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Relations entre Interpol et l'Union européenne  Cet article est une ébauche concernant la police ou la gendarmerie et l’Union européenne. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion.
Les relations entre l'Organisation internationale de police criminelle (Interpol) et l'Union européenne sont l'ensemble des relations entretenue entre Interpol et l'Union européenne et ses institutions. Historique Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? Un bureau d'Interpol est accrédité par la Commission européenne en [1]. L'année suivante, le , le premier Représentant spécial de l'Union européenne, Pierre Reuland, prend ses fonctions[2]. Le , un accord de coopération entre la Banque centrale européenne et Interpol est signé[3], l'accord porte notamment sur la lutte « contre les menaces provenant du faux monnayage de l'euro en général[3] ». Un accord de siège entre la Belgique et Interpol est signé le à Lyon et le de la même année, cet accord précise les privilèges et immunités de la représentation spéciale auprès de l'Union[1]. En , Pierre Reuland est remplacé par Pierre St Hilaire, ancien Directeur du contre-terrorisme au sein d'Interpol[4]. Représentants spéciaux
SourcesRéférencesBibliographie
ComplémentsArticles connexesLiens externes
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