Tous sont issus de l'industrie du jeu vidéo, les trois derniers ayant signé de nombreuses réalisations au sein de la société française de jeux vidéo infogrames.
Le gérant et 5e associé est César Jacquet, à qui l'on doit Guetali, le premier fournisseur d'accès à Internet de La Réunion en 1996.
Ce jeu a suscité une vive émotion au sein de la communauté MMORPG internationale avant sa sortie. Ainsi, plus de 350 000 visiteurs se sont inscrits sur le forum officiel postant plus d'un million de messages.
Juillet 2004, démission d'une partie du staff de NP Cube (Jean-François Levigne, Vincent Pelisson et Vincent Pourieux, ayant fondé la société VWORLD, succédant à la société CPU Software). Un litige concernant la propriété intellectuelle du moteur de rendu utilisé dans Dark and Light oppose dès lors Vincent Pourieux et NP Cube[2]. Ce litige concerne l'utilisation d'une technologie développée par Pourieux depuis 1996 et utilisée à l'origine dans Eingana. Le , Mr Pourieux a déposé une plainte pour délit de contrefaçon et violation de droits d'auteur à l'encontre de la société NP Cube, en qualité de propriétaire de la dite technologie.
Peu de temps après, en 2004, Laurent Paret démissionne et fonde sa propre structure (Paret Productions) qui travaille entre autres pour NP3.
À la suite de ces départs, Christophe Nazaret devient chef de projet et responsable technique du jeu.
Le , la société NPCube a été intégralement déboutée de ses requêtes par le Tribunal de Commerce de Clermont-Ferrand, qui a jugé que les différents échecs de la société NPCube n'étaient en rien imputables à la société VWORLD. Le Tribunal a également jugé que le moteur de jeu Mafate faisait usage de la technologie V-world, renommée VWorldTerrain en 2004 et non « d'une technologie SCAPER ». La société NPCube a été condamnée à verser 50 000 Euros de dommages et intérêts à la société VWORLD[3].
Partenariats
Au cours du temps NP Cube s'est entourée de différents partenaires afin de mener à bien le développement de Dark and Light :
BigWorld, société australienne proposant une architecture de réseau client/serveur destinée aux jeux vidéo[4]