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Les langues au Kazakhstan sont majoritairement le kazakh et le russe, les deux langues officielles du pays. La pratique du kazakh a significativement augmenté depuis l'indépendance de 1991, notamment dans l'enseignement. Vers les années 2010, la compréhension du russe reste cependant 20% supérieure à celle du kazakh, et le russe est surreprésenté sur l'internet kazakhstanais. Plusieurs langues étrangères sont également parlées par des minorités (ouzbek, turkmène, etc.), et d'autres enseignées à l'université (l'anglais et, dans une moindre mesure, le chinois).
Il faut savoir parler et lire le kazakh pour être député ou accéder à un emploi dans l'administration[réf. souhaitée]. Cette condition est théorique, et rarement appliquée[réf. nécessaire].
Le russe est la langue la plus utilisée dans les villes, notamment dans le nord, où est concentrée l'essentiel de la population slave.
Le russe est resté la langue véhiculaire entre les différentes ethnies, et cette langue est toujours présente dans les médias. D'un point de vue migratoire, le russe est très important pour circuler dans la Communauté des États indépendants.
Histoire
Evolution de la pratique depuis 1991
Depuis l’indépendance en 1991, les Kazakhs sont redevenus majoritaires dans leur pays en 2001 devant les Russes autrefois les plus nombreux ; ainsi, entre 1999 et 2009, les Russes sont passés de 30 % de la population du pays à 24 % (ils étaient même 46 % en 1996), alors que les Kazakhs sont passés de 53 % à 63 % (ils n'étaient même que 36 % avant l’indépendance, après un minimum de 29 % en 1962[8]).
La compréhension orale du russe est passée de 95 % à 94 % entre 1999 et 2009, alors que celle du kazakh est passé de 64 % à 74 %.
Dans l'enseignement, à l'indépendance, deux tiers des écoles enseignaient en russe contre un tiers en kazakh, alors qu'en 2013 ce rapport s'est inversé.
Langues minoritaires
Il y a d'autres langues minoritaires, comme l'ouzbek, le turkmène, le kirghiz, le tatar et l'ukrainien. Les citoyens d'origine allemande, qui constituent 1,1 % de la population du pays en 2009 (contre 2,4 % en 1999), et qui furent déportés sous Staline après 1944, parlent le russe, l'allemand étant très rarement pratiqué (seulement 17 % d'entre eux ont gardé leur langue maternelle allemande)[1]. D'autres petits groupes ethniques, isolés de leurs pays d'origines, comme les Biélorusses, les Koryo-sarams, les Moldaves et les Baltes parlent le russe.
Il y a aussi un grand nombre de Coréens au Kazakhstan, mais seuls un petit nombre parle le Coréen, les plus jeunes parlent tous russe.[réf. nécessaire]
Dans les grandes villes, l'anglais devient une langue enseignée très importante d'un point de vue universitaire, et dans une moindre mesure, le chinois (mandarin).
Écriture
L'alphabet latin sera adopté à l'horizon 2025 pour écrire le kazakh, en remplacement de l'alphabet cyrillique[7].
Notes et références
Notes
↑Les langues proposées sont en ordre d'importance dans le pays.