Méry-la-Bataille

Méry-la-Bataille
Méry-la-Bataille
La nécropole militaire française.
Blason de Méry-la-Bataille
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Plateau Picard
Maire
Mandat
Isabelle Da Silva - Graczyk
2020-2026
Code postal 60420
Code commune 60396
Démographie
Gentilé Mérysiens, Mérysiennes
Population
municipale
612 hab. (2022 en évolution de −3,16 % par rapport à 2016)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 32′ 47″ nord, 2° 37′ 48″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 129 m
Superficie 11,26 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives [1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Liens
Site web https://www.merylabataille.fr/

Méry-la-Bataille est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. .

Géographie

Localisation

Méry-la-Bataille est un village du Plateau picard, situé à vol d'oiseau à {nobr|20 km}} au nord-ouest de Compiègne, 14 km au nord d'Estrées-Saint-Denis, 25 km au nord-est de Clermont, 12 km au sud de Montdidier et 20 km au sud-ouest de Roye.

Le village se trouve dans la zone d'emploi de Compiègne et dans le bassin de vie de Saint-Just-en-Chaussée[I 1].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Belloy, Courcelles-Epayelles, Lataule, Ménévillers, Montgérain, Mortemer, Neufvy-sur-Aronde, Tricot et Wacquemoulin.

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 11,26 km2 ; son altitude varie de 72 à 129 mètres[1].

Louis Graves indiquait en 1839 que son « son territoire, de figure ovalaire, constitue une plaine traversée par une croupe centrale sur laquelle le chef-lieu est bâti ; quoique ce tertre dépasse à peine les champs voisins, comme il n'est dominé par aucun autre et qu'il est situé sur la limite des bassins de la Somme et de l'Oise, on aperçoit le village de fort loin ; son clocher est visible dans certaines directions jusqu'à dix lieux d'éloignement. Un ravin occupe la limite méridionale du territoire, et un bois considérable sépare ce vallon du chef-lieu[2] ».

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Méry-la-Bataille[Note 2].

La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiques Artois-Picardie et Seine-Normandie.

Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 701 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

Typologie

Au , Méry-la-Bataille est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].

Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,5 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,5 %), zones urbanisées (4,5 %)[12].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Habitat et logement

En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 274, alors qu'il était de 267 en 2016 et de 249 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 89,7 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 7,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,3 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Méry-la-Bataille en 2021 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,2 %) supérieure à celle du département (2,4 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Méry-la-Bataille en 2021.
Typologie Méry-la-Bataille[I 3] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 89,7 90,5 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,2 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 7,2 7 8,1

Voies de communication et transports

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 655, 6304, 6309 et 6328 du réseau interurbain de l'Oise[13].

Toponymie

Les formes anciennes de Méry sont : de Mederiaco villa (Xe) ; Maris (vers 1078) ; Mederiacum (1180) ; Moiry (1189) ; Mairi (1195) ; in foresta Meriaci (1202) ; de Meriaco (1218) ; Meriacum (1218) ; Radulfus de mairi (1239) ; Maderiacum (1239) ; Merium (1239) ; Meri (1240) ; dou bos de mairi (1255) ; forestarius boscorum Meriaci (1248) ; Mery (1303) ; Méry (1840) ; Méry-la-Bataille (1928)[14].

Nom de type gallo-romain Materiacum, formé avec le nom d'homme bas latin Materius et suff. -acum[15].

Le complément « la Bataille » est ajouté en 1932[1], en mémoire des combats ayant marqué la Bataille du Matz, lors de la Première Guerre mondiale.

Histoire

Ancien Régime

Louis Graves indique que Méry obtient une charte communale en 1191.

Selon lui, « Méry appartenait dans l'origine au comté de Clermont en Beauvoisis, d'où il fut.démembré en faveur du comte de Boulogne qui le céda en 1397 à la maison de Hangest. La terre de Belloy qui l'avoisine en relevait.
Louis d'Ongnies; comte de Chaulnes, surintendant des finances et gouverneur du comté de.Clermont, acquis par échange la seigneurie pour laquelle il donna le vingt-six août 1526 celle de Bruey.
Son petit-fils Louis II d'Ongnies, comte de Chaulnes, gouverneur de Clermont et lieutenant- général au gouvernement de Picardie la vendit le 5 février 1597 à Julien Dufos, secrétaire du roi, le même qui acheta aussi de la maison de Chaulnes la seigneurie de Lataule, voisine de celle-ci. Ses descendants portèrent dans le dix-huitième siècle le titre de marquis de Méry
Le château qui était fortifié au lieu qu'on nomme
[en 1839] la Tour, et où l'on voit les restes des fossés qui l'entouraient. Il était détruit depuis très long-tems.
A l'époque des guerres de Flandre sous Louis XIV, un parti considérable d'ennemis pénétra jusqu'au près de Méry, qu'il voulut rançonner. Urbain Cochepain, procureur de la justice seigneuriale, fit sonner le tocsin, se mit à la tête des habitans , chargea vigoureusement les pillards, dent on tua un si grand nombre que quelques cavaliers seulement purent s'échaper
[2] »
.

Époque contemporaine

En 1839, le village était formé de quatre rues principales, larges, mal alignées, coupées par de vastes mares. De nombreuses maisons étaient encore des chaumières. On compte alors à Méry une carrière et deux moulins à vent, et la population vit de l'agriculture[2].

Première Guerre mondiale

Méry-la-Bataille est au cœur de la Bataille du Matz qui se déroule du 5 au à la fin de la Première Guerre mondiale, au cours de l'Offensive du Printemps (Bataille du Kaiser), dernière attaque de grande ampleur de l'armée allemande.

Les assauts ennemis sont repoussés par les troupes du général Mangin. Les noms de Méry et de Courcelles figurent sur la statue du général érigée au chevet de l'église Saint-François-Xavier de Paris, place du Président-Mithouard, dans le 7e arrondissement.

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[16] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [17].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise[I 1].

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Maignelay-Montigny[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Intercommunalité

Méry-la-Bataille est membre de la communauté de communes du Plateau Picard[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1977 mars 1983 Jean-Paul Janicot   Ingénieur
mars 1983 mars 2001 Jacques Josselin[18]   Agriculteur
mars 2001 mai 2020 Patrick Perronnet[19] SE Artisan
mai 2020[20] En cours
(au 5 novembre 2024)
Isabelle Da Silva   Clerc de notaire

Équipements et services publics

Enseignement

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Courcelles-Epayelles et du Frestoy-Vaux dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[19],[20] (RPI).

Population et société

Démographie

Les habitants sont appelés les Mérysiens et les Mérysiennes.

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

En 2022, la commune comptait 612 habitants[Note 3], en évolution de −3,16 % par rapport à 2016 (Oise : +0,87 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 053872876853835814794727715
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
683657633601570557559543553
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
527509500380483488438521529
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
524504514496509531611623620
2017 2022 - - - - - - -
629612-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 319 hommes pour 309 femmes, soit un taux de 50,8 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,3 
5,1 
75-89 ans
8,2 
16,7 
60-74 ans
13,0 
22,3 
45-59 ans
24,0 
19,1 
30-44 ans
19,9 
17,5 
15-29 ans
13,5 
19,0 
0-14 ans
21,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Manifestations culturelles et festivités

Le village accueille chaque année un rassemblement de motos et voitures américaines organisé par l'association Iguane Club[18],[26].

Méry-la-Bataille a accueilli en juillet 2024 les finales du championnat de France de longue paume[27], jeu classé à l'Inventaire du patrimoine culturel immatériel français en 2012[28].

Sports et loisirs

  • Société de longue paume de Méry-la-Bataille, créée en 1934[29].

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • La nécropole nationale de Méry-la-Bataille : le cimetière militaire français est située au nord du village. Aménagé en 1921 et 1935, il est mitoyen du cimetière communal et contient 1 538 corps dont 254 en ossuaires[30].
  • L'église Notre-Dame (XVIe siècle) : la nef et la façade datent du XVIIIe siècle.

Personnalités liées à la commune

  • Madeleine (1912-1949)[31] et Georges Blin (1908-1945)[32], instituteurs et résistants. Georges Blin a longtemps enseigné à Méry-la-Bataille avant d'être déporté avec sa femme Madeleine. Il est mort au camp de Flossenburg. Une place de la commune porte son nom[33].

Héraldique

Blason de Méry-la-Bataille Blason
Coupé émanché : au 1er d'azur à une gerbe de blé accostée de deux fleurs de lys, le tout d'or, au 2d d'argent à un canon de gueules[34].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Articles connexes

Liens externes

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références

Notes

  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

  1. « Réseau hydrographique de Méry-la-Bataille » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

Autres sources

  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a b et c Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Maignelay, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 122 p. (lire en ligne), p. 56-58, sur Google Livres.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Méry-la-Bataille et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Transports en commun à Méry-la-Bataille », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  14. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 342.
  15. MORLET M Th Les Noms de personne sur le territoire de l'ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle (1968), t.3, p. 135.
  16. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  17. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
  18. a et b Lucien Djani, « Le 20e rassemblement de motos de Mery-la-Bataille, c’est dimanche », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Jacques Josselin, alors maire, nous a encouragés et soutenus ».
  19. a et b « Méry-la-Bataille : les élus veulent garder leur école », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ce lundi soir, le conseil municipal et le maire (SE) de Méry-la-Bataille, Patrick Peronnet, ont donné un avis défavorable à une étude de faisabilité. Elle devait prévoir le regroupement des 55 élèves de la commune avec ceux des villages voisins de Courcelles-Epayelle, Le Fresttoy-Vaux et le Ployron ».
  20. a et b Lucien Djani, « Isabelle Da Silva, maire Méry-la-Bataille : « Il est hors de question que nous perdions nos classes », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Installée le 26 mai dernier au poste de maire, à la tête d’une équipe renouvelée pour moitié, Isabelle Da Silva est clerc de notaire dans le civil. Mariée, maman de deux garçons de 21 et 13 ans, elle a été élue la première fois en 2000, dans l’équipe de Patrick Peronnet, maire sortant. Elle fut ensuite 2e adjointe dès le mandat suivant, puis 1re adjointe de 2014 à 2020, plus spécialement en charge des affaires sociale ».
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Méry-la-Bataille (60396) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  26. Maxime Piquet, « Les motards sont venus par centaines ce dimanche 21 mai dans le Plateau picard », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Le 22e rassemblement motos de Méry-la-Bataille a battu des records de fréquentation ».
  27. Lucien Djani, « L’Oise et Méry-la-Bataille accueillent les finales du championnat de France de longue paume », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Dans ce sport, populaire du Moyen Âge au XVIIIe siècle et encore très pratiqué en Picardie, l’équipe locale a déjà emporté le trophée en 1970 et 1971. Le rendez-vous est donné le 7 juillet 2024 pour peut-être remporter de nouveau le titre national ».
  28. « Ministère de la Culture » (consulté le )
  29. Lucien Djani, « Ils s’engagent pour perpétuer la tradition de la longue paume dans l’Oise », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Président de la société de longue paume de Méry-la-Bataille, Benoît Carlier œuvre à la promotion de ce sport ancestral ».
  30. « La nécropole nationale de Méry-la-Bataille », sur https://www.cheminsdememoire.gouv.fr (consulté le ).
  31. Jean-Pierre Besse, « BLIN Madeleine [née HEIL Madeleine] », Le Maitron en ligne, 20/10/2008 mis à jour le 25/8/2022 (consulté le ) « Née le 5 juin 1912 à Verneuil-en-Halatte Oise), morte le 15 septembre 1962 à Creil (Oise) ; institutrice ; militante socialiste, résistante-déportée ; première femme élue au conseil général de l’Oise (1945-1949) ».
  32. Élie Fruit, « BLIN Georges, Désiré », Le Maitron en ligne, 20/10/2008 mis à jour le 11/4/2022 (consulté le ) « Né le 31 août 1908 à Verderel-lès-Sauqueuse (Oise), mort en déportation le 3 janvier 1945 à Flossenburg (Allemagne) ; instituteur ; militant syndicaliste (SNI), et socialiste de l’Oise ; résistant ».
  33. « Qui étaient Madeleine et Georges Blin ? », Présentation, Collège Madeleine et Georges Blin (consulté le ).
  34. « 60396 Méry-la-Bataille (Oise) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

 

Prefix: a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9

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