Le nord de la commune est traversé par l'autoroute A89 sur près d'un kilomètre et demi, l'échangeur no 17 (Thenon-Est) et son péage étant situés sur le territoire communal. La route départementale (RD) 6089 et la RD 704 sont les autres voies de communication principales de la commune, également desservie par la RD 65.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. La Bachellerie est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[1].
Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde : sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
Trias indifférencié : grès grossiers à la base, psammites rouges micacées, sables blanc, parfois bariolés, kaoliniques à galets, puis sables fins à filets argileux verdâtres et sables grossiers au sommet
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 94 m[4] à l'extrême est de la commune, là ou le Cern quitte la commune et entre sur celle du Lardin-Saint-Lazare, et 281 m[4],[5] à l'est du lieu-dit le Combalou[Carte 2].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 17,34 km2[4],[9],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 17,73 km2[2].
Le Cern (également appelé Douime dans sa partie amont), d'une longueur totale de 13,64 km, prend sa source dans la commune d'Azerat et se jette dans la Vézère en rive droite au Lardin-Saint-Lazare, face à la commune de Condat-sur-Vézère[Carte 4],[14]. Il arrose le nord de la commune d'ouest en est sur plus de cinq kilomètres et demi.
Le Taravellou, d'une longueur totale de 10,51 km, prend sa source dans la commune de Badefols-d'Ans et se jette dans le Cern — dont il est le principal affluent — en rive gauche, dans le nord du territoire communal[Carte 5],[15]. Il baigne le territoire communal sur plus d'un kilomètre et demi dont 700 mètres en limite de Saint-Rabier.
Deux autres affluents de rive gauche du Cern baignent la commune : le Pouchard sur près de 800 mètres dans le nord et la Nuelle sur une cinquantaine de mètres dans l'est.
Le Cern au nord-est du château de Rastignac.
Le Cern au niveau de la rue du Pont des Joncs.
Le Taravellou au nord de l'autoroute A89.
Réseaux hydrographique et routier de la Bachellerie.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 993 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[20]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thenon à 7 km à vol d'oiseau[21], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].
Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[29].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.
En 2023, aucune ZNIEFF n'est recensée sur la commune d'après l'INPN[30].
Urbanisme
Typologie
Au , La Bachellerie est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[31].
Elle est située hors unité urbaine[32] et hors attraction des villes[33],[34].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (52,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (45,9 %), prairies (26,2 %), zones agricoles hétérogènes (22,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %), zones urbanisées (2,6 %)[35]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 7].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Taravellou et le Cern. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2008[39],[37].
La Bachellerie est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[42]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[43],[44].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[45]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[46]. 47,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 8]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[47].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[37].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de La Bachellerie est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[48].
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu remonte au XIIIe siècle, appelé alors Le Cern, du nom du ruisseau qui passe en contrebas[49]. La Bachalaria n'apparait qu'en 1466, appelé ensuite La Bachellerie du Cern[49].
Le nom de la commune vient du nom d'un personnage, Bachelier, ou d'un « bachelier » (jeune homme noble), suivi du suffixe -ie[49],[50], correspondant au « domaine de Bachelier, ou du bachelier ». Le nom bachellerie désignait aussi au Moyen Âge un « ensemble de jeunes chevaliers »[51].
En occitan, la commune porte le nom de La Bachalariá[50].
La paroisse initiale s'est d'abord appelée Sern puis Cern et n'a pris le nom de La Bachellerie que vers les années 1730[52].
Probablement édifiée au XIe siècle, l'église initiale, dédiée à sainte Madeleine, était située au lieu-dit les Joncques[53]. Implantée dans une zone inondable, cette église a finalement été détruite[54]. Vers 1672, le marquis de Rastignac fait édifier une nouvelle église à La Bachellerie dans laquelle la cloche datant de 1546 de l'ancienne église est installée[54]. En très mauvais état dans les années 1850, l'édifice est fermé et un petit bâtiment permet de continuer la célébration des offices religieux[55]. Compte tenu de la taille trop restreinte de ce local, l’évêque de Périgueux suspend les offices à La Bachellerie en 1858[55]. Après avoir vendu des biens communaux et les matériaux de l'ancienne église, le conseil municipal lève un impôt extraordinaire pour la construction d'une nouvelle église dont les travaux s'achèvent en 1868[55].
Déraillement de La Bachellerie
Le , jour de Pentecôte, à la suite d'un premier accident sur la ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon à Vigeois en Corrèze, un train express qui devait emprunter la ligne interrompue a été dirigé sur Brive via Périgueux. Le train no 71 arrive à toute vitesse vers cinq heures du matin dans une courbe assez prononcée quand un attelage se rompt. La machine continue sa route et dépasse la station. Douze wagons sur dix-huit entrent les uns dans les autres, démolissant les bâtiments de la gare.
Des secours arrivent assez rapidement par la ligne de Nexon et de Saint-Yrieix. Parmi les décombres, on dénombre huit morts et une quarantaine de blessés. La cause du drame apparaît immédiatement. Il s'agit d'un écartement des rails au passage de la machine, la voie Brive - Périgueux n'ayant pas été construite en vue d'y faire circuler des express, il aurait fallu agir avec infiniment plus de prudence.
Ce même jour, une autre colonne motorisée de la division Brehmer — composée de 300 à 400 hommes — investit le bourg de La Bachellerie et s'y installe pendant quatre jours[58]. Onze personnes sont fusillées le et plusieurs dizaines de personnes — dont Marcel Michel le sénateur-maire de La Bachellerie, ainsi que le propriétaire du château de Rastignac — sont transportées à Périgueux[58]. Après quelques semaines de détention, certains sont libérés mais 33 femmes et enfants juifs sont déportés le à Auschwitz-Birkenau, dont seulement cinq femmes reviendront[58],[59]. Un autre habitant juif de la commune est fusillé le à Saint-Rabier et deux autres le au cimetière d'Azerat[58].
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de La Bachellerie a, dès 1790, été rattachée au canton de la Bachellerie qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôsean IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Terrasson (devenu canton de Terrasson-la-Villedieu en 1963, puis renommé en canton de Terrasson-Lavilledieu en 1997) dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[4].
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[61],[62].
Les habitants de La Bachellerie se nomment les Bacheliers[69].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[70]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[71].
En 2021, la commune comptait 895 habitants[Note 7], en évolution de −1,43 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Il existe plusieurs associations à La Bachellerie.
L'association nationale de défense et de protection des loups, « Le Klan du Loup », a son secrétariat à La Bachellerie[74].
Amicale laïque avec sections chorale et randonnée
Comité d'animation avec section théâtre et section gymnastique pour les anciens
Club de foot, avec section gymnastique
Amicale de pêche
Amicale de chasse
Club du troisième âge ; belote ; voyages
Club de connaissance des serpents
Amicale des anciens combattants
Confrérie du Miel et des Abeilles en Périgord
Marche avec Camille
Tarot
Économie
Emploi
En 2021[75], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 387 personnes, soit 43,2 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (38) a très fortement diminué par rapport à 2015 (70) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,7 %.
Activités hors agriculture
68 établissements marchands non agricoles sont économiquement actifs en 2021 à la Bachellerie[Note 8],[76].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
68
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
5
7,4 %
(8,4 %)
Construction
7
10,3 %
(13,4 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
19
27,9 %
(28,2 %)
Information et communication
2
2,9 %
(1,8 %)
Activités financières et d'assurance
0
0,0 %
(3,6 %)
Activités immobilières
1
1,5 %
(6,7 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
10
14,7 %
(15 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
11
16,2 %
(12,8 %)
Autres activités de services
13
19,1 %
(10,1 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,9 % du nombre total d'établissements de la commune (19 sur les 68 entreprises implantées à la La Bachellerie), contre 28,2 % au niveau départemental[77].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 17 en 2000 puis à 14 en 2010[80] et enfin à 13 en 2020[Carte 10], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations (passant de 15 825 à 6 328)[81],[Carte 11]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 671 ha en 1988[80] à 272 ha en 2020[Carte 12]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 24[80] à 21 ha[Carte 10].
La chartreuse des Fraux, du XVIIIe siècle, est inscrite au titre des monuments historiques en 2010[83]. Les deux pavillons prolongent le corps central sur le même alignement, marqués seulement par une surélévation et côté cour, deux ailes sont calées sur les pavillons, formant un plan en U marqué aux deux angles par des poivrières[84].
Le château de Rastignac, du début du XIXe siècle, aurait servi de modèle pour la façade Sud de la Maison-Blanche. Incendié par les Allemands lors de la Seconde Guerre mondiale, il est reconstruit après guerre[85]. Il est classé partiellement au titre des monuments historiques en 1946 pour ses façades et toitures ainsi que pour les communs et son parc, puis en 1951 pour le vestibule d'entrée et l'escalier de pierre[85].
Disparue, la tour du Pouget, mentionnée en 1321 (Locus de Pogeto prope Montinhacum) et en 1538 (« Le Poget ») est une ancienne tour de guet de la châtellenie de Montignac[87].
L'église Saint-Pierre-ès-Liens.
Sa nef.
La chartreuse des Fraux.
Le monument aux morts et, au second plan, la stèle des déportés.
La fontaine du bourg.
La gare de La Bachellerie (vue prise en direction de Brive).
Arnaud Denoix (1848-1917) est un homme politique né La Bachellerie.
Georges Fonbelle-Labrousse (1846-1927), homme politique né à La Bachellerie, maire de la commune de 1880 à 1889.
Victor Grand (1862-1896), directeur d'école à La Bachellerie, auteur de Les Annales du Terrassonnais ; le groupe scolaire porte son nom.
Pierre Charles Cournarie, (1895-1968) ancien administrateur colonial, en Afrique-Occidentale française (AOF), également compagnon de la Libération, mort à La Bachellerie.
Guy Lagorce, (1937-2023), né à La Bachellerie, athlète international du sprint, journaliste sportif et auteur de plusieurs romans.
Le lion et le champ d'azur sont repris des armes de la famille Chapt de Rastignac, la rivière symbolise le Cern et les quartefeuilles évoquent les hameaux du village. Adopté en 2015.
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[10],[11]
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Démissionné d'office sur décision du ministère de l'Intérieur.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un établissement est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[79].
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Paul Mons, préface de Rose-Marie Antoine, La folie meurtrière de la Division Brehmer, éditions les Monédières, avril 2016, (ISBN978-2-36340-133-5), p. 127-130.
↑Compétence territoriale gendarmerie et police nationales, site du Gouvernement français, consulté le . Pour accéder à l'information à partir du code Insee de la commune, télécharger le fichier national à droite de « Voir les données ».
↑Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN2-87624-125-0), p. 139.
↑Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie et Emmanuel du Chazaud (préf. André Chastel), Le Périgord des chartreuses, Périgueux, Pilote 24 édition, , 341 p. (ISBN2-912347-11-4), p. 35 et 277.