Après avoir obtenu une licence en droit, il rejoint le corps diplomatique en .
Il exerce diverses fonctions, notamment conseiller exécutif du ministre des Affaires étrangères, conseiller à la représentation permanente auprès de l'ONU conseiller au cabinet du président du gouvernement.
Lorsque les socialistes reviennent au pouvoir, il se trouve relevé de ses responsabilités le par le successeur de Palacio, Miguel Ángel Moratinos[3]. À peine deux mois plus tard, il est choisi comme nouvel ambassadeur d'Espagne aux Pays-Bas[4]. Moratinos le démet cependant de cette fonction le [5].
Après que les conservateurs ont retrouvé la direction du gouvernement, il est désigné le ambassadeur représentant permanent de l'Espagne auprès de l'Union européenne par le nouveau chef de la diplomatie José Manuel García-Margallo[6].
Le , il est réprouvé par le Congrès des députés pour sa gestion de l'accueil des réfugiés en Espagne[9].
Retour dans la diplomatie
Proposé par le nouveau ministre des Affaires étrangères, Josep Borrell, au poste d'ambassadeur en Italie, sa désignation est entérinée par le conseil des ministres du . Il entre en fonction le après publication du décret de nomination au Bulletin officiel de l'État[10]. Il devient également chef de la légation diplomatique à Saint-Marin le suivant[11]. Conformément à la règle non-écrite voulant qu'un ambassadeur espagnol ne reste à la tête d'une même ambassade que quatre ans, il est nommé ambassadeur d'Espagne en Hongrie lors du conseil des ministres du [12],[13].
↑(es) Antonio Rodríguez, « Albares envía a un exministro de Rajoy a Hungría y prorroga a tres embajadores clave. », The Objective, (lire en ligne, consulté le )
↑(es) Marina Pina, « Albares traslada al ex ministro del PP Alfonso Dastis de Italia a Hungría. », El Mundo, (lire en ligne, consulté le )