L'université Fordham, (en anglais Fordham University) est une université américainecatholique privée située à New York. Elle est considérée comme un établissement indépendant, toutefois, elle conserve de forts liens avec son héritage jésuite. Elle fait partie des 28 établissements membres de l'association des colleges et universités jésuites (Association of Jesuit Colleges and Universities). Dans The Fiske Guide to Colleges 1998, on pouvait ainsi lire que « pour la plupart des étudiants, l'influence catholique est positive », et la plupart des étudiants disent eux-mêmes que cet héritage catholique est l'un des tous meilleurs attributs de cette université.
En 2007, Fordham est référencée comme l'une des soixante-dix meilleures universités des États-Unis d'après le U.S. News & World Report. Dans le magazine BusinessWeek, elle est même classée à la 34e place, et l'école de droit(Fordham University School of Law), est classée au 25e rang national dans la catégorie des écoles de droit. L'école de droit fait ainsi à présent partie des quinze établissements les plus sélectifs du pays. En 2004, l'école d'assistance sociale fut quant à elle classée quatorzième par le U.S. News & World Report. Fordham est donc une université renommée et hautement sélective. En 2007, elle a reçu plus de 22 000 demandes d'inscription pour moins de 2 000 places dans ses facultés undergraduate. Elle constitue l'un des trois principaux établissements d'enseignement supérieur de la ville de New York après sa rivale new-yorkaise privée Columbia, membre de la prestigieuse Ivy League et l'université de New York, qui est quant à elle publique.
L'université de New York (en anglais : New York University (ou NYU), anciennement University of the City of New York) est une université privée américaine située à New York. Son campus principal est situé dans le quartier de Greenwich Village de Manhattan. Fondée en 1831 par l'homme politique américain Albert Gallatin et un groupe de New-Yorkais, l'université de New York est devenue la plus grande université privée à but non lucratif du pays, avec un nombre total d'étudiants supérieur à 40 000. L'université regroupe quinze établissements (Schools, Colleges et Divisions) répartis sur six campus à travers Manhattan.
Le campus, d'une surface de 14,16 hectares, est situé le long de Convent Avenue, entre la 130e rue et la 141e rue, sur une colline surplombant le quartier de Harlem, au nord de Manhattan. La plupart de ses bâtiments, construits dans un style néogothique, sont l'œuvre de l'architecte George Browne Post, et plusieurs d'entre eux ont reçu la distinction de landmarks.
Le CCNY, fondé en 1847, fut en outre le premier établissement supérieur public et gratuit des États-Unis. Il est aussi, depuis de nombreuses années, considéré comme le campus le plus prestigieux de la City University of New York.
L’université est spécialisée dans les sciences humaines, les sciences sociales, les langues étrangères, et dans le sport. Elle forme quelques 17 000 étudiants, répartis dans ses trois campus. Elle est le plus grand pôle de recherche et d’enseignement dans le domaine des sciences humaines et sociales dans l’Ouest de la France.
Les activités de l’université sont visibles au-delà de ses murs, notamment par les Presses universitaires de Rennes dont elle est à l’origine, par les activités du PRES Université européenne de Bretagne dont elle est co-fondatrice, mais aussi par ses activités culturelles liées à celles de la ville de Rennes, notamment par l’accueil de festivals, ou par les activités de la salle du Tambour.
Elle est membre de plusieurs pôles de recherche comme l’université européenne de Bretagne, dont elle est co-fondatrice et qui regroupe les principaux centres de recherche bretons, ou encore le réseau des universités de l’Ouest Atlantique qui regroupe les dix universités présentes dans les quatre régions de Bretagne, Limousin, Pays de la Loire et Poitou-Charentes. Elle dispose par ailleurs d’une fondation depuis le .
L'université compta jusqu’à huit collèges, dix huit refuges d’abbayes et vingt deux séminaires, associés aux facultés des arts, théologie, droit canon et droit civil, médecine. La renommée de l'université attira de nombreux professeurs et étudiants français et flamands, mais aussi anglais, écossais et irlandais. « Seconde du royaume avec 1 705 étudiants en 1744, l’université de Douai est, au XVIIIe siècle, un vecteur de la culture française ».
Centre de la Contre-Réforme catholique, l'université de Douai fut impliquée dans des controverses politico-religieuses. Elle accueillit ainsi les intellectuels catholiques anglais récusants en exil sur le continent, en particulier des professeurs de théologie d'Oxford ; c'est dans le collège anglais de Douai que fut achevée en 1609 la traduction de la Bible en anglais connue sous le nom de « Bible de Douay-Rheims », sur laquelle John Fitzgerald Kennedy prêta serment de président des États-Unis en 1961. Après avoir accueilli les adversaires de l'anglicanisme d'outre-Manche et lutté contre le luthéranisme et le calvinisme diffusés aux Pays-Bas espagnols, l'université de Douai s'opposa à la doctrine du gallicanisme promue par le français Bossuet. En 1692, la « fourberie de Douai » permit au pouvoir royal d’éloigner de l'université les professeurs partisans du jansénisme…
L'observatoire contient une lunette astronomique de 300 mm construite par John Alfred Brashear, mais aucun de ses instruments n’est plus utilisé pour la recherche professionnelle aujourd'hui. L'établissement a joué un rôle important dans le développement de l'astronomie car il fut le siège d’une innovation-clé dans le domaine de la photométrie astronomique. Il a été dirigé par des scientifiques tels que Joel Stebbins et Robert H. Baker…
L’université de Tokyo(東京大学, Tōkyō daigaku?, couramment abrégé en Tōdai, 東大) est une université nationale japonaise, située à Tokyo. Elle a été fondée en 1877 comme l’une des universités impériales du Japon et appartient depuis 2004 à l’association des universités nationales du Japon.
L’université compte trois campus principaux, répartis à Tokyo et dans sa région, plus précisément à Hongō, Komaba et Kashiwa. Elle forme quelque 28 000 étudiants, dont 2 100 étrangers, et compte 7 637 personnes travaillant dans des activités liées à la recherche ou à l’enseignement. Elle est structurée en dix facultés pour le 1er cycle et quatorze pour les cycles suivants. Elle compte par ailleurs plusieurs infrastructures, dont deux hôpitaux, un service de bibliothèques comptant plus de huit millions de titres, ainsi qu’un musée.
L’université de Kyōto(京都大学, Kyōto daigaku?), dont le nom est couramment abrégé en Kyōdai (京大?), est une universitéjaponaise située à Kyōto. Elle a été fondée en 1897 en tant qu’université impériale du Japon et appartient depuis 2004 à l’association des universités nationales du Japon.
Elle compte environ 22 000 étudiants, tous cycles confondus, dont 1 430 étudiants étrangers, 2 875 enseignants et 2 533 personnels administratifs. Ses trois campus sont situés à Kyōto et dans sa périphérie, plus particulièrement les quartiers de Yoshida et de Katsura, ainsi que dans la ville d’Uji. Elle est organisée en dix facultés pour le premier cycle et en dix-sept pour les suivants et compte par ailleurs plusieurs infrastructures comme un hôpital universitaire, un service de bibliothèques comprenant plus de six millions de livres, ainsi qu’un musée. Parmi les personnalités liées à l’université, cinq anciens étudiants ont obtenu un prix Nobel, deux ont obtenu une médaille Fields, deux ont été Premiers ministres du Japon, et un président de Taïwan.
L'université de Nîmes (anciennement Centre universitaire de formation et de recherche de Nîmes, appelé aussi UNÎMES), est une université située à Nîmes, dans le département du Gard, en France. Elle est créée en 2007 à partir d'un centre universitaire ouvert, lui, en 2002 ; elle est alors la cinquième université de l'académie de Montpellier.
Les composantes de l'université sont réparties sur trois sites dans l'agglomération nîmoise. Son implantation principale est dans le fort Vauban, au nord du centre-ville de Nîmes, et elle dispose d'un site secondaire aux Carmes, dans le centre-ville, ainsi qu'une implantation dans le parc scientifique Georges Besse, au sud de l'agglomération. Un quatrième site, voué à devenir le site principal, doit entrer en service en 2013 dans l'est du centre-ville.
L’université est pluridisciplinaire, et forme quelque 3 276 étudiants dans les domaines des sciences, du droit et de la gestion, ainsi que des lettres et des sciences humaines. Ses activités de recherches sont effectuées sous la tutelle d'autres établissements de la région. Elle est, par ailleurs, membre du pôle de recherche et d'enseignement supérieuruniversité Montpellier Sud de France depuis sa création en 2009.
Homer va à la fac (Homer Goes to College) est le 3e épisode de la saison 5 de la série télévisée d’animationLes Simpson. Il a été pour la première fois diffusé aux États-Unis sur la Fox le et en France sur France 3 le . Dans cet épisode, il est révélé qu’Homer n’a pas de diplôme, et il est envoyé à l’Université de Springfield pour obtenir un diplôme de physique nucléaire. Homer, qui ne connaît l’université que par le biais de mauvaises comédies, fait le pitre et est mis sous le tutorat d’un groupe de garçons. Ces garçons, qui sont le stéréotype même du nerd, tentent d’aider Homer, mais celui-ci préfère leur apprendre à faire la fête et décide de faire une blague à une université concurrente. Ils volent la mascotte de Springfield A&M, mais ses amis sont pris sur le fait et expulsés. Homer les invite à vivre chez lui, mais sa famille ne supporte rapidement plus ces nouveaux colocataires.
Homer va à la fac a été réalisé par Jim Reardon et est le dernier épisode écrit par Conan O’Brien seul. O’Brien a quitté la série au cours de la production de la saison pour animer sa propre émission, Late Night with Conan O’Brien. Il travaillait sur cet épisode quand il a été informé qu’il avait reçu ce poste et a été forcé de rompre son contrat. Le concept de l’épisode est que Homer tente d’obtenir son diplôme universitaire, mais fonde toute sa connaissance de l’université sur de « mauvais films dérivés d’American College »…
Robert Ier, électeur palatin, fonde l'université de Heidelberg en 1386, pendant le Grand Schisme d'Occident. Au XVIe siècle, elle devient un haut-lieu de la Réforme protestante. Affectée ensuite par la guerre de Trente Ans et la guerre de la Ligue d'Augsbourg, elle est réformée en 1803 par Charles Ier de Bade et connaît alors une période florissante du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Pendant le Troisième Reich, l'université adhère à l'idéologie nazie. Réouverte rapidement après la guerre, elle connaît alors une période de dénazification. À partir des années 1960, l'université se développe pour accueillir plus d'étudiants ; le campus de Neuenheimer Feld dédié aux sciences et à la médecine est construit alors que l'implantation de l'université dans le centre-ville historique de Heidelberg et dans le quartier de Bergheim est rationalisée...
L'université compte trois campus principaux répartis à Sendai, plus précisément à Katahira, Seiryo et dans la zone Kawauchi-Aobayama. Elle forme quelque 18 225 étudiants, dont 1 511 étrangers, et compte 5 819 personnes travaillant dans des activités liées à la recherche ou à l'enseignement. Elle est structurée en dix facultés pour le 1er cycle et quinze pour les cycles suivants. Elle compte par ailleurs plusieurs infrastructures, dont un hôpital, un service de bibliothèques comptant plus de 3,8 millions de titres, ainsi qu'un musée.
Parmi les personnalités liées à l’université, un ancien étudiant a obtenu un prix Nobel et un autre un prix Albert Lasker, et plusieurs inventions comme l'antenne Yagi-Uda ou la mémoire flash ont en partie été développées par des chercheurs de l'établissement.
Elle est spécialisée dans le domaine des sciences, des formations du domaine de la santé, des sciences humaines et sociales, ainsi que des arts, lettres et langues. Ses activités de recherche se concentrent autour de 102 équipes (dont près de 80 % associées à de grands organismes de recherche) et regroupent près de 2 300 doctorants et 2 000 enseignants-chercheurs. Elle forme près de 25 000 étudiants.
Parmi les personnalités liées à l’université, deux enseignants ont obtenu un prix Nobel, et deux autres ont exercé la fonction de ministre de l’éducation nationale en France.
L’établissement dispense des formations dans les domaines des Arts-Lettres-Langues, du Droit-Économie-Gestion, des Sciences Humaines et Sociales, du sport, et des Sciences et Technologie à près de 10 000 étudiants, majoritairement inscrits en premier cycle.
Ses activités de recherches sont structurées autour de trois pôles, « environnement, milieux littoraux, développement durable », « mathématiques et sciences pour l’ingénieur » et « langues, littérature, histoire et culture », et sont organisées en douze laboratoires.
L’établissement dispense des formations dans les domaines des arts-lettres-langues, du droit-économie-gestion, des sciences humaines et sociales et des sciences et technologie, ainsi que des préparations à des concours à quelques 11 338 étudiants.
Ses activités de recherche sont assurées par quelque 500 enseignants-chercheurs et 350 doctorants, et elles sont structurées autour de quatre pôles : « étude des matériaux et sciences expérimentales », « analyse, modélisation et management de systèmes complexes », « technologies de l’intelligence embarquée » et « transferts culturels et transmission des savoirs ».
L'université de Kyūshū(九州大学, Kyūshū Daigaku?), souvent abrégée en Kyudai(九大, Kyūdai?), est une université nationale japonaise située à Fukuoka, dans l'île de Kyūshū. Elle a été fondée en 1903 sous la forme d'un collège de médecine avant d'acquérir en 1911 le statut université impériale, et appartient depuis 2004 à l'association des universités nationales du Japon.
L'université compte trois campus principaux répartis à Fukuoka, plus précisément à Ōhashi, à Chikushi, et à Ito. Elle forme quelque 18 743 étudiants, dont 1 713 étrangers, et compte 4 940 personnes travaillant dans des activités liées à la recherche ou à l'enseignement. Elle est structurée en douze facultés pour le 1er cycle et dix-sept pour les cycles suivants. Elle comprend par ailleurs un hôpital, des bibliothèques totalisant un peu plus de quatre millions de titres et un musée.
Il est connu pour son implication dans le développement de l’agriculture dans le Massachusetts, notamment par sa contribution pour la création du collège d’agriculture d’Amherst, qu’il dirige quelques années. Il est appelé en 1876 par le gouvernement japonais pour développer l’agriculture à Hokkaidō, et y participe en aidant à la création du collège d'agriculture de Sapporo. Il y mène par ailleurs une activité de prosélytisme chrétien.
Ses dernières années sont marquées par son implication dans une société d’exploitation de mines en Amérique du Nord. Cette dernière périclite en 1882 en raison de la gestion de son associé, ce qui entraine sa ruine, et sa mort peu après en 1886.
George P. Burdell est un étudiant fictif inscrit officiellement au Georgia Institute of Technology en 1927 dans le cadre d'un canular. Depuis lors, cet établissement lui a décerné des diplômes de baccalauréat ès sciences et de master ; il a fait son service militaire, s'est marié, a servi au conseil d'administration du célèbre magazine Mad, et a pris part à beaucoup d'autres événements. Il a même été un temps en tête du sondage de la personnalité de l'année selon Time Magazine en 2001. Il est devenu une tradition importante de l'université ; tous les nouveaux étudiants de Georgia Tech apprennent l'histoire de Burdell lors de leur arrivée sur le campus.
L'Université Waseda(早稲田大学, Waseda daigaku?), couramment abrégé en Sōdai(早大?), est une université japonaise privée située à Tokyo. Elle est fondée en 1882 par l'homme d'État Ōkuma Shigenobu comme école spécialisée, et accède au statut d'université en 1920.
L'université compte trois campus principaux dans la partie nord de l'arrondissement de Shinjuku. Elle forme en 2011 quelque 53 500 étudiants, dont 2 400 étrangers, et compte 5 900 personnes travaillant dans des activités liées à la recherche ou à l'enseignement. Elle est structurée en treize facultés pour le 1er cycle comme pour les cycles suivants, et en six écoles supérieures. Elle compte par ailleurs plusieurs infrastructures, dont un service de bibliothèques comptant plus de cinq millions de titres, ainsi que deux musées.
Parmi les anciens étudiants que compte l'université, sept ont exercé la fonction de Premier ministre au Japon, et plusieurs ont remporté les principaux prix littéraires de l'archipel, ainsi que treize titres olympiques.
L'université compte deux campus principaux à Sapporo et à Hakodate tous deux dans la préfecture de Hokkaidō. Elle forme en 2011 quelque 18 227 étudiants, dont 1 340 étrangers, et compte 3 917 personnes travaillant dans des activités liées à la recherche ou à l'enseignement. Elle est structurée en douze facultés pour le premier cycle et dix-neuf pour les cycles suivants. Elle compte par ailleurs plusieurs infrastructures, dont un hôpital, un service de bibliothèques comptant un peu moins de quatre millions de titres, ainsi qu'un musée.
Parmi les personnalités liées à l'université, un ancien étudiant a obtenu un prix Nobel, un autre a été spationaute et trois ont obtenu un prix Akutagawa.
L'établissement dispense des formations dans les domaines des arts-lettres-langues, du droit-économie-gestion, des sciences humaines et sociales, ainsi que des sciences-technologie-santé à quelques 17 413 étudiants.
Ses activités de recherche sont assurées par quelque 1 350 personnels de recherche et 719 enseignants-chercheurs, et elles sont structurées autour de quatre pôles : « sciences de la mer », « santé agro-alimentaire », « math-STIC-matière » et « sciences humaines et sociales ».
L'affaire Kume(久米邦武筆禍事件, Kume Kunitake Hikka Jiken?) est une controverse universitaire qui se déroule au Japon, à l'ère Meiji (1868 - 1912). Elle porte sur l'analyse faite par l'historien Kume Kunitake des documents historiques retraçant la fondation mythique du Japon. Dans l'édition d' de la revue Shigaku zasshi, il soutient que le shintō est une croyance religieuse dépassée ; une affirmation qui fait grand bruit dans un pays où le pouvoir en place vient d'instaurer un shintoïsme d'État dont l'origine divine de la lignée impériale est l'un des piliers fondateurs. En effet, la republication de l'article de Kume, le , dans une revue au lectorat plus large, fait éclater une polémique publique. Attaqué par les milieux conservateurs et religieux, et ne pouvant compter sur des soutiens dans le monde académique, le professeur de l'université impériale de Tokyo est contraint à la démission.