Elle devient en 2020 présidente déléguée du groupe LREM à l'Assemblée nationale, chargée du travail législatif, et après sa réélection en 2022, présidente du même groupe.
Aurore Bergé effectue sa scolarité à Versailles, d'abord à l'école Colonel-de-Bange puis au lycée privé Saint-Jean-Hulst[5] et adhère à l'UMP dès ses 16 ans[6]. Elle étudie à Sciences Po Paris, où elle obtient un master affaires publiques (promotion 2009)[7], fait des stages auprès de députés européens, notamment auprès de Roselyne Bachelot au Parlement européen, puis est embauchée par une agence de communication, Agence Publics d'abord, l'agence qui a organisé tous les grands meetings de Nicolas Sarkozy lors de la présidentielle 2012, puis chez Spintank, auprès de Nicolas Vanbremeersch, et Hopscotch Groupe, en tant que directrice de clientèle[2],[8].
En , il est révélé qu'elle est enceinte de son premier enfant[11] qui naît le ; son compagnon, Grégory Besson-Moreau, est père de deux enfants d'une précédente union[12].
En 2008, elle se présente une première fois à la présidence des Jeunes Populaires avec Mathieu Guillemin. Selon Le Monde, les deux candidats retirent leur candidature au profit de Benjamin Lancar sous la pression de responsables UMP et doivent rallier la liste de la majorité[17],[18].
En 2010, elle se présente à nouveau à la présidence des Jeunes Populaires[18]. Elle est finalement battue à plus de 78 % des suffrages exprimés par le président sortant Benjamin Lancar dans un scrutin soupçonné d'irrégularités[17],[21].
Elle est candidate sur la liste de Valérie Pécresse lors des élections régionales de 2010 en Île-de-France, mais sa position dans la liste ne lui permet pas de siéger au conseil régional durant ce mandat[22].
Elle devient conseillère politique à l'UMP en , sous la présidence de Jean-François Copé[2].
Sous les recommandations de Valérie Pécresse, elle s'installe en 2013 à Magny-les-Hameaux dans les Yvelines afin de briguer la mairie de cette ville jusqu'alors ancrée à gauche. En 2014, à l'âge de 27 ans, elle est investie par l'UMP et l'UDI pour les élections municipales dans la commune[2]. Sa liste perd les élections avec 42 % des voix contre 58 % face au maire socialiste sortant Bertrand Houillon[23]. Elle devient néanmoins conseillère municipale à Magny-les-Hameaux dans les rangs de l'opposition et conseillère communautaire de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, mais ses absences aux séances du conseil communautaire sont relevées par Le Canard enchaîné[24].
Selon le magazine d’extrême droite Valeurs actuelles, elle tente d'obtenir la 6e position sur la liste UMP des élections européennes de 2014 mais n'aurait pas été retenue par l'UMP car jugée comme n'étant pas suffisamment à droite après avoir soutenu la loi Taubira[25].
En , Aurore Bergé se rallie à la campagne d'Emmanuel Macron et tente de rallier une cinquantaine de collaborateurs d'anciens ministres sous les présidences de Jacques Chirac ou Nicolas Sarkozy[27],[31]. Ce ralliement engendre des moqueries sur les réseaux sociaux en mettant en évidence le nombre de candidats qu'elle a soutenus depuis le début de sa carrière politique, l'amenant à être qualifiée de « girouette » ou d'« opportuniste »[32],[33],[34] mais allant également jusqu'à des insultes sexistes[35]. En réaction Aurore Bergé et certains internautes dénoncent : « Faux comptes, mensonges, misogynie et vulgarité ». Par ailleurs, la femme politique considère que ces moqueries sont la « marque de ses opposants »[35].
Aurore Bergé arrive en tête lors du premier tour avec 46,63 % des voix contre 19,12 % pour Jean-Frédéric Poisson soutenu par LR[41]. Elle est élue au second tour avec 64 % des suffrages exprimés[42].
Lors des élections municipales de 2020, à Rambouillet, elle figure en 4e position sur la liste de Gilles Schmidt, son suppléant à l'Assemblée nationale, qui arrive en troisième position sur trois au second tour avec 16,10 % des voix[49],[50]. La liste n'obtenant que trois sièges, Aurore Bergé n'est pas élue membre du conseil municipal.
Après les anciens ministres François de Rugy et Christophe Castaner, elle se déclare candidate à la succession de Gilles Le Gendre à la présidence du groupe La République en marche à l’Assemblée nationale[51],[52]. À l’issue du premier tour, le , elle se qualifie pour le second tour avec 81 voix, arrivant alors en deuxième position derrière Christophe Castaner[53]. Elle reçoit le soutien de François de Rugy pour le second tour[53]. Le lendemain, elle est battue par Christophe Castaner avec 45,28 % des voix[54]. Après son élection, Christophe Castaner la nomme présidente déléguée du groupe chargée du travail législatif, un poste qu'elle partage avec Coralie Dubost[55].
En , elle démissionne de ses fonctions de porte-parole et quitte le bureau exécutif de LREM, contestant le « choix d'organisation » du délégué général Stanislas Guerini et celui d'organiser des élections internes seulement après les élections locales de 2021[56],[57].
Tête de liste LREM dans les Yvelines pour les élections régionales 2021 en Ile-de-France, elle est élue conseillère régionale[58].
Travaux parlementaires
En , Aurore Bergé est nommée rapporteure de la mission d’information sur une nouvelle régulation de la communication audiovisuelle dont l'objectif est de « faire réfléchir à une révision de la loi du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication »[59],[60].
En , la députée est rapporteure d'un rapport de 40 propositions pour une nouvelle régulation de l'audiovisuel[61],[62] qui serviront de base pour les discussions sur la future loi audiovisuelle[63] qui devrait être présentée à l'été 2019[64].
En 2019, Aurore Bergé intègre la commission spéciale de l’Assemblée chargée de la révision des lois de bioéthique et devient référente du projet de loi bioéthique pour le groupe LREM[65],[66].
En , elle est chargée par le Premier ministre d’une mission auprès du ministre de la Culture visant à définir une émancipation culturelle auprès de tous les citoyens[67],[68],[69],[70],[71]. Elle remet son rapport composé de 60 propositions en [72].
En , elle est nommée référente du groupe de travail de l'Assemblée nationale sur le suivi de la crise sanitaire et de ses impacts dans le secteur culturel[73]. Elle fait voter un amendement qui propose un changement rapide sur la législation du régime intermittent en vigueur durant la pandémie de Covid-19, ainsi qu'une compensation financière durant les jours de carences passés et futurs, jusqu'à la réouverture des lieux culturels[74],[75]. La députée obtient également une avancée concernant le statut des solistes qui ne sont pas intermittents[75].
À l’été 2019 à la suite du départ d’Elise Fagjeles, elle devient présidente du groupe d'amitié France-Israël à l'Assemblée nationale[76].
Le , Aurore Bergé est élue dès le premier tour d'un vote interne par ses pairs comme présidente du groupe Renaissance à l'Assemblée nationale[82],[83],[84]. Fin , à l'approche du terme de sa grossesse, elle cède temporairement son poste de présidente en faveur de Sylvain Maillard, vice-président du groupe Renaissance[85].
En , elle quitte l’hémicycle et son poste de présidente du groupe Renaissance au sein de l'Assemblée nationale après avoir été nommée ministre chargée des Solidarités et des Familles dans le gouvernement d’Élisabeth Borne[86].
Conseil d’administration de France Télévisions
Elle est nommée au conseil d’administration de France Télévisions en . Sa nomination suscite des critiques des syndicats concernant l'indépendance du groupe vis-à-vis du gouvernement. Selon l'intersyndicale ce type de poste est « traditionnellement attribué aux président-e-s des commissions des affaires Culturelles de l’Assemblée nationale et du Sénat »[87]. Aurore Bergé se défend en précisant que celui-ci revenait automatiquement à un député de la majorité et qu'elle était « la députée la plus engagée sur les questions audiovisuelles »[88].
Elle lance le Pass Colo permettant aux enfants des familles de milieu modeste et des classes moyennes d'avoir accès aux vacances[94],[95].
Aux côtés de la Première Ministre, Aurore Bergé lance le Pacte des Solidarités le 18 septembre 2023 à Matignon visant à renforcer la lutte contre la pauvreté, notamment des femmes et des enfants[96],[97].
Elle a également dans son portefeuille le service public de la petite enfance.
La crise autour des maltraitances dans les crèches privées se poursuit pendant ses fonctions. Dans le livre Les Ogres, le journaliste Victor Castanet affirme que durant cette période, la ministre aurait entretenu des rapports étroits avec Elsa Hervy, porte-parole de la Fédération française des entreprises de crèches (FFEC) afin de limiter l'ampleur du scandale médiatique après la mort d’une fillette de 11 mois dans un établissement du groupe "People & Baby". Dans ce cadre, les deux femmes auraient convenu d'un « pacte de non agression ». Interrogée à la suite de ces révélations, Aurore Bergé aurait démenti « toute proximité ou forme de copinage »[98],[99]. Le 9 octobre 2024, à l'initiative de députés « insoumis » et « écologistes », le bureau de l'Assemblée nationale a décidé, par dix voix contre neuf, de demander des poursuites judiciaires à charge d'Aurore Bergé du chef de faux témoignage, l'ancienne ministre ayant nié sous serment avoir des liens avec Elsa Hervy, alors que le journaliste Victor Castanet a publié notamment un courriel où Aurore Bergé aurait écrit d'Elsa Hervy : « C’est surtout une copine :) Elle sera très aidante avec moi[100]. »
Positions politiques
Orientation générale
Libération la présente comme une « européiste laïque, libérale sur les questions économiques et de mœurs »[14]. Elle présente l'ancienne Première ministre britannique Margaret Thatcher comme une « source d'inspiration »[15],[34].
En , elle annonce ne plus se reconnaître lorsque Les Républicains ont appelé à défiler contre le mariage pour tous et lorsque le parti choisit François Fillon comme candidat pour la présidentielle. Elle reproche notamment au candidat « de revenir sur l’adoption plénière pour les couples homosexuels, créant de fait une discrimination entre les enfants en raison de l’orientation sexuelle de leurs parents » et de faire « de l’IVG un sujet de l’élection présidentielle »[101].
Mariage pour tous, PMA et IVG
En , lors du processus législatif de la loi ouvrant le mariage et l'adoption aux couples de personnes de même sexe, elle prend position pour le mariage homosexuel, à contrecourant de son parti politique qui appelait à manifester contre le projet de loi[102], et après s'y être elle-même opposée peu de temps avant. Affirmant son attachement aux valeurs d'égalité, de dignité et sa volonté de protéger toutes les familles, elle précise qu'elle aurait cependant préféré une union civile et un statut des beaux-parents, qu'elle est attachée à l'altérité homme-femme au sein de la cellule parentale, qu'elle ne comprend pas « les expressions “deux mamans” ou “deux papas” » et qu'elle est dubitative sur l'adoption homoparentale et la procréation médicalement assistée (PMA) pour les couples de femmes. Elle accuse François Hollande d'être responsable de la « libération » des déclarations homophobes en jouant des oppositions entre pro et contre mariage pour tous[103],[104].
En , elle se fait passer pour une femme désirant avorter auprès de sites supposés assurer un service d'écoute et d'aide pour les femmes s'interrogeant sur une interruption de grossesse[105] mais qui sont en réalité tenus par des militants hostiles à l'IVG[106]. Aurore Bergé souhaitait démontrer que le site interrogé avait recours à la désinformation pour détourner les femmes de l'avortement. En réponse, le site incriminé porta plainte pour « diffamation par voie de presse » envers l'élue[107].
En 2017, elle se déclare désormais favorable à l'ouverture de la PMA à toutes les femmes, plaidant « un enjeu d'égalité des droits »[108]. Elle reste cependant opposée à la gestation pour autrui et précise que celle-ci n'était pas un projet du gouvernement[109].
En 2022, elle déclenche des tensions au sein de son groupe parlementaire après avoir reçu et loué Marguerite Stern et Dora Moutot, deux femmes se déclarant "femellistes" et régulièrement jugées transphobes (TERF)[110],[111] après qu'elles ont publié une tribune contre l'accompagnement des hommes trans lors de leur grossesse par le Planning familial. La même année, alors rapporteure du texte de loi visant à inscrire l'accès à l'IVG dans la Constitution, elle dépose un amendement qui vise à remplacer l'alinéa « Nul ne peut être privé du droit à l'interruption volontaire de grossesse » par « nulle femme ne peut être privée du droit à l'interruption volontaire de grossesse »[112]. Les associations et les militants LGBTQI+ dénoncent un « caractère foncièrement transphobe » de l'amendement, qui exclut de fait les hommes trans de ce projet de constitutionnalisation de l'IVG[113]. La députée affirme pour sa défense que cet amendement s'appuie sur une préconisation du Conseil national des barreaux et vise à empêcher qu'une personne extérieure puisse imposer une IVG à une autre[112].
Le Congrès inscrit finalement l'accès à l'IVG dans la Constitution en à la suite du travail qu'elle a mené avec la députée Mathilde Panot et les sénatrices Mélanie Vogel et Laurence Rossignol[114]. Entrée au gouvernement entre-temps, c'est elle qui porte le projet de révision constitutionnelle avec le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti[115].
En 2022, elle présente un amendement visant à alléger les droits de succession sur l'héritage, ce qui conduit à une querelle interne entre les députés Renaissance[118],[119].
Laïcité
Durant la XVe législature, elle intègre un groupe de travail de la majorité LREM qui a pour but d’alimenter le projet de loi du gouvernement visant à organiser et encadrer le financement du culte musulman[120].
En octobre 2019, des députés LREM se désolidarisent d'elle sous le hashtag #NotInMyName lorsqu'elle annonce son intention de voter la proposition de loi d'Éric Ciotti (LR) visant à interdire le port du voile aux accompagnantes lors des sorties scolaires[123]. À cette occasion, elle se déclare, plus largement, favorable à l'interdiction de « tous les signes religieux ostensibles dans les collectivités locales ou pour les accompagnatrices scolaires »[124].
International
Aurore Bergé tient des positions pro-israéliennes[125],[126],[127]. En février 2024, elle menace de supprimer les subventions aux associations féministes ayant tenu des « propos ambigus » sur l'attaque du Hamas contre Israël de 2023[128],[129],[130]. Elle diligente une enquête de son ministère sur les associations, qui n'aboutit en , à aucun résultat[131].
En , elle appelle à l'unité la classe politique française, et plus largement tous les gouvernements européens, face à l'invasion de l'Ukraine par la Russie[132].
Caricatures de ses positions et menaces de mort
En 2018, Le Monde rapporte que de fausses citations d'Aurore Bergé sont relayées de façon récurrente sur les réseaux sociaux et partagées sur des sites d'extrême droite sans qu'il en soit précisé un caractère parodique, le quotidien précise que cela engendre critiques et insultes sur les réseaux sociaux pour des propos qu’elle n’a pas tenus[133].
Le , Aurore Bergé dénonce sur Twitter des menaces de mort à son encontre et son enfant[134]. Cet événement crée une rumeur ; des internautes accusent les députées d’avoir elles-mêmes rédigé ces menaces, sans que la manipulation ne soit prouvée[135],[136].
Le , une polémique se crée sur les réseaux sociaux[139] à la suite de plusieurs articles de presse relayant les noms des députés, dont celui d'Aurore Bergé, ayant voté contre la proposition de loi visant à « instaurer un congé de deuil de douze jours consécutifs pour le décès d'un enfant mineur »[140]. Aurore Bergé explique ne pas avoir été « au courant du vote de cette mesure »[141], ayant donné son vote par délégation. Elle a depuis demandé à l'Assemblée nationale une rectification de son vote[142].
Dans le cadre de la guerre Israël-Hamas, elle multiplie les déclarations relayant des rumeurs au sujet de prétendues exactions commises par le Hamas : un bébé mis dans un four[146], femmes enceintes éventrées[147]. Toutes ces informations sont finalement identifiées comme des fake news[148].
Le Canard enchaîné révèle que son entourage lui reproche ses méthodes de management. Selon le journal, sa nomination au gouvernement en 2023 serait une exfiltration de l'Assemblée, où « une partie du groupe Renaissance ne supportait plus sa présidente, son « fonctionnement clanique » et les « humiliations » dont elle était coutumière ». Les méthodes d'Aurore Bergé n'auraient pas changé au gouvernement : le journal recense cinq démissions dans son cabinet au cours de ses six mois au ministère des Solidarités et des Familles, puis trois démissions dans les trois premiers mois à la tête du ministère de l'Egalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations[149].
En , Mediapart révèle qu'Aurore Bergé, alors ministre chargée de la Lutte contre les discriminations, a annulé, contre l'avis de son administration, le recrutement d'une haute fonctionnaire au poste de directrice régionale déléguée aux droits des femmes et à l’égalité pour la région Centre-Val de Loire, en raison d'opinions politiques jugées trop proches de celles de Benoît Hamon[150],[151],[152].
En , le journaliste Victor Castanet publie Les Ogres, un livre sur les crèches privées où il dénonce la collusion d'Aurore Bergé avec le lobby de ces crèches alors qu'elle était ministre de tutelle du secteur[153]. Celle-ci dément et assure vouloir porter plainte contre le journaliste[154]. Les groupes d'opposition écologistes et insoumis à l'Assemblée nationale demandent alors à sa présidente, Yaël Braun-Pivet, d'inscrire la question d'une procédure pour parjure à l'ordre du jour, pour avoir potentiellement caché ses liens d'intérêts lors d'une commission d'enquête sur le modèle économique des crèches. La présidente de l'Assemblée nationale s'y oppose[155]. À la suite de la plainte d'Aurore Bergé, Victor Castanet dévoile certains documents qui prouvent, selon lui, l'entente entre Aurore Bergé et Elsa Hervy, déléguée générale de la Fédération française des entreprises de crèches[156]. Le bureau de l'Assemblée nationale vote le 9 octobre la transmission au procureur d'une demande d'engagement de poursuites pour faux témoignage[157],[158].
Publication
Avec Élodie Massé et Élise Vouvet, Alter-égales : essai, Éditions Normant, , 121 p. (ISBN978-2-915685-53-4)[159].
L. Mt., « Députés des Yvelines : Aurore Bergé reste la championne des réseaux sociaux : Elle compte plus de 55 000 tweets et 37 000 abonnés sur Twitter, loin devant les onze autres députés du département », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Assemblée nationale : Aurore Bergé élue présidente du groupe de La République en marche, Olivier Marleix prend la tête du groupe Les Républicains », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑Ange Torlotting, « Aurore Bergé annonce la création d'un « Pass colos » pour 2024 », Les Echos, publié le 27 juil. 2023 à 10:40
mis à jour le 18 août 2023 à 11:57 (lire en ligne)
↑« Plan de lutte contre la pauvreté : 20 milliards d'euros dédiés sur cinq ans, précise Aurore Bergé, ministre des Solidarités », France Info, publié le 19/09/2023 08:40 (lire en ligne)
↑Le Monde avec AFP, « Crèches : le bureau de l’Assemblée signale à la justice le cas d’Aurore Bergé, accusée de faux témoignage », Le Monde, 9 octobre 2024, en ligne.
↑« L'élue des Yvelines Aurore Bergé, ancienne juppéiste, rejoint Emmanuel Macron », France Info, (lire en ligne, consulté le ).
↑Victor Boiteau, Laure Equy et Marlène Thomas, « IVG dans la Constitution. Liberté, j'inscris ton nom », Libération, no 13274, , p. 4-6 (ISSN0335-1793, lire en ligne, consulté le ).
↑Wally Bordas, « Le Congrès entérine l'inscription de l'IVG dans la Constitution », Le Figaro, no 24737, , p. 2 (ISSN0182-5852, lire en ligne, consulté le ).