Ainsi, Mayotte connaît un droit coutumier comprenant des éléments de droit islamique et des coutumes africaines. Certains éléments, tels que la polygamie ou la répudiation unilatérale, sont toutefois remis en cause progressivement[2].
« Les citoyens de la République qui n'ont pas le statut civil de droit commun, seul visé à l'article 34, conservent leur statut personnel tant qu'ils n'y ont pas renoncé. »
— Article 75 de la Constitution du 4 octobre 1958[3]
Bibliographie
Valérie Parisot, « Le pluralisme juridique au sein de la République française. Invitation au voyage dans les outre-mer », dans Beckmann (Roland Michael), Mansel (Heinz-Peter), Matusche-Beckmann (Annemarie) dir., Weitsicht in Versicherung und Wirtschaft. Gedächtnisschrift für Ulrich Hübner, Heidelberg, C. F. Müller, (ISBN978-3-8114-3928-3), p. 733-760
↑La polygamie et la répudiation unilatérale ont été abolies pour les personnes qui accèdent à l'âge du mariage à partir de 2005 par la loi du de programme pour l'outre-mer.