Après la Semaine sanglante de , Jules Miot se réfugie en Suisse après avoir été condamné à mort par contumace par le conseil de guerre. Rentré en France après l'amnistie de 1880, il finit son existence en menant une vie discrète de rentier. Il est inhumé à Paris au cimetière du Père-Lachaise (52e division)[4].
Notes et références
↑Archives départementales de Saône-et-Loire, état-civil numérisé d'Autun, année 1809, acte de naissance N°235, image 52 de la numérisation.
↑Archives départementales du Val-de-Marne, état-civil numérisé de Saint-Maur-des-Fossés, années 1881-1884, acte de décès N°119 de l'année 1883, image 385 de la numérisation.
↑Michel Cordillot, La Commune de Paris, 1871: événement, les acteurs, les lieux, les Éditions de l'Atelier, coll. « Collection Maitron », (ISBN978-2-7082-4596-9)
↑Jules Moiroux, Le cimetière du Père Lachaise, Paris, S. Mercadier, (lire en ligne), p. 253