Firminy est desservie par la Société de transports de l'agglomération stéphanoise (STAS) dans la zone Grand Saint-Étienne ainsi que par la ligne TER (Le Puy) - Firminy - Saint-Étienne - (Lyon), accessible avec un pass Oura (Bus STAS + TER).
Cette partie du réseau (Firminy, Le Chambon-Feugerolles, La Ricamarie, Unieux, Fraisses et Saint-Paul-en-Cornillon) est organisée en étoile autour de Firminy. Le pôle multimodal de la gare de Firminy permet de relier Saint-Étienne à Firminy (par les villes de la vallée de l'Ondaine) en 10 minutes contre 30 minutes par la ligne M1 (épine dorsale du réseau) ou la ligne M2 (qui relie néanmoins directement le centre-ville stéphanois à Firminy).
32 reliant le pôle multimodal de la gare de Firminy à Unieux en passant par Fraisses ;
33 qui est une ligne qui circule uniquement sur Firminy en reliant les quartiers de Verte Colline et Chazeau en passant par le centre-ville de Firminy et le quartier de Firminy-Vert ;
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 774 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 793,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Statistiques 1991-2020 et records SAINT-ÉTIENNE (42) - alt. : 640 m, lat : 45°26'07"N, lon : 4°22'05"E Records établis sur la période du 01-06-2002 au 04-01-2024
Source : « Fiche 42218011 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Urbanisme
Typologie
Au , Firminy est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (49,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (43,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones urbanisées (35,3 %), forêts (27,3 %), prairies (17,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,7 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Nom des habitants
Firminy est dans le domaine linguistique de l'occitan et le nom de la commune est dans cette langue Firminial[16].
La dénomination des habitants, les Appelous, est relativement récente[Quand ?].
Au XIXe siècle, les cloutiers portaient un tablier en peau appelé en occitan, et plus particulièrement son dialecte vivaro-alpin, « basana » ou la « pèl »(peau)[17]. Certains[Qui ?] disent que ce tablier en peau était appelé le « pelou », d'où le gentilé.
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Le suffixe -acum du nom Firminiacum indiquerait que le lieu ait appartenu, probablement avant le VIIe siècle, à un dénommé Firmin[18].
La première mention de Firminy (Firminiaco) apparaît en 971 dans une charte de Conrad le Pacifique, roi de Bourgogne où sont énoncées les possessions reconnues à l’abbaye de l’Île Barbe[19]. Ainsi, il est probable que le territoire connu alors sous le nom de la Celle Saint-Martin de Firminy fut donné à l'abbaye avant le Xe siècle, en une date et dans des circonstances inconnues[Note 4].
Au milieu du Xe siècle, une église et un prieuré s’établirent grâce à la générosité des seigneurs voisins. Un texte de 1168 reconnaît Humbert prieur de Firminy. Et dès 1183, on trouve dans les archives, la trace de l'église Saint-Pierre.
Vers 1460, pendant la guerre de Cent Ans, les Anglais séjournent au prieuré ; les routiers tard venus et autres bandes de mauvais aloi prélèvent un lourd tribut sur la population ; les seigneurs du voisinage, le comte du Forez lui-même, pillent l’abbaye[Information douteuse]. Pour se défendre, Firminy s’entoure de murailles de sept mètres de hauteur, percées de deux portes fortifiées, dont l’une subsistera jusqu’en 1967.
Époque moderne
En 1507, des lettres patentes de Louis XII donnent à la cité le titre de « ville » et y créent des marchés et des foires, témoignage de son activité commerciale.
Au cours du XVIIe siècle, la peste ravage à plusieurs reprises la région. Les hivers 1693 et 1694 connurent une disette sans précédent avec la mort du tiers de la population.
Au début du XVIIe siècle, Claude de La Tour, seigneur de Varan, apporta l’artisanat du clou, qui allait prendre rapidement un large essor. L’exploitation des « charboutières », ou carrières de houille, qui existaient depuis le XVIe siècle, continue de se développer.
Époque contemporaine
À la Révolution, une grande partie du territoire de la paroisse de Firminy en a été détachée pour former les communes de Chazeau, de Fraisses et d'Unieux
1820 : Fondation de la Compagnie des mines, avec plusieurs puits d’extraction : Chappelon, La Tour, Osmond, Charles, Charpin, etc. Le dernier puits de mine a disparu de la commune en 1918.
Pendant la Révolution, Firminy devint chef-lieu de canton. Il le restera jusqu’en 1801, date à laquelle il est rattaché au canton du Chambon-Feugerolles jusqu’en 1900.
1854 : François Félix Verdié achète le martinet Philippon et crée sa société en commandite par actions. La société François-Félix Verdié sera transformée en 1867 en Société anonyme des aciéries et forges de Firminy.
1859 : Ouverture de la gare de Firminy.
1867 : Chez Verdié, l’ingénieur Martin réalise le four à acier qui porte son nom.
XXe siècle
Pendant la Première Guerre mondiale, la population de la ville augmente brusquement, passant de 19 580 habitants à 41 000[21]. Les effectifs des aciéries de Firminy augmentent ainsi de près de 10 000 personnes[21]. 12 % de la main-d'œuvre vient de l'étranger ou des colonies, celle-ci est la cible de restrictions spécifiques comme l'interdiction de fréquenter les débits de boisson[21]. Les nouveaux habitants occupent des logements insalubres[21].
Le Majestic (cinéma) fut ouvert en 1924 par Monsieur Hivert.
Le 21 octobre 1948, lors de la grande grève des mineurs, réprimée sur ordre du ministre socialiste Jules Moch qui envoie des blindés en Lorraine, deux mineurs de Firminy sont abattus par l'armée. C'est à ce moment-là que le sloganCRS = SS nait[22]. Le maire est suspendu en raison de ces évènements, révoqué puis réélu[23].
En 1954, par apport de l'usine de Firminy, la société anonyme des aciéries et forges de Firminy entra pour 38 % dans le capital de la Compagnie des Ateliers et Forges de la Loire (C.A.F.L.) Plus tard la CAFL deviendra Creusot-Loire.
En 1959, la commune de Chazeau fusionne avec Firminy.
De 1954-1965, Firminy-Vert (substitut d'une ville « noire » industrielle), est conçue dans les années 1950 à l'initiative d'Eugène Claudius-Petit, maire de la ville, ancien ministre de la Reconstruction. Ce projet d'urbanisme est mené par Charles Delfante et se complètera avec la construction de bâtiments par Le Corbusier : rassemblés dans le Centre civique, la Maison de la Culture (1965), le stade, et le projet d'une église paroissiale dont la première pierre est posée en 1970 ; après la disparition de Le Corbusier en 1965, c'est à son disciple André Wogenscky que revient la construction de la piscine où les collégiens vont toujours et celle de l'Unité d'Habitation réalisée de 1965 à 1967.
En 1962, l'ensemble de Firminy-Vert est distingué par le prix national d'urbanisme, en raison de l'exemplarité de cette réalisation dont les responsables se sont manifestement inspirés des principes de la Charte d'Athènes, adoptée en 1933 par le congrès international d'architecture moderne à l'instigation de Le Corbusier.
1970 : le CAFL est absorbée dans Creusot-Loire dont elle devient l'établissement le plus grand et le plus complexe à gérer étant donné la diversité de ses savoir-faire et de ses productions. Mais dans ce nouveau contexte de dimension multinationale, on va assister dans les douze années suivantes à une double évolution : d'une part, la modernisation de certains ateliers tels que la forge, le laminage à froid, mais en contrepartie la fermeture au fil des ans des ateliers jugés les moins performants pour leurs résultats économiques. Du fait des gains de productivité et des fermetures, l'effectif ouvrier ne va cesser de se réduire, ce qui va contribuer à stopper la croissance démographique de la ville et remettre en cause les projets d'un deuxième plan d'urbanisme conçu pour répondre à la prévision d'une forte augmentation de la population.
En 1983 : faillite de Creusot-Loire. L'usine métallurgique est reprise par USINOR, mais c'est le point de départ d'un démantèlement qui va la faire éclater en plusieurs établissements dont plusieurs se révèleront économiquement non viables.
la même année, projet municipal de fermeture de l'Unité d'habitation Le Corbusier, qui par suite des conditions économiques n'est qu'à moitié remplie. La résistance des habitants aboutit à un compromis : la fermeture de l'aile nord, et le regroupement des occupants dans l'aile sud.
la même année : l'ouverture d'un chantier de construction d'un gymnase municipal à quelques mètres du chantier de l'église de Le Corbusier, abandonné depuis 1977 par manque de moyens financiers, entraîne l'intervention de l'État en faveur d'une protection de l'ensemble des œuvres de Le Corbusier de Firminy au titre de Monuments historiques.
1984 : construction de deux gymnases GM4 et GM5 sous la mandature de Théo Vial-Massat.
1986 : création d'un syndicat d'initiative pour l'accueil et le guidage des visiteurs du patrimoine Le Corbusier (4 à 5 000 visiteurs par an). Cette création, suivie de celle d'un Office municipal de tourisme, contribue au difficile éveil d'une reconnaissance de ce patrimoine.
1995 : ouverture d'une deuxième salle de cinéma au Majestic.
2000 : ouverture du firmament (projet culturel émis par la municipalité de Bernard Outin) qui regroupe un stade, un terrain de tennis couvert, un dojo et une salle de spectacle.
XXIe siècle
En 2001 ont lieu les élections municipales. Bien que n'étant pas un enjeu électoral manifeste, la mise en valeur du patrimoine Le Corbusier à des fins culturelles, économiques et touristiques apparaît vite comme un objectif majeur de la nouvelle municipalité. Sont entreprises la rénovation de l'Unité d'Habitation, initiée par la municipalité antérieure (celle de Bernard Outin de 1992 à 2001), en deux ans de chantier qui permettent en outre la remise en service de l'aile nord avec la participation d'un promoteur privé, et surtout avec l'appui de Saint-Étienne-Métropole, de la Région et de l'État, la reprise et l'achèvement de la construction de l'Église, finalement terminée et inaugurée en novembre 2006. L'électrification de la ligne de chemin de fer Saint-Étienne-Firminy a été programmée par le ministre communiste du logement et des transports Jean-Claude Gayssot. Le remodelage total du parvis de la gare qui cesse en 2006 d'être traversé par une sortie de voie rapide.
2001 voit la mise en place des comités de quartier, lien entre les habitants et la municipalité. Ceux-ci disposent d'un budget qui permet l'animation des quartiers.
En 2006, Clextral, l'une des entreprises héritières d'un savoir-faire hautement technologique élaboré au temps de Creusot-Loire, fête par un colloque international le cinquantième anniversaire de la naissance des machines à extruder bi-vis, inventées à Firminy et adoptées dans de nombreux pays pour l'extrusion des matières plastiques, de multiples produits alimentaires et la fabrication de papiers haut de gamme (exemple : billets de banque).
À côté de Clextral, sont également héritiers de Creusot-Loire les établissements Aubert et Duval (aciérie élaborant des alliages hautement spécifiés, forge et usinage de pièces métallurgiques longues), ARCELOR et depuis 2006, MITTAL-ARCELOR (laminage à froid de haute précision). Ces établissements occupent une partie importante de l'ancien site métallurgique, dont l'élément-phare est la tour de trempe, haute de 53 mètres, construite en 1935 et considérée de plus en plus comme un témoin historique majeur de l'histoire industrielle locale, et de surcroît sans équivalent en Europe et peut-être dans le monde : d'où l'engagement d'une procédure en vue d'un classement au titre des monuments historiques.
Autre dossier international en cours : l'initiative de Firminy en vue d'un classement des œuvres de Le Corbusier au patrimoine mondial de l'UNESCO, initiative à laquelle ont déjà adhéré de nombreux pays dans lesquels existent des ouvrages réalisés par l'architecte.
En 2009, d'importantes émeutes eurent lieu trois nuits durant dans le quartier de Firminy-Vert. Le décès par pendaison d'un gardé à vue en fut l'origine[24].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[30],[Note 5].
En 2022, la commune comptait 17 128 habitants[Note 6], en évolution de +0,79 % par rapport à 2016 (Loire : +1,32 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Tous les ans au mois d'octobre a lieu la « Vogue des noix », fête foraine d'importance qui se termine par le célèbre « Corso » créé par Théo Vial Massat en 1971. Elle commence toujours le samedi et se termine le dimanche de la semaine suivante par un corso.
Tous les ans a lieu aussi le rallye des Noix, course automobile dont l'arrivée se situe sur la place du Breuil.
Tous les jeudis a lieu le marché sur la place du Breuil et la place du Marché. Les samedis matin et les mardis matin se tient également un marché consacré essentiellement aux légumes et autres denrées de bouche qui a lieu seulement sur la place du Marché. Un petit marché bio existe les vendredis après-midi sur la place du Breuil.
Économie
Grandes entreprises locales[33] (sauf distribution) :
- Clextral (ex filiale de Creusot Loire) : leader mondial de l'extrusion « bivis » et lignes de production clés en main pour l'industrie agroalimentaire, de la pâte à papier, de la chimie de spécialités et des biomatériaux. C'est une société du groupe Legris[34] ;
- Cornillon : distribution en gros de petits matériels, d'équipements et de consommables pour les professionnels de la restauration et de l’hôtellerie. Vente en gros d'articles ménagers : casseroles, marmites, poêles métalliques[35] ;
- Tixit Lapouyade : rayonnages métalliques. Lapouyade a été créé en 1955 à Fiminy, a été repris en 2009 par Averys et a fusionné en 2016 avec la société sœur Tixit de Strasbourg.
le stade (club d'athlétisme de la ville : CLCS et ACO) ;
la piscine municipale, réalisée de 1965 à 1968 par l'architecte André Wogenscky après la mort de Le Corbusier[42]. Depuis sa rénovation, elle porte le nom de son architecte.
Une étude d'UFC-Que Choisir (mars 2012) se basant sur des données du Ministère de la Santé a montré que l'eau potable était trop chargée en pesticides. Ce dépassement, fréquemment constaté pour les petites communes rurales (environ 500 habitants), est plus notable pour une commune de plus de 20 000 habitants ; dans cette catégorie, seules trois autres communes sont en effet concernées. L'étude y voit la conséquence de contrôles trop peu fréquents[44].
Personnalités liées à la commune
Artistes et littéraires
Le Corbusier (La Chaux-de-Fonds, 1887 - Roquebrune-Cap-Martin, 1965) : architecte, urbaniste, décorateur, peintre, théoricien et homme de lettres suisse naturalisé français ; il a construit plusieurs bâtiments dans la ville.
Marcellin Souhet (1845-1925) : homme politique et négociant en grains et farines, maire de Firminy où il est mort.
Claudius Buard (Firminy, 1900 - Saint-Étienne 1978) : sénateur de la Loire, résistant, conseiller général de Firminy.
Eugène Claudius-Petit (Angers, 1907 - Paris, 1989) : résistant, maire, député, ministre de la Reconstruction (1948-1953), du Travail et de la Sécurité Sociale (1954).
Théo Vial-Massat (1919-2013) : résistant, conseiller général, député, maire de Firminy où il est mort.
Parti de sable et de gueules. à deux pics en sautoir, une enclume, à la lampe de mineur appendue à une roue d'engrenage tous d'or et brochant chacun sur le précédent en cœur, au clou de sable brochant au centre de la roue d'engrenage, le tout accompagné au canton senestre du chef d'une <apeau> (ou basane, tablier de cuir des cloutiers) d'argent chargé en cœur d'une meule de gueules, au franc canton d'or chargé de deux clefs renversés de sable passées en sautoir.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Saint-Étienne, il y a une ville-centre et 31 communes de banlieue.
↑L'histoire, trop souvent muette, ne dit point par qui fut donné à l'abbaye de l'Isle-Barbe le territoire de Firminy, on sait seulement qu'elle le possédait avant le Xe siècle, sous le nom de Cella Sancti-Martini. Où était située cette cella ? […] sur le point culminant du territoire, au lieu même où est l'église Saint-Pierre. Mais il y a tout près d'elle, au bas de la butte, un grand espace de terrain qui porte le nom de Saint-Martin […][20].
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )