Située en Périgord central, dans le quart nord-est du département de la Dordogne, la commune de Coulaures est arrosée par l'Isle et la Loue qui y confluent, et bordée par le Ravillou.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Coulaures est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs[2].
Elle est à la fois dans le causse de Cubjac et le causse de Savignac, qui, avec le causse de Thenon, forment un ensemble de collines karstifiées dans les calcaires liasiques et jurassiques à l'est de Périgueux jusqu'à Excideuil et Thenon, d'environ 30 km N-S et 15 km O-E, coupé par les vallées de l'Isle, de l'Auvézère et de la Loue.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j3a-b, date du Bathonien inférieur à moyen, une alternance de calcaires micritiques gris cryptocristallins avec des argiles parfois ligniteuses ou des marnes noires (formation d'Ajat). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[3],[4] et sa notice associée[5].
Basses terrasses (RD Garonne) - Terrasse d'Izon (type 6) indifférenciée : limons et sables jaunes à graviers et galets siliceux et petits galets calcaires (Saalien - Riss)
Fwb(D) :
Moyennes terrasses - Terrasses de Malleret sup. indifférenciées (types 3 à 5) : argiles à graviers, galets à la base et sables fins à moyens au sommet (Elstérien - '-Mindel'-)
Fvb(D) :
Hautes terrasses (RD Garonne) - Terrasse de Malleret inf. (type 2) indifférenciée : sables à graviers et galets rubéfiés (Ménapien-Bavélien - '-Gunz'-)
Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde : sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 117 m[6] dans le sud-ouest, là ou l'Isle quitte le territoire communal et continue sur celui de Mayac, et 275 m[6],[7], dans le sud-est, au nord du lieu-dit le Meynichou, en limite de Saint-Pantaly-d'Excideuil.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 28,87 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 30,12 km2[4].
L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[16],[17]. Elle traverse la commune du nord au sud sur près de six kilomètres et demi, servant de limite naturelle sur un kilomètre face à Mayac.
La Loue, d'une longueur totale de 50,87 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Saint-Yrieix-la-Perche et se jette dans l'Isle en rive gauche à Coulaures[18],[19]. Elle traverse la commune de l'est au centre sur trois kilomètres, en passant par le bourg.
Le Ravillou, d'une longueur totale de 13,13 km, prend sa source dans la commune de Dussac et se jette dans la Loue en rive droite, en limite de Coulaures et Saint-Pantaly-d'Excideuil[20]. Il sert de limite à l'est sur 700 mètres avec la commune de Saint-Pantaly-d'Excideuil.
Des mesures de restriction des usages des eaux superficielles ont été mises en œuvre en juin 2023 par les services de la Préfecture de la Dordogne[21] ainsi qu’au niveau national pour la surveillance des proliférations des bactéries[22],[23].
L'Isle au pont de la RD 705.
L'Isle (vue vers l'aval) au pont de Glane.
Pont sur la Loue au bourg de Coulaures.
Le Ravillou en limite de Coulaures (à droite) et Saint-Pantaly-d'Excideuil.
Réseaux hydrographique et routier de Coulaures.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[24]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [25].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 943 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[28]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bassillac et Auberoche à 18 km à vol d'oiseau[29], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 480,0 mm[30]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[31].
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en et se situe à la fois dans sa « zone tampon » et dans sa « zone de transition »[34].
Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[36].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
En 2022, deux ZNIEFF sont recensées sur la commune d’après l'INPN[37].
Ces ZNIEFF de type 2[Note 4] sont des zones calcaires boisées :
le « causse de Cubjac » concerne les coteaux en rive droite de l'Auvézère et ceux en rive gauche de l'Isle et de son affluent, la Loue, sur treize communes, depuis Escoire au sud-ouest jusqu'à Saint-Raphaël au nord-est, et notamment en rive gauche de la Loue et de l'Isle, les coteaux au sud de la commune s'étendant sur près de 16 km2[38]. L'intérêt majeur de cette ZNIEFF réside dans la présence d'une espèce déterminante de plantes, la Spirée à feuilles de millepertuis (Spiraea hypericifolia subsp. obovata[39]), et une autre espèce de plantes protégée au titre de la Directive habitats de l'Union européenne, le Poirier à feuilles en cœur (Pyrus cordata)[40] ;
le « causse de Savignac » concerne les coteaux en rive droite de l'Isle, sur huit communes, depuis Sarliac-sur-l'Isle au sud-ouest jusqu'à Négrondes au nord, et notamment les coteaux au nord-ouest de la commune s'étendant sur environ 7 km2[41]. L'intérêt majeur de cette ZNIEFF réside dans la présence de la même espèce déterminante de plantes : la Spirée à feuilles de millepertuis[42].
Urbanisme
Typologie
Au , Coulaures est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[43].
Elle est située hors unité urbaine[44] et hors attraction des villes[45],[46].
Occupation des sols
La commune dispose d'un Carte communale[47] dont la dernière procédure a été approuvée le 15 novembre 2010.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (51 %), zones agricoles hétérogènes (32,4 %), prairies (11,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %), terres arables (2 %)[48]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Longeant l'Isle puis la Loue, la route départementale (RD) 705 traverse le territoire communal d'ouest en est sur plus de trois kilomètres, pasant par le bourg. La commune est également desservie par la RD 73, en directions de Négrondes et de Tourtoirac et par la RD 74 menant à Sorges.
Dessertes par autoroute : A89 : (aussi appelée La Transeuropéenne) est une autoroute qui relie Bordeaux (à hauteur de Libourne) à Lyon (Limonest) viaClermont-Ferrand. Échangeurs à Thenon (no 17) et Périgueux est - Aire du Manoire (no 16).
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Isle, la Loue et le Ravillou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1997, 1999, 2007 et 2008[52],[50]. Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) « Isle Amont et Auvézère » a été approuvé en 2016
[53] ; pour Coulaures, il concerne l'Isle et la Loue en totalité, ainsi que les 300 derniers mètres du Ravillou, impactant leurs rives, jusqu'à 500 mètres de largeur par endroits[50].
Coulaures est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[54]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[55],[56].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[57]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[58]. 41,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[59].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1992 et par des mouvements de terrain en 1999[50].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Colòures[60], dérivant du latin colubra (« couleuvre »).
Histoire
La découverte d’outils préhistoriques dans la grotte de Contie[61] atteste, par leur datation, que le site était déjà occupé par l’homme à l’époque du Mésolithique, c'est-à-dire environ 10 000 ans avant notre ère. Les outils, pointes et micro-burins, découverts dans cette grotte en 1943 et 1947 sont de type « Sauveterrien » (forme triangulaire) et « Tardenoisien » (forme trapézoïdale)
Possession de l'abbaye de Tourtoirac, la paroisse de Coulaures dépendait de la châtellenie d'Excideuil et de la Vicomté de Limoges jusqu'au début du XVIe siècle[62].
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, on trouve la graphie Coulaure.
En 1943, l'infirmerie-hôpital du groupement 28 des Chantiers de la jeunesse s'est installée au château de Chardeuil[63].
La commune a été décorée de la croix de guerre 1939-1945 le , distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne[64].
Hommage aux Justes. La commune d’Excideuil a adhéré au réseau des villes[65] ayant abrité des Justes parmi les nations[66] (Albert Faurel, Directeur de l’école primaire supérieure et du collège de 1937 à 1956)[67] et les communes de Coulaures, Clermont-d’Excideuil[68] et Saint-Raphaël (Pierre Antoine Laboureur, et Marie Madeleine Laboureur Granger[69]) étant dans le même cas, une action a été projetée de créer un mini-réseau en Périgord vert au sein du réseau national.
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[73],[74].
Selon le classement établi par l'Éducation nationale en 2022, le lycée public Chardeuil-Métiers-du-Bâtiment présente un taux de réussite de 72 % au bac général et technologique[82].
Les collèges les plus proches sont situés à Excideuil (collège Giraut-de-Borneil), Thiviers (collège Léonce-Bourliaguet) et Lanouaille (collège Plaisance)[83].
Outre le lycée professionnel des métiers du bâtiment présent à Coulaures, les lycées les plus proches sont ceux d'Excideuil (lycée Giraut-de-Borneil) et de Thiviers (lycée professionnel Porte-d'Aquitaine)[84].
Justice
Dans le domaine judiciaire, Coulaures relève[85] :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[87]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[88].
En 2022, la commune comptait 758 habitants[Note 9], en évolution de +1,88 % par rapport à 2016 (Dordogne : +0,37 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Culte israélite. Synagogue, rue Paul-Louis-Courier à Périgueux[92].
Culte musulman. Mosquée de la Bienfaisance, 18 rue du Tennis à Périgueux[93].
Manifestations culturelles et festivités
Depuis des décennies, Coulaures organise une fête patronale le 15 août de chaque année. Depuis 2009, cette dernière met en avant la culture locale mais également les différentes cultures du monde entier. En effet, la « fête de l'oie » voit son animal emblématique voyager de pays en pays au fil des ans : des États-Unis au Brésil en passant par la Polynésie française. En 2015, c'est un voyage de l'Inde à l'Orient à travers la danse qui est proposé[94]. Lors de cette journée sont également organisés un marché gourmand, un vide-greniers et un défilé de chars aquatiques sur la Loue, la fête se terminant par un feu d'artifice[94].
En octobre se tient le Salon du livre régional (14e édition en 2021 avec une quarantaine d'auteurs, dont Michel Testut, parrain de cette édition)[95].
Économie
Emploi
En 2020[96], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 295 personnes, soit 40,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (36) a diminué par rapport à 2014 (40) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,2 %.
Activités hors agriculture
Cinquante-neuf établissements[Note 10] sont implantés à Gaugeac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[97].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
59
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
9
15,3 %
(10,2 %)
Construction
13
22,0 %
(14,2 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
11
18,6 %
(31,3 %)
Information et communication
1
1,7 %
(1,7 %)
Activités financières et d'assurance
0
0.0 %
(3,4 %)
Activités immobilières
0
0,0 %
(4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
11
18,6 %
(14,5 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
8
13,6 %
(11,5 %)
Autres activités de services
6
10,2 %
(9,1 %)
Sur les neuf secteurs d'activité marchande, trois d'entre eux représentent 60 % des établissements communaux : la construction (treize établissements, soit 22 %), le commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration (onze établissements, soit 18,6 %) et les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien (également onze établissements, soit 18,6 %)[98].
Château de Chardeuil, acquis en 1844 par Guillaume-Sylvain Pouquet, (1807-1879), auteur de la branche de Chardeuil. En 1889 son neveu Alfred dit Adolphe Pouqueten devient propriétaire[99]. C'est devenu un lycée professionnel des métiers du bâtiment[100].
Pierre de Lestrade de Conti (1901-1977), caricaturiste, illustrateur et peintre. Son arrière-grand-père, le marquis Henri de Lestrade de Conty, était établi au château de Conty, héritage des marquis de Conty depuis 1610[115].
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[35].
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Francis A. Boddart, Les chantiers de la jeunesse et la Dordogne, 1940-1944 : de la révolution nationale à la production industrielle, Périgueux, IFIE Éditions Périgord, , 342 p. (ISBN978-2-916265-18-6).
↑Martine Balout (photogr. Rémi Philippon), « La synagogue, témoignage de l'histoire juive », dans Périgueux insolite, La Crèche, La Geste, (ISBN979-10-353-0294-8), p. 143-147.