée d'Aspe.
Tendances politiques et résultats
Le résultat de l'élection présidentielle de 2012 dans cette commune est le suivant[75] :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[78]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[79].
La commune possède une école primaire, l'école du bourg.
Sports
Accous est un des spots de parapente réputés des Pyrénées.
Deux écoles de parapente sont présentes sur la commune : Ascendance[81] et Air'attitude[82].
L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage. La fabrication de fromages fermiers est également une des ressources de la commune, qui fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
L'usine de Toyal (filiale de Toyo aluminium, qui produit des poudres et pigments d'aluminium, des pâtes pelliculantes anti-corrosion), qui se trouve en limite de la commune, procure des revenus à Accous via la taxe professionnelle, faisant d'elle la commune la plus riche de la vallée. Cette activité a créé une centaine d'emplois dans la vallée.
Le classement 2006 de l'Insee, indiquant le revenu fiscal médian par ménage, pour chaque commune de plus de 50 ménages (30 687 communes parmi les 36 681 communes recensées)[84], classe Accous au rang 24 495, pour un revenu de 14 199 €.
Accous présente un ensemble de maisons et de fermes des XVe, XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles[86], ainsi que des maisons fortes[87] des XIIIe et XIVe siècles.
L'écomusée de la vallée d'Aspe est situé dans une ancienne fromagerie. Les techniques de fabrication du fromage de montagne et les traditions culinaires locales y sont mises en valeur.
La mairie.
L'école.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Martin
L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Nouvelle-Aquitaine[88].
Jouers, chapelle Saint-Saturnin, clocher et cadran solaire.
Jouers, porte de cimetière avec coquilles Saint-Jacques.
La chapelle romane Saint-Saturnin[46] (Jouers) date partiellement du XIIe siècle.
La chapelle Saint-Christau (Aület) fut refaite au XVIIe siècle à proximité de trois fontaines miraculeuses. Seule subsiste la principale, dite de l'est, constituée d'un bassin médiéval en pierre et couvert. S'y baigner permettait d'éloigner les maléfices et de guérir fièvres, sciatiques et épilepsie. Elle a été rénovée.
La chapelle Saint-Christophe[45] (Aület) fut édifiée à la fin du XVIIIe siècle, puis remaniée à la fin du XIXe siècle, et restaurée au XXe siècle. La chapelle est dédiée à saint Christophe de Lycie.
La chapelle Saint-Jean-Baptiste[47] (Lhers) date du début du XVIIIe siècle, et fut remaniée au XIXe siècle. La chapelle est dédiée à saint Jean le Baptiste.
Une abbaye de l'ordre des prémontrés est également présente sur Accous.
Cyprien Despourrins, né et mort à Accous (1698-1759), est un poète béarnais de langue occitane et l'auteur de chansons célèbres et emblématiques du Béarn.
Nées au XVIIIe siècle
Bernard Lacoarret, (début XVIIIe siècle), originaire d’Accous et avocat au Parlement de Navarre (voir Cardesse).
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
↑La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Le décès de Jean-Pierre Cazaux, intervenu le 30 août 2010, entraîne l'élection municipale partielle du 19 septembre 2010. La reconstitution du conseil municipal donne lieu à l'élection du nouveau maire, Éric Bergez[72].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )