Cet article présente la liste des voies d'Autun, commune française du département de Saône-et-Loire. Elles sont classées par quartiers ou lieu-dit et par ordre alphabétique.
no 5 : bâtiments dits « Écuries du roi »[3], écuries et logements de troupes au XVIIIe siècle, écuries jusqu'au XXe siècle[4], Centre municipal d'archéologie et du patrimoine Alain-Rebourg au XXIe siècle[4],[5] école municipale du XXe siècle[5]
no 1 : couvent des Carmélites ouvert en 1838[15] puis des Bénédictines de la Compassion[16] en 2000[17] no 3 : maison des Frères de la Doctrine chrétienne de 1817 à 1887[15], ancienne école municipale[16]
nom attesté en 1553[25] rue Scévola (Révolution)[25]
nos 1, 3, 5 : façades du XVIIIe siècle[26] no 5 : hôtel de Roussillon[25](photo) no 6 : ancienne maison des Cordeliers jusqu'au XVe siècle[27] no 7 : pavillon décoré de 1588[25]
rue Dufraigne
vicus de Fraxino (1447)[28] vicus du Fraigne (1456)[28] rue de la Montagne (Révolution)[28]
no 14 : hôtel particulier du XVIIe siècle[29] no 18 : ancienne maison de Barthélemy de Chasseneuz et chapelle disparue du Bon-Dieu-de-Pitié[28] nos 20 à 26 : couvent des Ursulines de 1617 à 1791[28] no 22 : chapelle des Ursulines, disparue au XVIIIe siècle[28] emplacement de la porte médiévale Matheron disparue[9]
rue ès Mareschaulx (1515)[41] rue des Poids-du-Roi (fin du XVIIIe siècle)[41] rue d'Assas (Révolution)[41]
nos 2, 6, 18 et 25 : maisons anciennes[41] no 22 : anciennes Grandes Boucheries, devenues salle de spectacle ou écoles[41],[42]
impasse Notre-Dame
rue des maisons des chanoines de Nostre-Dame[43] angle de Cornélie (Révolution)[43]
nos 6 à 12 : anciennes maisons des chanoines de Notre-Dame[43], façades refaites au XIXe siècle[44]
rue Notre-Dame
rue aux Moynes (XVe siècle-XVIIe siècle)[45] rue du Jeu-de-Paulme (avant et pendant la Révolution)[45],[46] rue Notre-Dame (XIXe siècle)[45] rue Cornélie (XIXe siècle)[45]
rue Piolin (XVe siècle)[49] rue des Principes (Révolution)[49]
no 6 : ancienne maison des sœurs de la Charité de Nevers[49],[50], devenu centre social des Hauts-Quartiers[51] no 15 : hôtel de Roussillon[34]
place du Refitou
ancien emplacement des aumônes durant le Carême, devenu jardins et cimetière des chanoines aux XVIe et XVIIe siècles[45] sculpture Gislebertus d'André Chambrion (2010)[52]
rue de Rivault
rue Le Pelletier (fin XVIIIe siècle)[53] rue de Riveau (XIXe siècle)[53]
château de Rivault dont il subsiste la tour des Ursulines no 8 et 14 : hôtel des seigneurs de Montjeu du XVe siècle, disparu, couvent des Visitandines au XVIIIe siècle[53],[44]
no 7 : ancien presbytère[54] du XVe siècle[55], remanié au XIXe siècle[54] et chapelle contiguë Notre-Dame-des-Bonnes-Œuvres[54] maison contiguë au porche du « Grand Cloître » : édifiée au XIIe siècle, façade remaniée aux XVe et XVIIIe siècles[55]
in Capitello, in Capitolio, vicus Capitolii, rue du Chapiteau, rue Chapiteau (XVe, XVIe, XVIIe , XVIIIe siècles)[62] Rue des Bonnets-Rouges (Révolution)[62]
emplacement de la Grange Vertu du XIVe siècle[78] no 1 : très vieille maison, peut-être XIIIe siècle, premier étage du XVIe siècle[77] no 3 : façade parementée en pierres de grès de petit appareil romain[77] nos 13 et 19 : façades Art nouveau[79]
no 28 : ancien bureau de Poste[86] no 29 : auditoire disparu des Consuls[81] no 30 : emplacement de la maison natale de Nicolas Changarnier[81] nos 39-40 : auberge de Bourgogne[87]
rua ou vicus Chaucechien (XIVe siècle)[92] rue Chaussechien (XVe – XVIe siècle)[92] grande rue Chaulchien (XVIIe siècle) rue du 31-Mai (Révolution)[92] grande Rue (nom alternatif)
no 5 : lieu de découverte de la mosaïque gallo-romaine de Neptune[112] no 10 : hôtel Damas[111], siège de la paroisse Saint-Lazare en Autunois au XXIe siècle[113]
rue Jondeau
rue de la Fraternité (Révolution)[114] rue Jondot (XIXe siècle)[102]
rue de la Grange de Saint-Anthoyne (XVIIe siècle)[120] rue Rousseau (Révolution)[120]
Nombreux bâtiments du XVIIIe siècle[34]. no 9 : hôtel Quarré du Plessis[34] no 14 : muséum d'histoire naturelle[121] nos 15-17-19 : hôpital et monastère du Saint-Esprit attesté au XIIIe siècle, supprimé au XVIIIe siècle[120] nos 15-17 : transformé en Grand Séminaire au XIXe siècle, puis caserne Billard et hôpital au début du XXe siècle[122], maison de retraite au XXIe siècle[34] no 19 : hôtel Cochon ou de Thil[34] no 28 : hôtel Joubert[34]
vestiges de la porte de Paris du XVIIIe siècle[143],[144] ancienne école communale de garçons, actuel conservatoire de musique de l'Autunois[143] no 5 : façade Art déco[145]
Située contre les murs de la ville à l'ouest, la cité de la Croix-Verte est créée vers 1960 dans le losange formé par le boulevard Mazagran, la rue Croix-Verte, la rue Jules-Basdevant (qui longe la promenade des Marbres) et le boulevard Frédéric-Latouche[181].
Harold de Fontenay, auteur d'Autun et ses monuments en 1889, délimite le « faubourg des Marbres » (on retrouve aussi le nom « quartier des Marbres »[190],[191]) par la rue du 2e-Dragons, la rue de la Maladière et la rue Gaston-Joliet, comprenant notamment le lycée militaire et le théâtre romain[192]. Le toponyme renvoie à la porte des Marbres, située à l'emplacement de place Charmasse[193].
no 6 : vestige antique dit « pseudo-temple d'Apollon », peut-être une nymphée[198] hôtel de Charmasse du milieu du XIXe siècle, demeure d'Anatole de Charmasse ; démoli en 1969[199],[200] emplacement de la porte des Marbres du rempart moderne du XVIIe siècle[198] statue d'un taureau couché en acier de Peter Meyers[201]
rue des Enfants-de-Troupe
no 3 : lycée militaire, ancien Grand Séminaire du XVIIe siècle[195] musée national des Enfants de troupe
vestiges des remparts romains[218] église Saint-Pancrace, attestée au IXe siècle et démolie au XVIIIe siècle, cimetière Saint-Pancrace et ancienne chapelle Sainte-Anne[219]
vestiges des remparts romains[226] château de Rivault du XIIe siècle, détruit au XVIIe siècle, dont il subsiste la tour des Ursulines[226] : communauté des Ursulines jusqu'au XVIIIe siècle, communauté des Sœurs de la Visition du XIXe au XXe siècle puis siège du Centre international de la tour des Ursulines créé par le peintre japonais Hisao Takahashi au XXIe siècle[9]
rue de Pévain ou Prébain (XIVe siècle)[249] rue èz Raz (XIVe siècle et XVe siècle)[249] rue de la Fontaine de Prévain (XVIe siècle)[249] rue ès Roys (XVIe siècle)[249] rue de la Discrétion (Révolution)[249] rue aux Rats (XVIIe siècle)[249]
tanneries « les Étuves » (disparues)[249] à l'emplacement des jardins Saint-Lazare[250] pavillon « l'Escurial » (disparu)[249] no 14 : siège de la Visitation Sainte-Marie et église au XVIe siècle : caserne et prison après la Révolution, couvent des dames du Sacré-Cœur du couvent Sainte-Marie, scolasticat des Oblats de Marie-Immaculée puis Petit Séminaire au XVIIIe siècle[249] et enfin Institution Saint-Lazare au XXe siècle[93](photo) usine de chaussures Roc[251]
no 9 : maison disparue avec une grande statue de Saint Christophe sur sa façade : religieuses de l'abbaye Saint-Andoche au XVe siècle, maison et collège des jésuites aux XVIe et XVIIe siècle, couvent des Jacobines de Sainte-Dominique aux XVIIe et XVIIIe siècles, Petit Séminaire au XVIIIe siècle ; démolie au milieu du XIXe siècle[252] no 7 : chapelle disparue des Jacobines du XVIIe siècle, salle de la Société populaire à la Révolution puis Vauxhall ; démolie au XIXe siècle[252]
rue Saint-Germain
rue Saint-Andoche (jusqu'en 1967)[253] rue de la Raison (Révolution)[254]
nos 1 et 7 : ancienne abbaye Saint-Andoche fondée au VIe siècle puis congrégation du Saint-Sacrement depuis le XIXe siècle[254],[255], avec une crypte pré-romane[256] no 9 : vestiges du chevet de l'ancienne église Saint-Pierre-Saint-Andoche[257]
Autrefois un petit hameau au bord de l'Arroux, les terres entre les quartiers Saint-Jean et Saint-Andoche sont jusqu'au début du XXe siècle en culture. Le parc Saint-Andoche est vendu en 1906 par l'abbaye Saint-Andoche à la Société immobilière Bernheim frères qui en fait un lotissement[260]. Les voies du parc sont baptisées en 1911[261].
no 3 : hôtel Gillot ou Lagoutte de 1771[257] no 41 (démoli) : couvent de capucins au XVIIe siècle puis siège de la Société de la Retraite chrétienne au XIXe siècle[273], institution Saint-Andoche, pensionnat des frères de la Doctrine chrétienne et institution Saint-Lazare au XXe siècle[274] no 36 : façade Art déco[272] no 64 : façade néo-classique décorée et Art nouveau, de 1900[272] pont attesté au XIIIe siècle, reconstruit au XVIe siècle et élargi au XXe siècle[275]
résidence du Bois de Sapin[311] ancienne léproserie de Fleury ou maladrière de Saint-Jacques et Saint-Philippe de Fleury-les-Ostun[311] ancienne chapelle Saint-Flocel[311]
Ancienne commune créée puis rattachée à Fragny durant la Révolution[327], le hameau de Montromble est situé à l'extrémité sud d'Autun. Il est entouré par la frontière avec les communes d'Antully, Marmagne et Broye.
Commune rattachée à Autun à partir de 1973 avant sa fusion en 2013, Saint-Pantaléon rassemble aussi les anciennes communes, disparues à la Révolution, de Saint-Symphorien-lès-Autun et Saint-Pierre-l'Estrier[332],[333].
La dénomination des rues débute en 1974 et se poursuit notamment en 1981, 1987, 1992, 1995 et 2004. Les îlots d'immeubles portent des noms évoquant la campagne morvandelle ou bourguigonne, les voies du village moderne des noms d'écrivains, de militaires et de savants, ceux du hameau des Tuileries des noms de musiciens et ceux de Saint-Symphorien des noms de fleurs[334].
Le chemin correspond à la section de la rue de la Grille comprise entre la rue Grange-Vertu et la rue Creuse. Afin de permettre la construction du chemin de fer au cours des années 1860, la rue de la Grille est raccourcie et prend fin avenue de la République[277].
rue Boucher
rue aux Bouchers (1714)[217] rue des Bouchers (1794)[342] (XVIIIe siècle) rue Mably (Révolution)[342]
La rue disparaît en 1880 par la fusion avec la rue aux Lauchiens pour former la rue Lauchien-le-Boucher[217].
Au XVIe siècle, la rue part de la porte cochère de la maison aujourd'hui située 2, rue Bouteiller, longe le mur inférieur du jardin de l'évêché, débouche sur le ruisseau appelé Boutoiller ou Boutailler (qui descend de Montjeu jusqu'au faubourg Saint-Pancrace) puis continue en direction du moulin Marchandot. Elle s'étend ensuite sur la rue Bouteiller actuelle[3].
Avant la destruction de l'ancienne cathédrale en 1783, le passage débute à l'actuel porche 7, place du Terreau et continue en direction de la cathédrale[63].
Au XVIIIe siècle, l'impasse est située entre le présidial (aujourd'hui ancien palais de Justice) et l'hôtel Rolin d'un coté et l'église Notre-Dame-du-Châtel de l'autre. Après la démolition de l'église en 1794, la voie est absorbée par la nouvelle place Saint-Louis[19].
pavé Fontenay
centre-ville
Il s'agit d'un chemin pavé transversal du Champ-de-Mars, allant de l'extrémité supérieure de la rue de la Halle-au-Blé (actuelle avenue Charles-de-Gaulle) à l'escalier central de la Terrasse. Il est bâti au XVIIIe siècle et l'entièreté de la place est pavée avant 1830[81].
rue de la Halle-au-Blé
rue des Halles (XVIIIe siècle)[342] rue des Subsistances (Révolution)[343]
La rue est ouverte en 1779 depuis le sud du Champ-de-Mars afin de joindre une nouvelle salle de spectacle (dont le rez-de-chaussée sert de halle au blé). L'avenue de la Gare est percée à son extrémité en 1869 puis la salle est démolie en 1881, avant que la rue de la Halle-au-Blé ne soit absorbée par l'avenue (aujourd'hui avenue Charles-de-Gaulle)[343].
rue aux Lauchiens
rue ès Loichins (XVe siècle) rue ès Lochiens (1680) puis Lauchien[217] rue Guillaume-Tell (Révolution)[217]
La rue relie la rue Saint-Antoine avec la rue Saint-Pancrace. Elle disparaît en 1880 par la fusion avec la rue Boucher pour former la rue Lauchien-le-Boucher[217].
ruelle Madot
centre-ville
Jusqu'au XIXe siècle, l'impasse part de la rue de l'Arbalète et dessert les arrière-cours des maisons de la grande rue Chauchien. Elle est absorbée par la nouvelle rue Changarnier en 1843, qui rejoint perpendiculairement la rue de l'Arbalète[94].
rue Masoncle
La rue conduit du Champ-Saint-Ladre (actuel Champ-de-Mars) à l'église Saint-Pierre-Saint-Andoche, mais au XVIIe siècle, son emplacement est nécessaire pour l'agrandissement du collège des jésuites. Elle est remplacée en 1659 par la rue Neuve, plus au nord, actuelle rue Bulliot[247].
place Maubert
quartier Marchaux
Au XVIIIe siècle, la place est un espace assez vaste. Elle est accessible notamment depuis la rue Guérin, qui, venant du Champ-de-Mars, ne rejoint pas la grande rue Marchaux à gauche mais continue en ligne droite et mène à la place Maubert après soixante pas. La rue Guérin continue ensuite sur les actuelles rues Mazagran et de la Bondue[132].
promenade des Platanes
centre-ville
La promenade consiste en une allée de platanes plantée sur le côté oriental de la place du Champ-de-Mars en 1819[81].
pavé Prost
centre-ville
Chemin pavé transversal de la place du Champ-de-Mars, il conduit de l'extrémité supérieure de la rue de la Halle-au-Blé à la rue des Cordeliers. Il est pavé durant le XVIIIe siècle, l'entièreté de la place suit avant 1830[81].
Jusqu'au XIXe siècle, l'impasse continue la rue de la Grange-Vertu en direction du quartier Marchaux. Elle est percée vers 1880 et absorbée par la nouvelle rue des Écoles, aujourd'hui rue Bernard-Renault[77].
La ruelle conduit de la rue de la Halle-au-Blé à l'église Saint-Jean-l'Évangéliste, avant que cette dernière ne soit démolie à la Révolution. Vers 1869, la ruelle est absorbée par l'avenue de la Gare (actuelle avenue Charles-de-Gaulle)[89]. Une partie seulement a survécu ; elle part de l'avenue en direction de la rue de la Grille[123].
promenade des Soupirs
centre-ville
À l'emplacement actuel de l'hôtel de ville est édifié en 1793, durant la Révolution, l'autel de la Patrie, entouré par des tilleuls arrachés au Petit Séminaire de la rue Saint-Antoine. L'édifice est rasé en 1803 et les arbres sont déplacés le long de l'actuelle rue Jeannin, formant la promenade des Soupirs. La promenade disparaît lors de la construction de l'hôtel de ville en 1832[81].
Index des noms des voies pendant la Révolution
Répondant à un élan national, la dénomination de l'ensemble des voies est modifiée à la Révolution, sans que cela ne perdure après elle. À Autun, ce changement est ordonné le 28 nivôse an II () par le maire Victor de Lanneau, sur la base « d'un arrêté du département qui supprime tous les signes extérieurs du culte ». Ancien prêtre catholique, Lanneau dénonce les noms de voies, pour la plupart d'origine chrétienne, qu'il interprète comme des « signes extérieurs ou frappant le sens, en rappelant un culte privilégié et dominant ». Avec l'aide de trois commissaires, il supprime la quasi-totalité des anciens noms des voies. En remplaçant les odonymes religieux, jusqu'alors omniprésents, par des noms aux valeurs laïques et civiques, les révolutionnaires souhaitent modifier la mentalité collective dans le cadre d'une lutte contre l'Ancien Régime et son propre système de valeurs[342].
Ainsi, les nouveaux noms renvoient aux principes que veut mettre en avant le mouvement révolutionnaire : valeurs civiques et morales (Régénération, Liberté, Égalité, Frugalité, Vertu, Unité, Discrétion, Raison), préoccupations quotidiennes de la population (Subsistances, Victoires, Piques, Marché), philosophes des Lumières (Rousseau, Helvétius, Mably, Voltaire, Franklin), héros de l'Antiquité à l'évocation républicaine et égalitaire (Solon, Cornélie, Brutus, Scevola), ainsi que des évènements majeurs de la Révolution en cours et des martyrs de la Convention (Jeu-de-Paume, 10-Août, 31-Mai, 14-Juillet et Marat, Bara, Lepeletier, Chalier). Les trois sections de la ville sont aussi débaptisées[342].
Dans le même temps, le toponyme Autun, dont on reproche son origine du nom d'Auguste (Augustodunum), est modifié en Bibracte, du nom porté par l'ancien oppiduméduen à qui a succédé Augustodunum — on pensait alors que Bibracte se situait sur l'emplacement d'Autun et non pas sur le mont Beuvray —, mais ce nouveau nom n'est que rarement utilisé[342].
Nouvelle nomenclature des voies, portes et faubourgs d'Autun en 1794 Liste établie d'après un document original conservé en 1989 à l'hôtel de ville[342].
Gérard Chevaux et Catherine Loriot (dir.) (préf. Rémy Rebeyrotte), Lire les rues d'Autun : Un regard sur le patrimoine, Nos ancêtres autunois, , 254 p..
Anne Pasquet et Irène Verpiot, Le Guide Autun, ville d'art et d'histoire : Musées, architectures, paysages, Paris, Éditions du patrimoine, Centre des monuments nationaux, , 152 p. (ISBN978-2-7577-0333-5).
↑Benjamin Saint-Jean-Vitus, « Autun (Saône-et-Loire). Maison dite « le Lutrin », 1 place Saint-Louis/1-5 place du Terreau », Archéologie médiévale, t. 28, , p. 182 (lire en ligne).
↑Vivien Barrière, Les portes de l'enceinte antique d'Autun et leurs modèles (Gaule, Italie, provinces occidentales de l'Empire romain), Université de Bourgogne, , 649 p. (lire en ligne [PDF]), p. 143.
↑L. Paté, « Autun », dans Henry Havard (dir.), La France artistique et monumentale, t. V, Paris, Librairie illustrée, , 206 p. (lire en ligne), p. 49-64.
↑Harold de Fontenay, Épigraphie autunoise : inscriptions du moyen âge et des temps modernes, pour servir à l'histoire d'Autun, t. I, Autun, Dejussieu Père et fils, , 424 p. (BNF34096702, lire en ligne), p. 154.
↑ abcdef et gMarcel Dorigny, Autun dans la Révolution française, t. 2 : L'Événement révolutionnaire, du bastion royaliste à la Montagne du département, 1789-1795, Le Mée-sur-Seine, Éditions Amatteis, , 246 p. (ISBN2-86849-089-1), p. 200-206.