La ligne 40 qui relie le centre commercial de la Maladière à Saint-Chamond par les quartiers de Fonsala, Izieux, centre-ville et Le Creux.
L'ancienne ligne 59 est intégrée à la ligne M5 au 29 août 2022 qui va donc avoir des services scolaires desservant certaines zones anciennement desservies par la ligne 59, situés sur la commune et qui ne sont pas desservies par les bus réguliers de la ligne M5.
L'ancienne ligne 58 est intégrée à la ligne M5. Cependant, les bus seront moins fréquents que pour la principale ligne M5.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 733 mm, avec 8,5 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St-chamond-p », sur la commune de Saint-Chamond à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 681,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Statistiques 1991-2020 et records ST-CHAMOND-P (42) - alt : 394m, lat : 45°29'27"N, lon : 4°32'03"E Records établis sur la période du 01-03-2004 au 04-01-2024
Source : « Fiche 42207005 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Urbanisme
Typologie
Au , L'Horme est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (61,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (31,3 %), zones urbanisées (30,5 %), prairies (22,6 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), forêts (3,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
La ville possédait des forges et hauts fourneaux en 1827. La première locomotive est construite en 1840.
La commune a été créée par la loi du regroupant des territoires issus des communes de Saint-Julien-en-Jarez et de Saint-Paul-en-Jarez. Elle devait alors son essor au développement industriel : mines, hauts fourneaux, forges...
Pour la petite histoire, le H dans son nom provient d'une hache qui serait restée plantée dans un orme.
La maire sortante ne s'est pas représentée et Enzo Viviani succède au poste de maire, seul représentant ; le taux de participation est de 44,12 %. 27 sièges sont pourvus dont 2 au conseil communautaire[20].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1906. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].
En 2021, la commune comptait 4 845 habitants[Note 4], en évolution de +0,52 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Saint-Étienne, il y a une ville-centre et 31 communes de banlieue.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )