Vilar de Canes
Vilar de Canes, en valencien et officiellement (Villar de Canes en castillan)[1], est une commune d'Espagne de la province de Castellón dans la Communauté valencienne. Elle est située dans la comarque de l'Alcalatén et dans la zone à prédominance linguistique valencienne[2]. Géographie
Le territoire de la commune est traversé par le ravin (barranco) de "En Seguer", la rambla Carbonera, la rivière Molinell, le barranco de la Tejería et le barranco de la Frescó. Les principales montagnes sont la Sierra de Foyes, le Tossal Redó et le Machorral. On rencontre diverses sources naturelles que se trouvent situées dans de beaux paysages peuplés d'une grande végétation. Hameaux et districts ruraux (pedanías)Sur le territoire de Vilar de Canes, se trouvent les hameaux suivants :
Localités limitrophesLe territoire de Culla est voisin des localités suivantes : Benasal, Ares del Maestre, Albocácer, Culla et Torre de Embesora, toutes dans la province de Castellón. HistoireL'origine de la localité est obscure. Sur le mont Machorral subsistent des ruines d'un château arabe. Les troupes du roi Jacques Ier le Conquérant la libérèrent du pouvoir sarrasin. Historiquement, elle faisait partie de la "tinença" de Culla, seigneurie qui depuis 1235 appartenait à Blasco de Alagón et ensuite à Guillem d'Anglesola et à son épouse Constanza de Aragón. Leur fils, portant le même nom, donna le , le lieu et les moulins de Monlló et de la Bailío de Culla à Bernat de Montpalau et à son épouse Guillema d'Anglesola. Ce fut celle-ci et son fils Pere de Montpalau qui accordèrent au village une charte de peuplement (carta puebla). Le ils donnèrent à Domingo Matamoros, Bernardo Segarra, Berengario Vilamanya, Bernardo Vilamanya, Berengario Gomar, Arnaldo Igualada, Miguel Rovira, Pedro Segarra, Arnaldo Querol et Gita épouse de Gil Girona et à d'autres habitants, le lieu de Villar de Canes et son territoire avec juridiction civile et criminelle. De 1294 à 1312, le village appartint à la seigneurie de l'Ordre du Temple, et à partir de 1319 elle entra dans la seigneurie de l'Ordre de Montesa, tout en restant un fief de la famille Montpalau. Démographie
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