Les voyelles nasalisées sont indiquées à l’aide de la cédille : ‹ a̧ ɛ̧ i̧ o̧ u̧ › pour le kako-est et ‹ a̧ i̧ u̧ › pour le kako-ouest.
Les tons ne sont généralement pas indiqués, le ton lexical ne l’est jamais, mais le ton grammatical peut être indiqué avec les accents lorsqu’il y a ambigüité[4],[5].
Daniel Barreteau, Évelyne Ngantchui et Terry Scruggs, Bibliographie des langues camerounaises, IRD éditions, , 269 p. (ISBN978-2-7099-1145-0, lire en ligne).
Edmond Biloa, « Le Kakɔ : Esquisse géolinguistique », dans La Langue française au Cameroun : Analyse linguistique et didactique, Peter Lang, (ISBN978-3-03910431-4), p. 151-152.
Élisabeth Copet-Rougier, Philip Burnham et Philip Noss, « Contribution ethnolinguistique à l’histoire de l’Est-Cameroun », Païdeuma, vol. 32, , p. 87-128.