Thomas Ekollo dirige le Collège Alfred Saker de Douala[3], puis devient secrétaire général de l’enseignement protestant pour les Églises baptistes et l’Église évangélique, et directeur de l’enseignement général et technique camerounais[4].
Thomas Ekollo se marie le lors de vacances d'été au Cameroun à Renée Dika. Ils logeront au foyer Gallia à Strasbourg pendant les années d'université. Leur logement devenant le centre de rencontre des étudiants africains.
En 1960, nommé à la direction des écoles du CEBEC, Thomas Ekollo parcours le Cameroun et se rend au-delà des terres Douala pour superviser le fonctionnement des établissements sous contrôle du CEBEC.
« De l'importance de la culture pour l’assimilation du message chrétien en Afrique Noire », in Présence africaine, 1956/3, p. 179-189 (communication faite par Thomas Ekollo dans le cadre du premier Congrès des écrivains et artistes noirs)
« Illustration du génie africain au sein de la communauté protestante africaine », in Colloque sur les religions, Paris, 1961
Mémoires d’un pasteur camerounais (1920-1996), CLE, Yaoundé ; Karthala, Paris, 2003, 198 p. (autobiographie)[6]
Notes et références
↑« Pasteur Joseph Ekollo, Isungu a miango onyola bebotedi b’eyal’a Loba o Kamerun, Douala, », Manuscrit non publié,