Émilie a reçu des cours de médecine par des diaconesses de l'hôpital Laquintinie de Douala. Elle arrive à Douala le 28 juin 1945[1] et s'y installe après le décès de son père et reste au Cameroun jusqu'en 1884[2].
Une école d'infirmières Émilie Saker fut créée à Douala en 1963[4], avec 4 lits[5].
Notes et références
↑Jean-Philippe Guiffo, Le statut international du Cameroun, 1921-1961, Éditions de l'Essoah, (lire en ligne), p.58
↑Jaap van Slageren, Histoire de l'Eglise en Afrique (Cameroun), , 149 p. (lire en ligne).
↑Jean-Paul Messina et Jaap van Slageren, Histoire du christianisme au Cameroun: des origines à nos jours : approche œcuménique, Karthala Éditions, (ISBN978-2-84586-687-4, lire en ligne), p.333
↑Messina Jean-Paul, Van Slageren Jaap, Histoire du christianisme au Cameroun -des origines à nos jours, Karthala Editions, (ISBN978-2-8111-3995-7, lire en ligne)
↑Enquête sur le suivi des dépenses publiques et la satisfaction des bénéficiaires dans les secteurs de l'éducation et de la santé: rapport principal. Volet santé. Phase 1, Institut national de la statistique, (lire en ligne), p.64