En 1946, il part en Chine pour prendre le commandement des troupes françaises stationnées dans le Yunnan[2]. L'année suivante, il est en poste en Allemagne puis en 1948 il commande le détachement motorisé autonome d'Afrique-Équatoriale française[4]. Après avoir été détaché quelques mois au cabinet du chef d'état-major des armées en 1952, il est promu colonel et part pour l'Indochine où il commande le secteur de Sontay[3]. Il part en Algérie en 1955 pour y seconder le général commandant les territoires du sud du pays[2]. Il y reçoit ses étoiles de général de brigade en 1960 avant de partir pour Djibouti où il est chef des forces armées françaises[4]. En 1965, il est muté dans les Antilles pour exercer la fonction de commandant supérieur interarmées du groupe Antilles-Guyane[3]. Passé général de division, il retourne en Afrique pour prendre le commandement des troupes françaises d'Afrique centrale[4]. Il devient inspecteur des troupes de marine en 1970 après avoir été élevé au rang de général de corps d'armée et deux ans avant d'être admis en 2e section du corps des officiers généraux[4]. Robert Quilichini meurt le à Bayonne et est inhumé à Clamart dans les Hauts-de-Seine[2].