Arbérats-Sillègue

Arbérats-Sillègue
Arbérats-Sillègue
Le fronton d'Arbérats.
Blason de Arbérats-Sillègue
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays basque
Maire
Mandat
Sauveur Bacho
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64034
Démographie
Gentilé Arberaztar
Population
municipale
322 hab. (2021 en évolution de +17,95 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 20′ 33″ nord, 0° 59′ 41″ ouest
Altitude Min. 60 m
Max. 153 m
Superficie 5,29 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Palais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Arbérats-Sillègue [aʁbeʁats silɛɡ] est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Localisation

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Arbérats-Sillègue se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 83 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 79 km de Bayonne[3], sous-préfecture, et à 5 km de Saint-Palais[4], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[1]

Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Béhasque-Lapiste (2,3 km), Aïcirits-Camou-Suhast (2,3 km), Domezain-Berraute (3,0 km), Arbouet-Sussaute (3,2 km), Saint-Palais (3,4 km), Amendeuix-Oneix (4,1 km), Gabat (4,5 km), Garris (5,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Arbérats-Sillègue fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[6]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[8],[9]. La commune est dans le pays de Mixe (Amikuze), au nord-est de ce territoire.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Aïcirits-Camou-Suhast, Arbouet-Sussaute, Béhasque-Lapiste et Domezain-Berraute.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Arbérats-Sillègue.

La commune est drainée par Eiheraxaharreko erreka, Errekaldeko erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[11],[Carte 1].

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 274 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aïcirits-Camou-Suhast à 2 km à vol d'oiseau[15], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219,1 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[20], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste réseau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[21],[Carte 2].

Urbanisme

Typologie

Au , Arbérats-Sillègue est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle est située hors unité urbaine[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Palais, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[1]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (69,3 %), terres arables (22,7 %), zones urbanisées (5,9 %), forêts (1,5 %), prairies (0,5 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Lieux-dits et hameaux

Voies de communication et transports

Arbérats-Sillègue est desservie par les routes départementales D 933 et D 134.

Risques majeurs

Le territoire de la commune d'Arbérats-Sillègue est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité moyenne)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Arbérats-Sillègue est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[29]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[30],[31].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Arbérats-Sillègue.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[32]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[33].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[27].

Toponymie

Attestations anciennes

Le toponyme Arbérats apparaît sous les formes Arberas (1125[34]), Arberatz (1150[34]), Sanctus Laurentius de Arberaz (1160[34]), Arberas (XIIIe siècle[26], collection Duchesne volume CXIV[35]), Arberaz (1350[34]), Arberatz (1413[34] et 1487[26], contrats d'Ohix[36] pour cette dernière mention), Arberaz (1513[26], titres de Pampelune[37]) Arberatz (1975[26], ouvrage de Philippe Veyrin[38]), Arbezats (1793[39], ou an II) et Arberats (1801[39], Bulletin des lois).

Jean-Baptiste Orpustan[34] mentionne deux origines possibles au toponyme Arbérats, provenant toutes deux du basque, soit ar(r)-bera (ou beratz) signifiant ’fragile’ ou ’friable', ou le mot composé arbel, désignant une ’pierre noire’ ('ardoise’). Brigitte Jobbé-Duval[40] interprète également Arbérats par lieu rocheux d’ardoises.

Le toponyme Sillègue apparaît sous les formes Sanctus Petrus de Silegue (1160[34]), Sileugue (1316[34]), Silegoe (1350[34]), Silleugue (1413[34]), Silegoe (1472[26], notaires de Labastide-Villefranche[41]), Silengoa (1513[26], titres de Pampelune[37]), Sillègue-les-Domezain (1734[26], règlement de la cour de Licharre) et Sillegue (1793[42] et 1801[42], Bulletin des lois).

Pour Jean-Batiste Orpustan[34], le toponyme Sillègue est un composé du mot basque zil(h)o, qui signifie ’trou’, ’dépression du terrain’ et d’un deuxième élément, leku, ’lieu’.

Autres toponymes

Aitciria est une ferme de la commune mentionnée sous les graphies Ayciri de Arberatz en 1487 (contrats d'Ohix[36]) et Aïtciry (1863[26], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).

Beheitia, hameau de la commune, apparaît sous la forme Béhéity dans le dictionnaire de 1863[26].

Le même dictionnaire mentionne un fief du nom de Charritte, vassal du royaume de Navarre[26].

Iratzia, sous la forme Iratce (1863[26], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque), était un fief présent à Sillègues, vassal du royaume de Navarre.

Graphie basque

Son nom basque actuel est Arberatze-Zilhekoa[43].

Au XIXe siècle, Paul Raymond indique pour Sillègue la forme Silhecoa[26].

Histoire

La commune actuelle a été créée le [44] par la réunion des communes d' Arbérats et de Sillègue.

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1870 1884 Jean-Pierre Chapar    
1884 1894 Pierre Salaber    
1920 1931 Bernard Cascu    
1931 1936 Jules Bordaisco    
1936 1945 Guillaume Etchegaray    
1945 1977 Joseph Etchegaray    
1977 1995 Michel Eppherre    
1995 2001 Jacques Sallenave    
2001 En cours Sauveur Bacho DVG Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité

La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze et du syndicat Elgarrekin Ikas[45].

Population et société

Démographie

Le nom des habitants est Arberaztar[40],[43].

En 1350, 13 feux sont signalés à Arbérats et 6 à Sillègue[46].

Le recensement[47] à caractère fiscal de 1412-1413, réalisé[48] sur ordre de Charles III de Navarre, comparé à celui de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[49], révèle une démographie en forte croissance. Le premier indique à Arbérats la présence de 7 feux, le second de 26 (24 + 2 feux secondaires). De même pour Sillègue, le recensement de 1412 relève 5 feux et celui de 1551 22 (20 + 2 feux secondaires).

Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[50] dénombre 40 feux à Arbérats et 20 à Sillègues.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[52].

En 2021, la commune comptait 322 habitants[Note 7], en évolution de +17,95 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
193213204210212246351314320
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
308271251262251268248233231
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
242259242228226230233235196
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
184175177198222270302316299
2015 2020 2021 - - - - - -
273317322------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

De 1793 à 1836, la population indiquée ne reflète que celle d'Arbérats, encore séparé de Sillègue, dont la population durant cette même période est décrite ci-dessous[42].

Évolution de la population
1793 1800 1806 1821 1831 1836
100115111102109125
(Sources : Cassini)

Enseignement

La commune dispose d'une école élémentaire publique[54].

Manifestations culturelles et festivités

Située au centre du bourg, la commune s'est équipé d'une salle des fêtes. À l'origine du bâtiment, une ancienne école totalement rénovée.

Sports et loisirs

Seulement doté d'un mur à gauche, Arbérats-Sillègue a inauguré en 2007 un nouveau fronton ainsi que des sanitaires et un terrain de pétanque. Un terrain de football a également vu le jour sur ce même complexe.

Puits datant de l'époque romaine reconverti en base de loisirs.

Économie

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Au sein de la commune se trouve également une usine de voestalpine, l'un des grands industriels européens de l'acier, sous le nom de Matériel Ferroviaire d'Arbérats. L'usine avait d'abord été construite par le basque de Laudio JEZ, avant de passer sous le giron de voestalpine[55].

Culture locale et patrimoine

Langues

D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Arbérats-Sillègue est le bas-navarrais oriental.

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason Blasonnement :
De gueules à dix coquilles d'argent rangées en pal 3, 4 et 3[57].

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
  2. « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Arbérats-Sillègue », sur geoportail.gouv.fr.
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Arbérats-Sillègue et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Arbérats-Sillègue et Bayonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. Stephan Georg, « Distance entre Arbérats-Sillègue et Saint-Palais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Communes les plus proches d'Arbérats-Sillègue », sur villorama.com (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
  7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
  8. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
  9. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
  10. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab et ac {{Lien web
    • Quartier du bas
    |url=http://www.geoportail.fr/ |titre=Géoportail |auteur=Géoportail - IGN |année= |éditeur= |consulté le=23 décembre 2011 }}.
  11. « Fiche communale d'Arbérats-Sillègue », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
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  15. « Orthodromie entre Arbérats-Sillègue et Aïcirits-Camou-Suhast », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Arbérats-Sillègue », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  38. Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3, BNF 34554156), page 16
  39. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. a et b Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
  41. Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  42. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Sillègue », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le )..
  43. a et b - Académie de la langue basque
  44. Ordonnance du 14 avril 1841 (Bulletin des lois de la République française).
  45. Comersis, « Liste des groupements d'Arbérats-Sillègue ».
  46. Jean-Baptiste Orpustan, Ouvrage collectif, Amikuze - Le Pays de Mixe, Éditions Izpegi - 1992 (ISBN 2 909262 05 7), page 77
  47. Recensements cités par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 26. Le même ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne démographique de 5.5 par feu.
  48. Transcrit et publié par Ricardo Cierbide, Censos de población de la Baja Navarra, Max Niemeyer Verlag, Tübingen, 1993
  49. Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, E 575, transcrit par Louis Baratchart dans Les amis de la vieille Navarre, janvier 1995, pages 44-54
  50. Bibliothèque nationale, 6956, registre Moreau 979, cité par Manex Goyhenetche, Histoire générale du Pays basque III : Évolution économique et sociale du XVIe au XVIIIe siècle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 299.
  51. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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