Agrégé de philosophie en 1922, il enseigne d'abord au lycée Janson-de-Sailly à Paris[2]. Il poursuit à l'université de Montpellier en 1931, puis à Alger de 1932 à 1937 avant de rejoindre la Sorbonne en 1937[2]. Ses importants travaux et son œuvre, conduisent à son élection à l'Académie des sciences morales et politiques en 1956[2]. Il est l'auteur de Le Nombre (1938), pont remarquable entre la philosophie et la mathématique formaliste avancée[3].
Publications
Philosophes et savants français du XXe siècle : extraits et notices, Paris, Librairie Félix Alcan, 1926-1930.
Remarques sur la probabilité des inductions, Paris, Vrin, 1931.
Essai sur quelques caractères des notions d'espace et de temps, Paris, Vrin, 1932.
Le Nombre, Paris, Alcan, 1938.
Logique et modalité : du point de vue organique et physique, Paris, Hermann, 1952.
Histoire des chemins de fer racontée à la jeunesse, avec Jean-Jacques Pichard, Paris, Librairie Gründ, 1953.