Roger-Ducasse entreprend la composition de plusieurs pièces pour piano seul en 1918, à la fin de la Première Guerre mondiale[1] alors que le compositeur, mobilisé le [2], a été « rendu à la vie civile » depuis un an[3].
Dédiée à MmeAlfred Pereire, la pièce est considérée à sa parution par Henri Collet comme l'apogée de la « science de l'alchimie sonore » de Roger-Ducasse[5]. Guy Sacre y voit pour sa part l'un des « deux chefs-d'œuvre du piano » du compositeur[6], en compagnie de Rythmes, dont elle constitue un « rayonnant pendant[7] ».
Analyse
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Discographie
Roger-Ducasse : Œuvres pour piano, Dominique Merlet (2001, Mandala MAN 5011) (OCLC659094228) (premier enregistrement mondial)
Roger-Ducasse : Piano Works, Joel Hastings (2017, Grand Piano GP724)
Roger-Ducasse : Piano Works, Patrick Hemmerlé (2019, Melism MLS-CD 013)
Bibliographie
Ouvrages généraux
Michel Duchesneau, L'Avant-garde musicale et ses sociétés à Paris de 1871 à 1939, Paris, Éditions Mardaga, , 352 p. (ISBN2-87009-634-8)
Guy Sacre, La musique pour piano : dictionnaire des compositeurs et des œuvres, vol. II (J-Z), Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », , 2998 p. (ISBN978-2-221-08566-0), p. 2299-2309