La nouvelle façade et de la rotonde du magasin Au Pauvre Diable, construits par l’entreprise Pouletty au n°51 rue de la Liberté, entre 1924-1926.
Prolongement de l'immeuble de style Art déco d'Auguste Drouot, situé à l'angle de l'avenue Victor-Hugo (n°12) et de la rue de l'Égalité (n°2), entre 1924 et 1927[8],[9].
Quatre maisons situés aux n° 7-9-11 et 13 cours du Parc, entre 1926 et 1928[12],[13].
Immeuble situé à l'angle de la rue de l'Égalité (n°16) et de la rue du Docteur-Durande (n°10), en 1927[14].
Immeuble de style Art déco, 15 boulevard Thiers, en 1930[2].
Maison de style Art déco, 6 boulevard Eugène Spüller, en 1931[2].
Immeuble de style Art déco, aux n°3-5-7 rue du Château à la place de l'"immeuble David", abritant "Le Grand Café" et l’ancien hôtel de la Poste, construits par l’entreprise Pouletty, entre 1927-1933[15].
Immeuble de style Art déco, aux n°8 avenue de la Première armée française [16].
Claudine Hugonnet-Berger, Photographies de Jean-Luc Duthu, Dijon architectures civiles 1800-1940, Dijon, Association pour la connaissance du patrimoine de Bourgogne, 1994, 30 p.
Thérèse et Daniel Dubuisson, Emile Robert (1880 - 1955), un architecte dijonnais méconnu, bulletin de l'Association pour le renouveau du vieux-Dijon, n° 51, 2010, pages 8 à 15.