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Cette page donne les armoiries (figures et blasonnements) des membres de la maison Bonaparte.
Charles Marie Bonaparte, ( - Ajaccio ✝ - Montpellier), est assesseur (juge) à la juridiction d'Ajaccio. Il est le père de l'empereur des Français Napoléon Ier et plusieurs de ses autres enfants accédèrent au rang de souverains pendant le Premier Empire[6].
Figure
Blasonnement
De gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe[1].
Famille Bonaparte à San Miniato, descendance de Corrado Bonaparte,
De gueules à deux bandes entre deux étoiles d'argent. On peut trouver les mêmes armes augmentées d'un chef d'azur à une croisette de gueules et deux fleurs de lis d'or entre les quatre pendants d'un lambel de gueules[7],[8]
divisé en chevron d'azur à deux étoiles d'argent, sur or à une croix latine pattée de sable, le pied fendu en chevron ; au chevron de sable, brisé sur la division[14],[15].
D'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même. La couronne, fermée et sommée d'un globe surmonté d'une croix recroisetée, utilise les aigles comme arceaux, intercalés entre des plumes stylisées. Le sceptre et la main de justice reproduisent les honneurs de Charlemagne utilisés pendant le sacre. Le grand collier de l'Ordre de la Légion d'honneur entoure l'écu. Le manteau de gueule, doublé d'hermines au naturel, semé d'abeilles d'or et frangé de même, porte un galon de sarments et de grappes. Les deux angles visibles du manteau montrent deux étoiles pentagrammiques d'or[18],[19],[20],[21].
Tiercé en pal : au I, coupé de gueules, à l'ombrellino (Pavillon pontifical) d'or chargée de deux clefs en sautoir du même (États pontificaux modifié) et d'azur à l'aigle d'argent couronné et armé d'or ou (Modène-Este), au II, d'argent à la guivre d'azur couronnée d'or engloutissant un enfant de carnation (Milan), au III, coupé, d'azur au lion de Saint-Marc ailé d'or, couronné du même (on trouve aussi coiffé d'une corne ducale de gueules)[22] (Vénétie) et de gueules à la croix d'argent cantonnée en pointe à senestre d'une tour du même, au lambel d'azur brichant en chef, sur le tout d'or à Couronne de fer (« sommée » de six pièces), à la bordure de gueules chargée de huit anneaux d'argent (Lombardie)[23].
On trouve aussi une version arrondie de l'écu.[24]
D'or à Couronne de fer (« sommée » de six pièces), à la bordure de gueules chargée de huit anneaux d'argent.
Armes du souverain de l'île d'Elbe de 1814 à 1815.
D'argent à la bande de gueule chargée de trois abeilles d'or[25].
Accolé de France et d'Autriche, qui est parti de deux traits ; au premier d'or au lion de gueules armé, lampassé et couronné d'azur ; au deuxième de gueules a la fasce d'argent ; au troisième d'or à la bande de gueules, chargée de trois alérions d'argent. Au manteau de gueules, semé d'abeilles d'or, frangé d'or, doublé d'hermines, à la couronne impériale sommée d'un globe surmonté d'une croix recroisetée[18],[21]
Parti ; au 1 d'or à six fleurs de lys d'azur posées 3, 2, 1 ; au 2 d'argent à la croix pattée de gueules, cantonnée de quatre aigles de sable, becquées, lampassées, membrées et armées de gueules ; brochant sur le tout tiercé en pal ; au 1 d'or au lion de gueules couronné d'azur ; au 2 de gueules à la fasce d'argent ; au 3 d'or à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent[26].
D'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même. La couronne, fermée et sommée d'un globe surmonté d'une croix recroisetée, utilise les aigles comme arceaux, intercalés entre des plumes stylisées. Le sceptre et la main de justice reproduisent les honneurs de Charlemagne utilisés pendant le sacre. Le grand collier de l'ordre de la Légion d'honneur entoure l'écu. Le manteau de gueules, doublé d'hermines au naturel, semé d'abeilles d'or et frangé de même, porte un galon de sarments et de grappes. Les deux angles visibles du manteau montrent deux étoiles pentagrammiques d'or[18],[19],[20],[21].
Parti ; au 1 d'or à six fleurs de lys d'azur posées 3, 2, 1 ; au 2 d'argent à la croix pattée de gueules, cantonnée de quatre aigles de sable, becquées, lampassées, membrées et armées de gueules ; brochant sur le tout tiercé en pal ; au 1 d'or au lion de gueules couronné d'azur ; au 2 de gueules à la fasce d'argent ; au 3 d'or à la bande de gueules chargée de trois alérions d'argent.
De gueules à deux lions passants et une divise d'or, l'écu ovale tenu par deux griffons de sable et d'or tenant chacun une bannière de guerre aux armes. Chapeau et manteau ducaux[28].
On trouve aussi : De gueules à la fasce d'or accompagnée deux léopards du second, l'un en chef, l'autre en pointe[29].
Coupé : I, parti : a, d'azur, à deux cornes d'abondance d'or passées en sautoir (Labour) ; b, d'azur, à un dauphin contournée d'argent (alias une queue de poisson couronnée) (Otrante) ; II, d'or, à une triquêtre issante d'une tête de Mercure de carnation (Île de Sicile) ; sur-le-tout d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon)[30].
Grandes armoiries avec manteau Napolitain.
Gironné de 15 pèces : I, en forme de franc-quartier, d'or, à une triquêtre issante d'une tête de Mercure de carnation (Île de Sicile) ; II, d'or au cheval contouné et effaré de sable (de Naples (ancien)) ; 3, d'azur, à deux cornes d'abondance d'or, passées en sautoir (du Labour) ; IV, coupé en A d'azur à une comète d'argent chevelée d'or, en B d'argent à un vol d'azur ; V, d'or, à l'aigle de gueules, couronnée du champ, issante d'une fasce denchée et abaissée d'azur (de Basilicate) ; VI, d'argent, à la croix potencée de sable (de Basse-Calabre) ; VII, écartelé en sautoir d'or, à quatre pals de gueules et d'argent, à la croix potencée de sable (alias d'Aragon et de Basse-Calabre) (de Haute-Calabre) ; VIII, D'or, à quatre pals de gueules, au dauphin d'argent, plongeant vers la pointe, brochant sur-le-tout (d'Otrante) ; IX, écartelé en sautoir d'azur et d'argent, à la crosse d'or, brochante sur-le-tout (de Bari) ; IX, d'azur, à un Saint-Michel d'or, terrassant un diable de sable, sur une montagne à trois coupeaux du deuxième, issante de la pointe (de Capitanate) ; XI, de gueules, à une étoile à huit rais d'or, ceinte d'une couronne de feuillage du même (de Molise) ; XII, coupé de gueules, à la couronne à l'antique d'or, et d'argent. (de Haut-Principat) ; XIII, d'or, à la hure de sable, surmontée d'un joug de gueules (des Basses-Abruzzes) ; XIV, d'azur, à l'aigle d'argent, surmontant une montagne d'or, issante de la pointe (des Hautes-Abruzzes) ; XV, de gueules accompagnée de deux croisettes alesées le tout d'argent ; sur-le-tout d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon) dans son pavillon de gueules[30].
Parti de un et coupé de deux : en I, de gueules au château d'or ouvert et ajouré d'azur, en II, d'argent au lion de gueules armé, lampassé et couronné d'or, en III d'or à quatre pals de gueules, en IV de gueules aux chaînes d'or posées en orle, en croix et en sautoir, chargées en cœur d'une émeraude au naturel, en VI d'argent à une pomme grenade de gueules, tigée et feuilleté de sinople et en VI d'azur, de gueules au vieux et nouveau monde d'or entre les colonnes d'Hercule d'argent ; sur le tout un écu oval d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon)[30].
Accolé du roi de Naples et de Clary :Coupé : I, parti : a, d'azur, à deux cornes d'abondance d'or passées en sautoir (Labour) ; b, d'azur, à un dauphin contourné d'argent (alias une queue de poisson couronnée) (Otrante) ; II, d'or, à une triquêtre issante d'une tête de Mercure de carnation (Île de Sicile) ; sur-le-tout d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même et celui de Clary, d'or à l'aigle éployée de sable, membrée, becquée et liée de gueules, au chef d'azur chargé d'un soleil d'or.[réf. nécessaire]
Deux écus accolés : parti de un et coupé de deux : en 1, de gueules au château d'or ouvert et ajouré d'azur, en 2, d'argent au lion de gueules armé, lampassé et couronné d'or, en 3 d'or à quatre pals de gueules, en 4 de gueules aux chaînes d'or posées en orle, en croix et en sautoir, chargées en cœur d'une émeraude au naturel, en 5 d'argent à une pomme grenade de gueules, tigée et feuilleté de sinople et en 6 d'azur, et de gueules aux vieux et nouveau monde d'or entre les colonnes d'Hercule d'argent ; sur le tout de d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même et celui de Clary, d'or à l'aigle éployée de sable, membrée, becquée et liée de gueules, au chef d'azur chargé d'un soleil d'or.[réf. nécessaire]
Blason losangé Parti de un et coupé de deux : en I, de gueules au château d'or ouvert et ajouré d'azur, en II, d'argent au lion de gueules armé, lampassé et couronné d'or, en III d'or à quatre pals de gueules, en IV de gueules aux chaînes d'or posées en orle, en croix et en sautoir, chargées en cœur d'une émeraude au naturel, en VI d'argent à une pomme grenade de gueules, tigée et feuilleté de sinople et en VI d'azur, le vieux et nouveau monde d'or entre les colonnes d'Hercule d'argent ; sur le tout un écu oval d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon).
Ces armoiries sont imaginaires (composition probable mais non sourcée).
Écu éliptique, de gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe couronne de prince romain à l'antique, manteau de gueules doublé d'hermine.
Blason losangé Parti de un et coupé de deux : en I, de gueules au château d'or ouvert et ajouré d'azur, en II, d'argent au lion de gueules armé, lampassé et couronné d'or, en III d'or à quatre pals de gueules, en IV de gueules aux chaînes d'or posées en orle, en croix et en sautoir, chargées en cœur d'une émeraude au naturel, en VI d'argent à une pomme grenade de gueules, tigée et feuilleté de sinople et en VI d'azur, le vieux et nouveau monde d'or entre les colonnes d'Hercule d'argent ; sur le tout un écu oval d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon).
Ces armoiries sont imaginaires (composition probable mais non sourcée).
Écu elliptique, de gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe couronne de prince romain à l'antique, manteau de gueules doublé d'hermine, Légion d'honneur.
Écu elliptique, de gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe couronne de prince romain à l'antique, manteau de gueules doublé d'hermine.
Écu elliptique, de gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe couronne de prince romain à l'antique, manteau de gueules doublé d'hermine.
Prince Bonaparte, à partir de 1853 :
D'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même, manteau impérial, couronne royale.
De gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe.
Troisième prince romain de Canino, de Musignano, à partir de 1857[36]
Écu elliptique, de gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe couronne de prince romain à l'antique, manteau de gueules doublé d'hermine.
Prince Bonaparte, à partir de 1853 :
D'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même, manteau impérial, couronne royale.
De gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe.
Quatrième prince romain de Canino, de Musignano, à partir de 1865[36]
Écu elliptique, de gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe couronne de prince romain à l'antique, manteau de gueules doublé d'hermine.
Prince Bonaparte, à partir de 1853 :
D'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même, manteau impérial, couronne royale.
Cardinal à partir de 1868
Écu elliptique, d'azur à l'aigle impériale d'or à la couronne impériale, empiétant un foudre du même.[40]
De gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe
Cinquième prince romain de Canino, de Musignano, à partir de 1895[36]
Écu elliptique, de gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe couronne de prince romain à l'antique, manteau de gueules doublé d'hermine.
Prince Bonaparte, à partir de 1853 :
D'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même, manteau impérial, couronne royale.
accolé de Wyse qui est : De sable à 3 chevrons d'hermine, et l'écu de l'Empire sur le tout couronnée d'une couronne royale, lui-même brisé sur le tout du tout de l'écu des Bonaparte, support 2 lions contournés de gueules semés de larmes d'argent, cimié un lion de même tenant un masse d'argent issant un tortil de sable et d'argent, devises : Gloria mea fides et sapere aude..
Princesse Bonaparte, à partir de 1853 :
D'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même, manteau impérial, couronne royale.
Écartelé I et V : De sable à 3 chevrons d'hermine, II et III d'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même, manteau impérial, couronne royale.
De gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe
Sixième et dernier prince romain de Canino, de Musignano, à partir de 1899[36]
Ecu éliptique, de gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe couronne de prince romain à l'antique, manteau de gueules doublé d'hermine.
Prince Bonaparte, à partir de 1853 :
D'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même, manteau impérial, couronne royale.
Accollé de Villeneuve qui est : De gueules fretté de six lances d'or, entresemé de petits écussons du même, et sur le tout un écusson d'azur chargé d'une fleur de lys d'or et de Napoléon : D'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même.
1806: Armoiries temporaires[53]De gueules, au lion d'or couronné du même, tenant dans sa patte dextre un faisceau de sept flèches d'argent, pointées et empennées d'or, et dans sa patte sénestre, une épée d'argent, garnie d'or (Provinces-Unies).
Ecartelé : I et IV, de gueules, au lion d'or couronné du même, tenant dans sa patte dextre un faisceau de sept flèches d'argent, pointées et empennées d'or, et dans sa patte sénestre, une épée d'argent, garnie d'or (Provinces-Unies) ; II et III, d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon)[30].
Ecartelé : I et IV, de gueules, au lion d'or couronné du même, tenant dans sa patte dextre un faisceau de sept flèches d'argent, pointées et empennées d'or, et dans sa patte sénestre, une épée d'argent, garnie d'or (Provinces-Unies) ; II et III, d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon).
Ecartelé : I et IV, de gueules, au lion d'or couronné du même, tenant dans sa patte dextre un faisceau de sept flèches d'argent, pointées et empennées d'or, et dans sa patte sénestre, une épée d'argent, garnie d'or (Provinces-Unies) ; II et III, d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon).
Parti : au I, d'argent au lion léopardé de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (Berg) ; au II, de gueules aux rais d'escarboucle, pommetés et fleuronnés d'or de huit pièces (Clèves). Sur le tout, d'azur à l'aigle d'or empiétant un foudre du même, la tête contournée (disparition de l'ancre par rapport au blason de Joachim Murat).
Ecartelé : I et IV, de gueules, au lion d'or couronné du même, tenant dans sa patte dextre un faisceau de sept flèches d'argent, pointées et empennées d'or, et dans sa patte sénestre, une épée d'argent, garnie d'or (Provinces-Unies) ; II et III, d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon)[30].
Ecartelé : I et IV, de gueules, au lion d'or couronné du même, tenant dans sa patte dextre un faisceau de sept flèches d'argent, pointées et empennées d'or, et dans sa patte sénestre, une épée d'argent, garnie d'or (Provinces-Unies) ; II et III, d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon).
Accolé de l'Empire français et parti, en 1 parti : en 1 parti : d'or, à trois troncs de gueules posés en bande, en 2 d'or, à trois fasces d'azur, chargées chacune de trois croisettes évidées d'argent (qui est et Rebolledo de Palafox) ; en 2 : échiqueté d'azur et d'or, à la bordure componée de Castille et de Léon (qui est de Portocarrero) ; en 2 : d'argent, au sautoir d'azur, au chef d'azur, chargé de trois coussins d'or (qui est de Kirkpatrick of Clossburne)[56],[57].
Écartelé : I, de gueules au cheval effaré d'argent arnaché d'or (de Westphalie) (Basse-Saxe) ; II, contre-écartelé, 1 de gueules à deux léopards d'or, 2 d'or, au chef de sable, chargé d'une étoile à six rais d'argent (comté de Ziegenhain(de)), 3 d'or, au chef de sable, chargé de deux étoiles à six rais d'argent (de Nidda), 4, d'or au léopard lionné de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (de Katzenelnbogen), sur-le-tout d'azur au lion burelé d'argent et de gueules et couronné d'or (de Hesse) ; III gironné de gueules et d'argent de seize pièces, sur le tout d'or au lion de gueules ; IV, contre-écartelé, 1 de gueules, à deux léopards d'or (de Brunswick), 2 d'or, au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (de Diepholt), 3 d'or, semé de cœurs de gueules, au lion d'azur, armé et lampassé du deuxième, brochant sur le tout (de Lunebourg), 4 de gueules, au lion d'or (Lauterberg) ; sur le tout d'azur à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon), grand collier de la Légion d'honneur[59],[60],[61].
Écartelé : I, de gueules au cheval effaré d'argent arnaché d'or (de Westphalie) (Basse-Saxe) ; II, contre-écartelé, 1 de gueules à deux léopards d'or, 2 d'or, au chef de sable, chargé d'une étoile à six rais d'argent (comté de Ziegenhain(de)), 3 d'or, au chef de sable, chargé de deux étoiles à six rais d'argent (de Nidda), 4, d'or au léopard lionné de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (de Katzenelnbogen), sur-le-tout d'azur au lion burelé d'argent et de gueules et couronné d'or (de Hesse) ; III gironné de gueules et d'argent de seize pièces, sur le tout d'or au lion de gueules ; IV, contre-écartelé, 1 de gueules, à deux léopards d'or (de Brunswick), 2 d'or, au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (de Diepholt), 3 d'or, semé de cœurs de gueules, au lion d'azur, armé et lampassé du deuxième, brochant sur le tout (de Lunebourg), 4 de gueules, au lion d'or (Lauterberg) ; sur le tout d'azur à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon), grand collier de la Légion d'honneur, ordre de la Couronne de Westphalie[30].
Parti, I) d'argent à la bannière ecclésiastique (gonfanon) de gueules frangée et attachée à trois anneaux d'or (ancien comté de Monfort) ; II) coupé a) d'or à la ramure de cerf de sable, b) aussi d'or au lion léopardé de sable lampassé de gueules.
Heaume grillé d'or avec couronne ouverte, lambrequin de gueules et d'argent comme cimier : une barrière d'argent, ondoyante portant peinte la bannière de gueules des Monforts. Support deux lions de sable lampassés de gueules, la queue fourchue. Manteau de pourpre, doublé d'hermine sortant d'une couronne ducale (à la germanique : bonnet de gueules, etc.).
Armes de la princesse de Wurtemberg, à partir de 1805 :
Parti au 1 d'or, à trois demi ramures de cerf de sable, qui est de Wurtemberg et au 2 d'or aux trois lions passant de sable, qui est de Souabe.
Armes de la reine de Westphalie, à partir de 1807 :
Deux écus accolés : Ecartelé : I, de gueules au cheval effaré d'argent arnaché d'or (de Westphalie) (Basse-Saxe) ; II, contre-écartelé, 1 de gueules à deux léopards d'or, 2 d'or, au chef de sable, chargé d'une étoile à six rais d'argent (de Ziegenhain(de)), 3 d'or, au chef de sable, chargé de deux étoiles à six rais d'argent (de Nidda), 4, d'or au léopard lionné de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (de Katzenellenbogen), sur-le-tout d'azur au lion burelé d'argent et de gueules et couronné d'or (de Hesse) ; III gironné de gueules et d'argent de seize pièces, sur le tout d'or au lion de gueules ; IV, contre-écartelé, 1 de gueules, à deux léopards d'or (de Brunswick), 2 d'or, au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (de Diepholt), 3 d'or, semé de cœurs de gueules, au lion d'azur, armé et lampassé du deuxième, brochant sur le tout (de Lunebourg), 4 de gueules, au lion d'or (Lauterberg) ; sur le tout d'azur à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon) et celui de Wurtemberg, parti au 1 d'or, à trois demi ramures de cerf de sable, qui est de Wurtemberg et au 2 d'or aux trois lions passant de sable, qui est de Souabe.[réf. nécessaire]
Armes de la princesse de Monfort, à partir de 1816 :
Deux écus accolés : Parti, I) d'argent à la bannière ecclésiastique (gonfanon) de gueules frangée et attachée à trois anneaux d'or (ancien comté de Monfort) ; II) coupé a) d'or à la ramure de cerf de sable, b) aussi d'or au lion léopardé de sable lampassé de gueuleset celui de Wurtemberg, parti au 1 d'or, à trois demi ramures de cerf de sable, qui est de Wurtemberg et au 2 d'or aux trois lions passant de sable, qui est de Souabe.[réf. nécessaire]
Parti, I) d'argent à la bannière ecclésiastique (gonfanon) de gueules frangée et attachée à trois anneaux d'or (ancien comté de Monfort) ; II) coupé a) d'or à la ramure de cerf de sable, b) aussi d'or au lion léopardé de sable lampassé de gueules.
Heaume grillé d'or avec couronne ouverte, lambrequin de gueules et d'argent comme cimier : une barrière d'argent, ondoyante portant peinte la bannière de gueules des Monforts. Support deux lions de sable lampassés de gueules, la queue fourchue. Manteau de pourpre, doublé d'hermine sortant d'une couronne ducale (à la germanique : bonnet de gueules, etc.).
coupé d'argent sur sable, à une fasce d'or brochant sur le coupé ; l'argent chargé de trois chevrons diminués et alésés de sinople, rangés en fasce ; le sable chargé d'un maillet d'argent emmanché au naturel. Timbre : casque morné de nouvel ennobli, sommé d'une palme d'argent. Lambrequins : sinople sur argent[65].
Écartelé au 1) et au 4 : de gueules à la fleur de lys de Florence d'argent au 2 et 3 d'argent à la croix de gueules, à la croix pâtée de sable, sur le tout des Demidoff[66].
Parti, I) d'argent à la bannière ecclésiastique (gonfanon) de gueules frangée et attachée à trois anneaux d'or (ancien comté de Monfort) ; II) coupé a) d'or à la ramure de cerf de sable, b) aussi d'or au lion léopardé de sable lampassé de gueules.
Heaume grillé d'or avec couronne ouverte, lambrequin de gueules et d'argent comme cimier : une barrière d'argent, ondoyante portant peinte la bannière de gueules des Monforts. Support deux lions de sable lampassés de gueules, la queue fourchue. Manteau de pourpre, doublé d'hermine sortant d'une couronne ducale (à la germanique : bonnet de gueules, etc.).
De sable, au lion d'or, armé et lampassé de gueules, chargé sur l'épaule d'un écusson burelé d'or et de sable de dix pièces au crancelin ou couronne de rue de sinople, brochant en bande sur le tout[69].
Dans son testament, il désigne son petit-fils Jean-Christophe et non son fils aîné, Charles, comme nouveau prétendant bonapartiste au trône impérial français.
Le testament de son père le prive de ses droits dynastiques ; il s'estime cependant chef légitime de la famille impériale, sans être toutefois prétendant au trône par conviction républicaine.
au I, coupé d'or à six fleurs de lis (maison Farnèse de Parme) et d'argent à cinq écussons disposés en croix d'azur chargés de cinq besans d'argent en sautoir à la bordure de gueules chargée de huit châteaux d'or, donjonnés de trois tours, ouverts et ajourés d'azur (royaume de Portugal) ; au II, coupé d'un écartelé au 1 et 4 de gueules au château d'or, donjonnés de trois tours, ouverts et ajourés d'azur (royaume de Castille) et au 2 et 3 d'argent au lion de pourpre (royaume de Léon), et d'azur semé de fleur de lis d'or et brisé d'un lambel de gueules (dynastie angevine de Naples) ; au III d'or à six besants posés 1, 2, 2, 1, celui du chef d'azur à trois fleurs de lis d'or (royaume de France) et les cinq autres de gueules (maison Médicis de Florence) ; sur le tout d'azur à trois fleurs de lis d'or, brisé d'une bordure de gueules (dynastie de Bourbon-Anjou).
Deux écus accolés : Parti : au I, d'argent au lion léopardé de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (Berg) ; au II, de gueules aux rais d'escarboucle, pommetés et fleuronnés d'or de huit pièces (Clèves) ; à l'ancre de sable à quatre becs brochant sur le parti. Sur le tout, d'azur à l'aigle d'or empiétant un foudre du même, la tête contournée et celui de Bonaparte, de gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe.
Deux écus accolés : Parti : I, d'or au cheval contouné et effaré de sable (de Naples (ancien)) ; II, d'or, à une triquêtre issante d'une tête de Mercure de carnation (Île de Sicile) ; sur-le-tout d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon)et celui de Bonaparte, de gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe.
Ces armoiries sont imaginaires (composition probable mais non sourcée).
Écu sur lequel est posée une double ancre, entourée du collier de la Légion d'Honneur posé sur deux bâtons de maréchal (d'azur semé d'aigle d'or), heaume emplumé, manteau impérial, sur une couronne de…marquis.
Parti : au I, d'argent au lion léopardé de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (Berg) ; au II, de gueules aux rais d'escarboucle, pommetés et fleuronnés d'or de huit pièces (Clèves) ; à l'ancre de sable à quatre becs brochant sur le parti. Sur le tout, d'azur à l'aigle d'or empiétant un foudre du même, la tête contournée[30],[73],[74],[75].
Parti : I, d'or au cheval contouné et effaré de sable (de Naples (ancien)) ; II, d'or, à une triquêtre issante d'une tête de Mercure de carnation (Île de Sicile) ; sur-le-tout d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon)[30],[74],[75],[76],[73].
Grandes armes :Gironné de 15 pèces : I, en forme de franc-quartier, d'or, à une triquêtre issante d'une tête de Mercure de carnation (Île de Sicile) ; II, d'or au cheval contouné et effaré de sable (de Naples (ancien)) ; 3, d'azur, à deux cornes d'abondance d'or, passées en sautoir (du Labour) ; IV, coupé en A d'azur à une comète d'argent chevelée d'or, en B d'argent à un vol d'azur ; V, d'or, à l'aigle de gueules, couronnée du champ, issante d'une fasce denchée et abaissée d'azur (de Basilicate) ; VI, d'argent, à la croix potencée de sable (de Basse-Calabre) ; VII, écartelé en sautoir d'or, à quatre pals de gueules et d'argent, à la croix potencée de sable (alias d'Aragon et de Basse-Calabre) (de Haute-Calabre) ; VIII, D'or, à quatre pals de gueules, au dauphin d'argent, plongeant vers la pointe, brochant sur-le-tout (d'Otrante) ; IX, écartelé en sautoir d'azur et d'argent, à la crosse d'or, brochante sur-le-tout (de Bari) ; IX, d'azur, à un Saint-Michel d'or, terrassant un diable de sable, sur une montagne à trois coupeaux du deuxième, issante de la pointe (de Capitanate) ; XI, de gueules, à une étoile à huit rais d'or, ceinte d'une couronne de feuillage du même (de Molise) ; XII, coupé de gueules, à la couronne à l'antique d'or, et d'argent. (de Haut-Principat) ; XIII, d'or, à la hure de sable, surmontée d'un joug de gueules (des Basses-Abruzzes) ; XIV, d'azur, à l'aigle d'argent, surmontant une montagne d'or, issante de la pointe (des Hautes-Abruzzes) ; XV, de gueules accompagnée de deux croisettes alesées le tout d'argent ; sur le tout d'azur à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon), sur les insignes de grand amiral de l'Empire[30],[76],[73].
Coupé : au 1, parti d'or au cheval contourné et effaré de sable (de Naples (ancien)) et d'azur à 2 cornes d'abondance d'or, passées en sautoir ; au 2 d'or à la triquètre de carnation (Île de Sicile) , sur le tout d'Empire, surmonté d'une couronne royale et manteau d'Empire sur les insignes de grand amiral de l'Empire et grand collier de la Légion d'honneur[77],[78].
Coupé : au 1, parti d'or au cheval contourné et effaré de sable (de Naples (ancien)) et d'azur à 2 cornes d'abondance d'or, passées en sautoir ; au 2 d'or à la triquètre de carnation (Île de Sicile) , sur le tout d'Empire, surmonté d'une couronne royale et manteau d'Empire sur les insignes de grand amiral de l'Empire et grand collier de la Légion d'honneur.
Coupé : au 1, parti d'or au cheval contourné et effaré de sable (de Naples (ancien)) et d'azur à 2 cornes d'abondance d'or, passées en sautoir ; au 2 d'or à la triquètre de carnation (Île de Sicile), sur le tout d'Empire, couronne royale et manteau napolitain.
Parti : I, d'or au cheval contourné et effaré de sable (de Naples (ancien)) ; II, d'or, à une triquêtre issante d'une tête de Mercure de carnation (Île de Sicile) ; sur-le-tout d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon) sur les insignes de grand amiral de l'Empire et grand collier de la Légion d'honneur.
Coupé : au 1, parti d'or au cheval contourné et effaré de sable (de Naples (ancien)) et d'azur à 2 cornes d'abondance d'or, passées en sautoir ; au 2 d'or à la triquètre de carnation (Île de Sicile), sur le tout d'Empire, couronne royale et manteau napolitain.
Coupé : au 1, parti d'or au cheval contourné et effaré de sable (de Naples (ancien)) et d'azur à 2 cornes d'abondance d'or, passées en sautoir ; au 2 d'or à la triquètre de carnation (Île de Sicile), sur le tout d'Empire, couronne royale et manteau napolitain.
Parti : I, d'or au cheval contouné et effaré de sable (de Naples (ancien)) ; II, d'or, à une triquêtre issante d'une tête de Mercure de carnation (Île de Sicile) ; sur-le-tout d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon), couronne royale et manteau de pourpre doublé d'hermine.
Parti : au I, d'azur, à un dragon ailé d'or (Borghesi), au chef du même, chargé d'une aigle de sable, becquée, membrée et couronnée d'or (Saint-Empire) ; au II, de gueules à l'ombrelle à galons de gueules et d'or, sommée d'un globe crucifère d'or, la tige en forme de lance chargée de deux clefs en sautoir avec les pannetons tournés vers l'extérieur et vers le haut, l'une d'or et l'autre d'argent, liées de gueules (gonfalonnier de l'Église) ; au chef de prince souverain brochant.et celui de Bonaparte, de gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef, l'autre en pointe.
Parti : au I, d'azur, à un dragon ailé d'or (Borghesi), au chef du même, chargé d'une aigle de sable, becquée, membrée et couronnée d'or (Saint-Empire) ; au II, de gueules à l'ombrelle à galons de gueules et d'or, sommée d'un globe crucifère d'or, la tige en forme de lance chargée de deux clefs en sautoir avec les pannetons tournés vers l'extérieur et vers le haut, l'une d'or et l'autre d'argent, liées de gueules (gonfalonnier de l'Église) ; au chef de prince souverain brochant[84].
On trouve aussi:
Parti : au I, d'azur, à un dragon ailé d'or (Borghesi), au chef du même, chargé d'une aigle de sable, becquée, membrée et couronnée d'or (Saint-Empire) ; au II, de gueules à l'ombrelle à galons de gueules et d'or, sommée d'un globe crucifère d'or, la tige en forme de lance chargée de deux clefs en sautoir avec les pannetons tournés vers l'extérieur et vers le haut, l'une d'or et l'autre d'argent, liées de gueules (gonfalonnier de l'Église) ; au chef de prince souverain brochant, manteau royal, couronne ducale entourant un bonnet de gueules ; collier de la Légion d'honneur, collier de la Toison d'or et ruban de la Couronne de fer.
Parti : au I, coupé d'argent et de gueules (Lucques) à la lionne rampant, la tête contournée, brochant sur le tout ; au II, de gueules à deux bandes d'or accompagnées de deux étoiles du même, une en chef et une en pointe ; sur le tout d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon)[85].
Ecartelé : I, d'or à six sphères mises en orle, cinq de gueules, celle en chef d'azur chargée de trois fleurs de lys d'or (de Médicis, pour la Toscane) ; II, coupé d'argent et de gueules (de Lucques) (on trouve aussi une lionne rampant, la tête contournée, brochant sur le tout[85]) ; III, coupé de gueules et d'or au chef du premier chargé d'une aigle bicéphale de sable, un créquier de sable feuillé d'argent (alias d'un rameau d'épines de sinople en pal) brochant, chargé en abime d'un écusson de gueules à la bande échiquetée d'argent et d'azur, au chef d'argent à la croix de gueules (de Cybo-Malaspina, pour Massa et Carrare) ; IV, de gueules à deux barres d'or accompagnées de deux étoiles du même ; sur le tout d'azur, à l'aigle d'or, la tête contournée, au vol abaissé, empiétant un foudre du même (de Napoléon)[30].
Armes anciennes des Baciocchi : D'or, au pin de sinople, fruité de trois pièces du champ, issant d'un brasier de gueules. Supports: deux lions. Devises: 1° DALLE CENERI SUAE OGNIOR RIVASCE (Renaît toujours de ses cendres) 2° JAMAIS MESQUIN[73].
partie : I) coupé d'argent et de gueules au léopard rampant, au naturel, brochant ; II) de Bonapartesur le tout : d'Empire, manteau impérial, couronne ducale, collier de la Toison d'or, et de la Légion d'honneur[86].
On trouve aussi:
Coupé d'argent sur gueules (Lucca) ; au chef de prince souverain brochant[87].
partie : I) coupé d'argent et de gueules au léopard rampant, au naturel, brochant ; II) de Bonaparte sur le tout : de Baciocchi (d'or, au pin de sinople, fruité de trois pièces du champ, issant d'un brasier de gueules), Manteau royal, couronne ducale, collier de la Toison d'or, et de la Légion d'honneur[88].
Armes de la princesse de Piombino : Partie mi-coupé à dextre : au I, coupé d'argent et de gueules (Lucques) à la lionne rampant, la tête contournée, brochant sur le tout ; au II, de gueules à deux bandes d'or, accompagnées deux étoiles à 6 raies du même (Bonaparte) ; au III, d'or, au pin de sinople, fruité de trois pièces du champ, issant d'un brasier de gueules (anciennes armes des Baciocchi), sur le tout de l'Empire[89],[90].
Accolé de Beauharnais qui est : d'argent, à la fasce de sable, accompagnée de trois merlettes du même, rangées en chef[96]. et de Tascher de La Pagerie qui est : d'argent, à trois fasces d'azur, chacune chargée de trois flanchis du champ, surmontées de deux soleils de gueules[97],[98].
D'azur à l'aigle impériale d'or, les ailes étendues, empiétant un foudre du même. Au manteau de gueules, semé d'abeilles d'or, frangé d'or, doublé d'hermines, à la couronne impériale sommée d'un globe surmonté d'une croix recroisetée[18].
Comme duchesse de Navarre de 1810 à 1814, l'empereur lui concéda de nouvelles armoiries qu'elle n'employa pas :
Écartelé, au premier : d'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même, au deuxième et troisième : d'argent à la fasce de sable surmontée de trois merlettes du même (Armes des Beauharnais) et au quatrième : d'or à trois pals de sinople[99].
D'azur à l'aigle d'or empiétant un foudre du même, le foudre chargé d'un médaillon ovale d'argent surchargé d'un E de sable[101].
On trouve aussi parfois :
d'azur à l'aigle d'or empiétant un foudre du même, brisé par l'écu de Lombardie (d'or à Couronne de fer (« sommée » de six pièces), à la bordure de gueules chargée de huit anneaux d'argent.
Ecartelé : I, (de Leuchtenberg) ; II, de gueules au mur d'argent flanqué de deux tours, le tout maçonné et ouvert d'argent posé sur une terrasse de sinople, deux arbres de sinople issants des tours (d'Eichstätt) ; III de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; IV, d'argent à la fasce de sable accompagnée en chef de trois merlettes du second (de Beauharnais)[102]
Parti en 1 : d'or au lion de sable à la queue fourchée passée en sautoir armé et lampassé de gueules, couronné d'or (qui est de Juliers) en 2, d'argent au lion de gueules, la queue fourchée passée en sautoir, armé, lampassé et couronné d'azur (qui est de Berg), en 3, de gueules, à l'écusson d'argent, aux rais d'escarboucle d'or, brochantes sur le tout (qui est de Clèves), en 4, d'or à la fasce de sable (qui du Comté de Sponheim), en 5, échiquetée d'argent et de gueules de trois tires (qui est de Birkenfeld), en 6 de gueules à trois montagne de sinople chargé de trois croix d'argent en sautoir (qui est de Bergen op Zoom), en 7, d'argent au lion d'azur couronné d'or (qui est du Comté de Veldenz, en 8, d'or, à la fasce échiquetée d'argent et de gueules de trois tires (qui est de la Marck), en 9, D'argent à trois blason de gueules (2 et 1) (qui est de Ribeaupierre), en 10, d'argent, à trois chevrons de gueules (qui est de Ravensberg), en 11, d'argent à trois têtes d'aigle de sable couronné d'or 2 et 1 (qui est de la principauté de Waldeck-Pyrmont, sur le tout, écartelé en 1 et 4 de sable, au lion d'or, armé et lampassé et couronné de gueules (qui est du comté palatin du Rhin) et en 2 et 3 fuselé en bande d'azur et d'argent (qui est de Bavière), sur le tout de gueules à l'orbe d'or[103].
Parti en 1 : D'azur, au penon écartelé d'argent et de gueules, la hampe d'or et D'argent et de gueules de trois pièces (qui est de l'évêché de Wurtzbourg), en 2, d'argent au lion de gueules, la queue fourchée passée en sautoir, armé, lampassé et couronné d'azur (qui est de Berg), en 3, de gueules, à l'écusson d'argent, aux rais d'escarboucle d'or, brochantes sur le tout (qui est de Clèves), en 4, d'or au lion de sable armé et lampassé de gueules au bâton d'argent brochant sur le tout (qui est de l'archidiocèse de Bamberg), en 5, parti de gueules et d'argent (qui est de l'abbaye d'Augsbourg, en 6, coupé de gueules et d'azur à la tête de princesse couronnée d'or (qui est de l'abbaye de Kempten, en 7, d'argent à la tête de Maure au cou et à la boucle d'oreille de gueules, couronné d'or (qui est de l'abbaye de Freising), en 8, d'argent au loup de gueules (qui est de l'abbaye de Passau), en 9, d'argent à la fasce d'azur (qui est de Leuchtenberg), en 10, Coupé en1 de gueules à l'éléphant d'argent et en 2 d'or (qui est du comté Helfenstein), en 11, d'argent, à trois chevrons de gueules (qui est de Ravensberg), 12, d'argent à une montage à trois pics de sinople surmonté d'un lion de gueules armé et lampassé aussi de gueules (qui est de Mindeheim), 13, d'or, à la fasce échiquetée d'argent et de gueules de trois tires (qui est de la Marck), 14, de gueules au demi aigle bicéphale d'argent (qui est de abbaye d'Ottobeuren), 15, d'argent au château à deux tours de gueules (qui est de Rothenburg), sur le tout, écartelé en 1 et 4 de sable, au lion d'or, armé et lampassé et couronné de gueules (qui est du comté palatin du Rhin) et en 2 et 3 fuselé en bande d'azur et d'argent (qui est de Bavière), sur le tout de gueules à l'orbe d'or[104],.
fuselé en bande d'azur et d'argent (qui est de Bavière), sur le tout parti au 1er de gueules à l'orbe d'or, au seconde de sable, au lion d'or, armé et lampassé et couronné de gueules (qui est du comté palatin du Rhin) et en 2 et 3 fuselé en bande d'azur et d'argent (qui est de Bavière), la couronne du royaume de Bavière.
Deux écus accolés : d'azur à l'aigle d'or empiétant un foudre du même, le foudre chargé d'un médaillon ovale d'argent surchargé d'un E de sable et du Bavière qui est fuselé en bande d'azur et d'argent, sur-le-tout de gueules, à une épée d'argent garnie d'or passée en sautoir avec un sceptre d'or, le tout surmonté d'une couronne royale du même.
Ces armoiries sont imaginaires (composition probable mais non sourcée).
Deux écus accolés : Ecartelé : I, (de Leuchtenberg) ; II, de gueules au mur d'argent posé sur une terrasse de sinople, flanqué de deux tours, le tout maçonné et ouvert d'argent, deux arbres de sinople issants des tours (d'Eichstätt) ; III de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; IV, d'argent à la fasce de sable accompagnée en chef de trois merlettes du second (de Beauharnais) et de Bavière qui est fuselé en bande d'azur et d'argent, sur-le-tout de gueules, à une épée d'argent garnie d'or passée en sautoir avec un sceptre d'or, le tout surmonté d'une couronne royale du même[105].
Ecartelé : 1, de Leuchtenberg ; 2, d'Eichstadt ; 3, de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; 4, de Beauharnais.
À partir du 21 mars 1826, un écu d'azur à la couronne royale d'or, porté en sur-le-tout des armes précédentes.
parti, en 1 coupé d'or, cantonné en chef d'azur, à trois couronnes d'or (de Suède moderne) et d'azur, à trois barres ondées d'argent, au lion couronné d'or, brochant sur le tout (de Suède ancien), en 2 de gueules, au lion couronné d'or, tenant dans ses pattes une hache danoise d'argent, emmanchée du second (de Norvège ancien) à la demi-croix de Saint-Eric, sur-le-tout écartelé : 1, de Leuchtenberg ; 2, d'Eichstadt ; 3, de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; 4, de Beauharnais ; sur-le-tout, d'azur, à la couronne royale d'or.
Au pairle patté d'or, qui est la croix de Saint-Eric, cantonné en chef d'azur, à trois couronnes d'or (de Suède moderne), à dextre de gueules, au lion couronné d'or, tenant dans ses pattes une hache danoise d'argent, emmanchée du second (de Norvège ancien) et à senestre d'azur, à trois barres ondées d'argent, au lion couronné d'or brochant sur le tout (de Suède ancien), en pointe d'or à un griffon de sable, armé et lampassé de gueules qui est de Södermanland , sur-le-tout parti de Vasa (tiercé en bande d'azur, d'argent et de gueules à la gerbe d'or brochant) et de Pontecorvo (d'azur, au pont à trois arches d'argent, sur une rivière de même, ombrée d'azur, et supportant deux tours du second ; au corbeau de sable, empiétant d'un foudre d'or surmonté d'un chef cousu d'azur semé d'étoiles d'or (de Bernadotte))[107].
Parti, en 1 coupé d'or, cantonné en chef d'azur, à trois couronnes d'or (de Suède moderne) et d'azur, à trois barres ondées d'argent, au lion couronné d'or, brochant sur le tout (de Suède ancien), en 2 de gueules, au lion couronné d'or, tenant dans ses pattes une hache danoise d'argent, emmanchée du second (de Norvège ancien) à la demi-croix de Saint-Éric, sur-le-tout parti de Vasa (tiercé en bande d'azur, d'argent et de gueules à la gerbe d'or brochant) et de Pontecorvo (d'azur, au pont à trois arches d'argent, sur une rivière de même, ombrée d'azur, et supportant deux tours du second ; le tout surmonté d'un corbeau de sable empiétant un foudre d'or accompagné en chef de sept étoiles d'or aussi rangées en forme de la constellation de la Grande Ourse (de Bernadotte))[108].
Ecartelé : 1, de Leuchtenberg ; 2, d'Eichstadt ; 3n de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; 4, de Beauharnais.
À partir du 21 mars 1826, un écu d'azur à la couronne royale d'or, porté en sur-le-tout des armes précédentes.
Écartelé au 1 et 4 d'argent plein au 2 et 3 de sable plein, sur le tout d'or au lion de sable lampassé et couronné de gueules à la bordure componée de gueules et d'argent[110].
D'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même, au deuxième et troisième : d'argent à la fasce de sable surmontée de trois merlettes du même (Armes des Beauharnais) et au quatrième : d'or à trois pals de sinople[99].
Napoléon Ier créa Joséphine, à titre compensatoire, par lettres patentes du , duchesse de Navarre, avec clause de reversion pour son fils Eugène de Beauharnais : « lettres patentes du , avec transmission héréditaire dans la descendance masculine directe et masculine de son fils aîné:[111] ».
À la mort de Joséphine, en 1814, ce furent ses petits-fils Auguste de Beauharnais (1810-1835), puis son frère Maximilien (1817-1852) qui lui succédèrent.
Écartelé : I, (de Leuchtenberg) ; II, de gueules au mur d'argent flanqué de deux tours, le tout maçonné et ouvert d'argent posé sur une terrasse de sinople, deux arbres de sinople issants des tours (d'Eichstätt) ; III de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; IV, d'argent à la fasce de sable accompagnée en chef de trois merlettes du second (de Beauharnais)[102]
Écartelé : 1, de Leuchtenberg ; 2, d'Eichstadt ; 3, de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; 4, de Beauharnais sur-le-tout, d'azur, à la couronne royale d'or.
Le 21 mars 1826, son oncle le roi Louis Ier de Bavière lui concède pour augmentation :
un écu d'azur à la couronne royale d'or, porté en sur-le-tout des armes précédentes.[113].
Écartelé : 1 et 4 de Beauharnais ; 2, d'Eichstadt ; 3, de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 5 étoiles d'argent ; sur-le-tout, d'azur, à la couronne royale d'or[114].
Parti au 1 du Portugal qui est : d'argent aux cinq écus d'azur disposés en croix, chaque écu chargé de cinq besants d'argent disposé en sautoir, à la bordure de gueules chargée de sept châteaux d'or, donjonnés de trois tours, ouverts et ajourés d'azur au 2 du duché de Leuchtenberg qui est : 1, de Leuchtenberg ; 2, d'Eichstadt ; 3, de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; 4, de Beauharnais ; sur-le-tout, d'azur, à la couronne royale d'or[116].
Écartelé : 1, de Leuchtenberg ; 2, d'Eichstadt ; 3n de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; 4, de Beauharnais.
À partir du 21 mars 1826, un écu d'azur à la couronne royale d'or, porté en sur-le-tout des armes précédentes.
Coupé de l'empire du Brésil (de sinople, à la sphère armillaire d'or sur une croix de l'ordre du Christ, entourée d'un anneau d'azur chargé de vingt étoiles d'argent) et de Leuchtenberg (1, de Leuchtenberg ; 2, d'Eichstadt ; 3n de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; 4, de Beauharnais ; sur-le-tout, d'azur, à la couronne royale d'or)[118].
D'argent aux cinq écussons d'azur disposés en croix, chaque écusson chargé de cinq besants d'argent disposés en sautoir, à la bordure de gueules chargé de sept châteaux d'or, donjonnés de trois tours, ouverts et ajourés d'azur.
D'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même, au deuxième et troisième : d'argent à la fasce de sable surmontée de trois merlettes du même (Armes des Beauharnais) et au quatrième : d'or à trois pals de sinople[99].
Écartelé : 1, de Leuchtenberg ; 2, d'Eichstadt ; 3, de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; 4, de Beauharnais ; sur-le-tout, d'azur, à la couronne royale d'or[120].
Écartelé : 1, de Leuchtenberg ; 2, d'Eichstadt ; 3, de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; 4, de Beauharnais ; sur-le-tout, d'azur, à la couronne royale d'or, l'écu coiffé de la couronne ducale posé sur le grand aigle bicéphale russe[121],[122],[123].
Parties au premier d'or à l'aigle impériale de Russie chargée sur la poitrine de l'écartelé de Leuchtenberg, d'Eichstadt, de sinople à l'épée d'argent garnie d'or accompagnée de sept étoiles du dernier, de Beauharnais, sur le tout d'azur à la couronne fermée d'or, l'écartelé couronné d'un bonnet princier au naturel, et au second d'or à l'aigle impériale de Russie, chargé sur la poitrine d'un écu de Moscovie entouré du collier de l'ordre du Saint-Apôtre André le premier appelé, et sur les ailes de ceux des tsarats de Kazan, d'Astrakhan, de Pologne, de Sibérie et de Tauride, du royaume de Géorgie, des grands-duchés de Kiev, Vladimir et Novgorod et de celui de Finlande.[124].
Jusqu'au décret héraldique du 8 décembre 1856 promulgué par Alexandre II de Russie pour l'ensemble de la maison impériale, les différents membres de la dynastie Romanov n'ont pas à proprement parler d'armoiries particulières. La sœur de l'empereur n'obtient donc les siennes propres que quatre ans après la mort de Maximilien de Beauharnais, alors qu'elle était déjà remariée depuis un mois avec le comte Grigori Alexandrovitch Stroganov. Cette dernière union étant demeurée secrète en raison de son caractère morganatique, la grand-duchesse reçut des armes illustrant seulement sa situation de duchesse douairière de Leuchtenberg.
Un écu d'or à l'aigle impériale de Russie, chargée d'un écusson écartelé de Leuchtenberg (1 et 4), de sinople à l'épée haute d'argent garnie d'or et à plusieurs (sept) étoiles à six branches du dernier, et en 3 de Beauharnais, un écusson de gueules au chiffre couronné de Nicolas Ier de Russie d'or brochant sur le tout. L'écu, entouré du collier de l'ordre du saint apôtre André le premier appelé et sommé du casque du saint prince Alexandre Newski est tenu par deux griffons d'or sous un manteau de toile d'or semée de petites aigles impériales, doublé d'hermine et sommé de la petite couronne impériale[125].
Écartelé : 1, de Leuchtenberg ; 2, d'Eichstadt ; 3n de sinople, à l'épée haute d'argent, garnie d'or, accompagnée de 7 étoiles du même ; 4, de Beauharnais.
À partir du 21 mars 1826, un écu d'azur à la couronne royale d'or, porté en sur-le-tout des armes précédentes.
parti au 1 d'or, à trois demi ramures de cerf de sable, qui est de Wurtemberg et au 2 d'or aux trois lions passant de sable à la patte dextre de gueules, qui est de Souabe.
Parti au 1 d'or, à trois demi ramures de cerf de sable, qui est de Wurtemberg et au 2 d'or aux trois lions passant de sable à la patte dextre de gueules, qui est de Souabe[126].
De pourpre à la bande d'or ; 2, de gueules, au lion contourné d'or et celui de Napoléon, d'azur à l'aigle impériale d'or, empiétant un foudre du même[131].
↑Joshua F. Drake "The partbooks of a Florentine ex-patriate: new light on Florence, Biblioteca Nazionale Centrale Ms. Magl. XIX 164–7", Early Music, 33, 4 (novembre 2005), p. 639-646. Les représentations contemporaines des armes de ce personnage étant en volume ou à la plume, l'hésitation porte sur les couleurs.
↑ abc et dNicolas Roret, Nouveau manuel complet du blason ou code héraldique, archéologique et historique : avec un armorial de l'Empire, une généalogie de la dynastie impériale des Bonaparte jusqu'à nos jours, etc..., , 340 p. (lire en ligne), p. 191
↑Diplôme du 22 juillet 1818, cité par Comte von Pettenegg, "Titel und wappen des Herzogs von Reichstatd", in Neues Jahrbuch des Heraldisch-Genealogische Gesellschaft "Adler", 1900, p. 326 : "Gestatten Wir demselben die Annahme und Führung eines besonderen Wappens, bestehend aus zwei gegen die rechte Seite über einander schreitenden goldenen Löwen, in einem durch eine schmale goldene Querlinie getheilten rothen, mit dem herzoglichen Hute und Mantel gezierten Oval-Schilde, welchem Wir zur Vermehrung zwei schwarz und goldene Greife mit Feldpanieren, in welchem das herzogliche Wappen wiederholt erscheinet, als Schildhalter beifügen."
↑« Villeneuve (Christian-Henri-Marie de) », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition] [texte sur Sycomore]
↑ a et bVicomte Albert Révérend (1844-1911), Armorial du Premier Empire : titres, majorats et armoiries concédés par Napoléon Ier, vol. 3, Paris, (4 vol. in 2) Au bureau de L'Annuaire de la noblesse, (lire en ligne)
↑ abcd et eRegistre des lettres patentes de collation de titres (1808-1830), Archives Nationales, BB/29/1035, pages 65-66
Hervé Pinoteau, "L'héraldique napoléonienne", in ibid. Vingt-cinq ans d'études dynastiques, Paris, 1982, p. 34: "Lorsqu'elle reçut le duché de Navarre il fut écrit que ce duché aurait les armes suivantes écartelé: I) de l'Empire, II, III) d'ag. à la fasce de sa. surmontée de 3 merlettes posées en fasce, du même (Beauharnais), IV) d'or à 3 pals de sinople. Ses successeurs -les Beauharnais- devaient avoir au-dessus de ces armes un chef de gu. semé d'étoiles d'ag. Ce qui ne fut pas porté"