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Installé dans l'ancien couvent des Augustins[2], le musée présente une double orientation qui lie les beaux-arts et l'histoire des métiers de Loire dont les mariniers. Il est accessible à tous publics, possède un accès handicapé, propose des visites guidées, des animations, des activités pour les enfants et les scolaires, des jeux de piste ou puzzle pour les familles. Il offre enfin une visite virtuelle via mobile.
Il a obtenu les labels « Accueil vélo »[3] en 2016 pour trois ans (renouvelé en 2019), « Vignobles & découvertes »[4] en 2016 pour trois ans (renouvelé en 2021) et « Qualité Tourisme » en 2021 pour cinq ans.
Historique
La création du musée est adoptée par délibérations du conseil municipal les et , il ouvre ses portes le .
Histoire des lieux
Le couvent des Augustins accueille le musée de la Loire depuis le , mais cela n’a pas toujours été le cas[5].
Si l’idée d’un musée-bibliothèque de la ville de Cosne-sur-Loire germe dès la fin du XIXe siècle dans l’esprit des notables locaux (notamment l'architecte Albert Pasquet), c’est d’abord l’hôtel de ville qui accueille les collections dans deux salles du premier étage. Ces collections sont en partie composées de dons de l’État français, qui dote ainsi ses petits musées de province. Le catalogue de 1905 fait mention de 215 pièces : tableaux, sculptures, fragments paléontologiques, objets archéologiques et monnaies.
Le musée est déplacé en 1937 dans les locaux de l’ancienne sous-préfecture de l’époque, rue Eugène-Pelletan. Les œuvres sont classées dans différentes salles thématiquement — armes, étains, céramiques, peintures —, les sculptures profitant de la lumière de la verrière du bâtiment. Ce dernier est détruit le lors du bombardement du pont de Loire tout proche. Certaines œuvres disparaissent, détruites par le bombardement ou volées lors de pillages. Commence le sauvetage des œuvres restantes grâce, entre autres, à la famille Giblin.
Avec les dommages de guère dans les années 1950, on projette la conception d’un grand musée national soutenu par Georges Henri Rivière, fondateur du musée national des Arts et Traditions populaires. Une exposition de préfiguration se déroule dans les locaux de l’Éden Cinéma. Alors que la création d'un musée-aquarium sur le site des forges de la Chaussade ou près du pont est envisagée, l'idée est finalement abandonnée.
Les collections sont gérées à partir de 1961 par la Conservation départementale des musées de la Nièvre. En 1971, le « musée de la Loire nivernaise », toujours accompagné de la bibliothèque, ouvre dans deux salles au rez-de-chaussée du palais de justice. Les collections tournent essentiellement autour de la batellerie.
En 1984, 1 650 œuvres sont recensées et la collection beaux-arts s’est considérablement enrichie grâce aux legs d’Émile Fernand-Dubois et Émile Loiseau. Il s’organise alors principalement autour de l’ethnographie ligérienne et de la peinture parisienne des années 1920. Il ouvre ses portes dans le bâtiment actuel, correspondant à une partie de l’ancien couvent des Augustins, le .
Plan de situation du musée de la Loire à Cosne.
Frise chronologique de l'histoire du musée de la Loire.
Historique des collections
Les informations suivantes proviennent principalement de : Archives municipales de Cosne-Cours-sur-Loire, 2R11, 4M28, 1W2, 202W245 et archives du musée de la Loire.
Les collections du musée de la Loire sont le résultat de plus d'un siècle d'acquisitions constituées à la faveur d'achats, de dons, de legs ou de dépôts notamment d’État.
1899-1901 : genèse du musée
Le musée reçoit dès sa création de nombreux dons très variés : tableaux, sculptures, livres, pièces de monnaie, fossiles, fragments paléontologiques et archéologiques, etc.
L'objectif, hérité de la Révolution, est pédagogique : l'éducation du peuple et la volonté de rassembler des pièces significatives des arts et de la nature (cabinets de curiosités).
Parmi les souscripteurs en nature figurent notamment Achille Millien (1838-1927), poète et folkloriste nivernais, Albert Pasquet (1857-1937), architecte cosnois et Gustave Mohler (1836-1920), artiste nivernais (don de Portrait de deux chiens bassets).
Parmi les souscripteurs en numéraire figurent le marquis de Tracy (200 francs), Albert Pasquet et sa femme (100 francs en plus des objets qu’ils ont déjà donnés), Le Blanc de la Caudrie (100 francs), la Ville de Cosne-Cours-sur-Loire (340 francs) et le Département de la Nièvre (150 francs) ; mais aussi des contributions plus modestes, entre un et 50 francs, qui montrent que sa création a fédéré et enthousiasmé les habitants de Cosne et de ses environs.
L'inventaire recense 35 tableaux, trois aquarelles, huit dessins, neuf gravures, sept sculptures, vingt ouvrages littéraires (contribution d'Achille Millien) et plusieurs objets archéologiques.
Détail de la liste des premiers souscripteurs, vers 1899-1900.
Gustave Mohler, Portrait de deux chiens bassets (fin du XIXe siècle).
Liste des premiers donateurs du musée de Cosne-sur-Loire.
1900-1905 : premières acquisitions
Le musée réalise différents achats d’œuvres :
plusieurs œuvres de la collection Achille Millien comme l'Esquisse d’une Renommée par le sculpteur français Joseph Félon (1818-1896), dédicacée « Au bon ami Achille Millien » et préparant une partie du décor en bas-relief de l’escalier d’honneur de l’hôtel de ville de Paris ;
le musée bénéficie également dès 1901 de six dépôts de l’État, essentiellement des tableaux et des sculptures, envoyés depuis Paris par la Direction des Beaux-Arts comme La Mère laborieuse, peinte par Edmond Kaiser d’après Chardin et déposée par l’État en 1902.
Jusqu’au début de la Seconde Guerre mondiale, les acquisitions vont ainsi se poursuivre à un rythme régulier grâce à des achats, des dons et des legs. Très peu d’informations subsistent sur les acquisitions réalisées jusqu’aux années 1950, beaucoup de documents ayant été perdus lors du bombardement de .
Parmi les acquisitions les plus marquantes figurent le don de M. Bloch, antiquaire à Cosne, qui dote le musée d’une importante collection de lorgnettes et jumelles de théâtre des XVIIIe et XIXe siècles, ou l’achat d'un vase soliflore en 1907 auprès du céramiste nivernais Théo Perrot (1856-1942).
Jumelles et lorgnettes (XVIIIe et XIXe siècles).
Théo Perrot, Petit vase soliflore (fin du XIXe-début du XXe siècle).
Durant cette période faste, le musée reçoit deux legs d'importance :
le Legs Le Blanc de la Caudrie en 1912 : Marie-Joseph Serigny Le Blanc de la Caudrie (1833-1911), militaire d’origine cosnoise, décide, dès 1908, de léguer à la Ville de Cosne et à son musée ses riches collections constituées d’étains, de faïences et porcelaines, de tabatières et compotiers en argent du XVIe siècle, d’armes diverses, de bronzes chinois, un petit bénitier d’intérieur, des majoliques italiennes ou la Tête de faune de Jean-Joseph Carriès.
Émile Fernand-Dubois, La Douleur, dessin préparatoire pour le bas-relief du Monument aux morts de Cosne.
Émile Fernand-Dubois (1869-1952) est nommé conservateur du musée à partir de 1921. Sculpteur formé par Jules Dalou[réf. nécessaire], il fréquente régulièrement Auguste Rodin et l’atelier du fondeur Pierre Bingen. Très engagé en politique et fortement affecté par la Première Guerre mondiale, son œuvre est marqué par ses réalisations monumentales (le Monument aux morts de Cosne réalisé en 1922, entre autres), des représentations féminines nombreuses ou les commandes de bustes et portraits sculptés (écrivains, militaires, hommes politiques, etc.). Claude Goujat, maire de Cosne, l’invitera à s’installer dans la région où il acquerra une petite maison dans le hameau de Port-Aubry. Profondément marqué par la mort de son épouse Jane dans le bombardement du musée, il abandonne peu à peu ses fonctions au musée puis meurt en 1952. Il est ensuite inhumé à Cosne. Il lègue à la Ville de Cosne la totalité de son fonds d’atelier de sculpteur, aujourd’hui conservé au musée de la Loire : des sculptures en bronze, marbre,, etc. ainsi que des travaux préparatoires, des dessins et des photographies renseignant le processus créatif de l’artiste à l’exemple du Joueur de Harpe (épreuve de travail en plâtre et version définitive en bronze).
Émile Fernand-Dubois
Émile Fernand-Dubois dans son atelier.
Émile Fernand-Dubois.
Bal de la Horde avec Émile Fernand-Dubois.
Ses acquisitions sont clairement orientées vers les beaux-arts, privilégiant la peinture et la sculpture — certaines de ses œuvres seront achetées par le musée comme la Naïade en 1940.
Il obtient aussi des dons d’artistes qu’il connaît, soit par le biais de son métier de sculpteur, soit par le biais de la communauté artistique de Montparnasse et de La Horde, association de soutien aux artistes : la Lionne, aquarelle du peintre animalier Jean Camille Cipra (1893-1952) donnée en 1931 par M. Pousset, le Nu accroupi de Samuel Granowsky (1889-1942), un artiste que Fernand-Dubois a sans doute côtoyé à Montparnasse, et un buste en bronze de Victor Hugo réalisé par Auguste Rodin, mais le musée ne conserve plus aujourd’hui cette sculpture, probablement disparue pendant la Seconde Guerre mondiale.
Il obtient enfin des dépôts d’État (peintures et sculptures) : 22 œuvres, dont certaines ont été détruites lors du bombardement du . Seules dix nous sont parvenues, comme la Nature morte au poêle de Jules Valadon, des œuvres de Tancrède Synave et de Paul Marie Vigoureux.
L'inventaire dressé par Fernand-Dubois le recense environ 560 œuvres et objets — sans compter les pièces archéologiques — et 22 dépôts d’État. La collection jugée hétéroclite est centrée autour des thématiques beaux-arts, ethnologie, minéralogie, archéologie et arts décoratifs.
S'y trouve des œuvres du sculpteur Louis-Ernest Barrias (1841-1905), comme une esquisse de La Nature se dévoilant devant la science, dont la version définitive en marbre est conservée à Paris au musée d'Orsay, et du peintre Félix-Joseph Barrias (1822-1907) avec une esquisse pour Les Exilés de Tibère, dont la version définitive se trouve elle aussi au musée d'Orsay, ou des œuvres d’artistes locaux comme Albert Dardy, Fernand Chalandre, Claude Rameau, etc.
1940-1980 : la difficile renaissance après le désastre
Alors que l’on procède à l’évacuation des œuvres du musée bombardé le , Émile Fernand-Dubois réalise un premier inventaire pour évaluer les dommages de guerre.
Les acquisitions se poursuivent à partir des années 1950, surtout orientées vers les sujets « Loire » qui agitent les débats de création d’un musée national sur cette thématique : outils de pêcheur, de menuisier, de tonnelier, de charpentier de marine ; matériels ou mobiliers de mariniers ; tableaux, photographies, faïences et objets d’art, etc.
Plusieurs dons affluent provenant notamment des familles Joly, Biry et Bellile (en 1956), Jost (en 1958), Carroué (en 1961 et 1972).
En 1952, un nouvel inventaire est dressé, de même en 1961 et en 1969. Les collections sauvées des décombres sont disséminées dans différents lieux de la Ville.
Le musée reçoit un nouveau legs exceptionnel, celui d’Émile Loiseau en 1970.
Installé avec son épouse Marthe à Cosne pour sa retraite, sans héritier, les époux Loiseau décident de léguer l’ensemble de leurs biens, plus de deux cents objets d’art et peintures modernes, à la Ville.
Outre une importante bibliothèque — aujourd’hui à la médiathèque intercommunale —, on note la présence d'un ensemble de statues, statuettes et divers objets appartenant à une vaste sphère extrême-orientale dont une Tête de Bouddha khmer en grès beige, datable du XIIe siècle, des céramiques de Meissen ou Sèvres (Bouillon couvert au décor « œil de perdrix », marque de Louis-Gabriel Chulot, vers 1780), des meubles et statues où se distingue une imposante armoire de sacristie, aux panneaux sculptés de « plis de serviette », et un Saint Antoine ermite en bois polychrome, sans doute témoin de l’école rhénane de sculpture à la fin du Moyen Âge.
Beaucoup de toiles et d’aquarelles enfin de Jules-Émile Zingg, un intime, dont l’épouse est violoniste. Finalement, une collection cohérente, forte d’une soixantaine d’huiles, aquarelles, dessins, et de véritables chefs-d’œuvre comme Vue d’une fenêtre ouverte de Raoul Dufy (vers 1908).
Alors que la création d’un nouveau musée dans le couvent des Augustins rénové se précise, on envisage enfin de réunir les collections dispersées dans un seul et même lieu.
En 1984, un nouvel inventaire révèle la présence de 1 650 pièces.
Les acquisitions reprennent au gré des dons, achats, dépôts et une vraie programmation culturelle est mise en place : exposition temporaires, manifestations, conférences, etc.
des pièces rejoignant le fonds Loire comme une armoire de marinier, le tableau de l'Arrivée de Ver-Vert, des plat, assiettes et saladiers en faïence de Nevers.
L'inventaire de 2016 réalisé lors du récolement décennal des collections fait état de la présence effective de 2 041 œuvres ou objets inventoriés ou en dépôt. En 2020, cet inventaire est porté à 2 113 œuvres ou objets.
Acquisitions des XXe et XXIe siècles
École française du XIXe siècle, Paysage de Loire avec gabarre.
La collection « Loire » permet une approche ethnographique du fleuve à partir de peintures de paysages, faïences, maquettes de bateaux et objets du quotidien.
La Loire joue un rôle important dans l’histoire de Cosne. Sa proximité a permis de développer son patrimoine culturel et industriel. La collection « Loire » est répartie en plusieurs salles, chacune ayant un thème différent : l’histoire humaine autour de la Loire à travers le temps, les anciens métiers de la Loire et les croyances liées, l’évolution des bateaux.
Salles dédiées à la Loire
Salle introductive.
Salle des métiers.
Salle des maquettes et de la navigation.
Salle pêche professionnelle.
Salle introductive à la Loire
Dans une première salle à l’entrée du musée, se trouve une frise chronologique. Grâce à la présence d’œuvres variées, elle permet de se faire une idée de l’importance de la Loire dans la ville durant les quatre grandes périodes de l’histoire : Antiquité, Moyen Âge, Temps moderne et Époque contemporaine.
Salle des métiers et des croyances de mariniers
Dans la deuxième salle, appelée salle Louis et René Giblin[6], les anciens métiers liés au fleuve comme ceux de lavandières, mariniers, haleurs, tireurs de sable et de passeurs, sont présentés. Les faïences de Nevers présentes dans cette salle permettent d’illustrer le propos. On trouve aussi dans cette salle une vitrine d’objets liés à la religion et aux croyances des mariniers comme des statuettes en faïence de Nevers ou en bois représentant saint Nicolas, leur saint patron.
Salle des maquettes, des canaux, des marchandises et des péages
Dans la troisième salle, on trouve les différents bateaux utilisés pour le transport des marchandises comme le charbon, le sel, le coton et les poteries : les sapines et le grand chaland de Loire. Une maquette de l'inexplosiblel’Émeraude, pour le transport de voyageurs, complète la présentation.
Dédiée à l'École de Paris, et issue initialement du legs d'Émile Loiseau[7], cette collection de peintures modernes comprend notamment des œuvres d'artiste de l'École de Paris ou ayant vécu dans les quartiers de Montmartre ou Montparnasse dans les années 1910-1930.
Émile Loiseau, né à Briare en 1874, est un violoniste ayant décidé de venir s’installer à Cosne cours sur Loire afin d’y retrouver sa Loire natale ; il y mourut en 1966. En bon vivant, il aimait l’art ainsi que la gastronomie et la musique qu’il partageait avec la famille Zingg qui pratiquait elle-même la musique. C’est Jules-Émile Zingg qui réalisa de nombreux portraits de son ami afin d’illustrer les programmes de ces concerts. Il lègue au musée de Loire en 1970 sa collection d’art composé de mobiliers, de tableaux, de meubles, de bibelots ainsi que d’objets d’art extrême orientaux.
Henri Harpignies (1819-1916) : il peint des cartes de vœux représentant la ville de Briare pour son ami Émile Loiseau. Il est aussi violoncelliste, et est représenté dans le quatuor peint par Jean Burkhalter.
Raoul Dufy (1877-1953)[8] : il est spécialisé dans la peinture type fauvisme et est principalement connu pour ses peintures très colorées faites à partir de formes simplifiées. L’œuvre qui est exposée au musée est une représentation de ce type de peinture colorée et dynamique.
Samuel Granowsky (1889-1942) : arrivé à Montparnasse en 1909, comme Chagall et Henri Epstein, pour survivre à la dure vie d’un artiste à Paris, il devient alors modèle ou encore serveur et plongeur à La Rotonde. Personnage original dans le quartier, il avait l’habitude de se pavaner en tenue de cowboy à la suite de son apparition en tant que figurant dans un western. Il est finalement arrêté lors de la rafle du Vel' d'hiv avant de succomber à Auschwitz en 1942. Le nu présenté dans la collection représente Aïcha, sa compagne et modèle professionnelle à Montparnasse.
Marc Chagall (1887-1985) : peintre russe exilé en France puis aux États-Unis. Il appartient au mouvement artistique du fauvisme. Durant sa carrière, il réalisa les peintures de la coupole de l'opéra Garnier à Paris.
↑Archives municipales, Ville de Cosne-Cours-sur-Loire, 4M28, 2R11, 162W, 1D33, 16W53, 100W42, 1W2195, 1W2, 145W1, 145W2, 70W23 à 70W27 et archives du musée de la Loire ; Cataloque du musée de Cosne, Cosne-Cours-sur-Loire, Imprimerie A. Bureau, 1905.
↑Baptisée ainsi pour rendre hommage à Louis et René Giblin, anciens membres de l'Association des Amis du musée, qui ont participé au sauvetage des œuvres après le bombardement de juin 1940. Cette salle, ancienne chambre d'apparat du prieur de la communauté des Augustins, abrite également une cheminée monumentale classée objet d'art mobilier en 1957 et datée de la première moitié du XVIIe siècle.
↑Jean-Michel Roudier et Nicolas Brocq, Le Legs Loiseau, la peinture moderne au musée de la Loire de Cosne-Cours-sur-Loire, Nevers, conseil départemental de la Nièvre, novembre 2004, 88 p. (ISBN2-9510069-8-5).
↑Jean-Michel Roudier, Émile Fernand-Dubois (1869-1952), l'homme et le sculpteur, Cahier des Amis du musée no 10, Cosne-Cours-sur-Loire, 2003, 30 p. (ISSN1293-0776).
↑Jean-Michel Roudier, Fernand Chalandre, 1879-1924, Cahier des Amis du musée no 13-14, Cosne-Cours-sur-Loire, Association des Amis du musée, 2018, 48 p. (ISSN2264-1300).
↑Collectif, Les Lumières de l’Éden, un monument art déco à Cosne, Cosne-Cours-sur-Loire, musée de la Loire, 2008, 26 p. (ISBN978-2-9533003-0-7).
↑Collectif, En Quête de pierres, de 300 000 à 3 000 av. J.-C., Cosne-Cours-sur-Loire, musée de la Loire, 2009, 27 p. (ISBN978-2-9533003-1-4).
↑Virginie Serna (sous la direction de), La Loire dessus dessous. Archéologie d’un fleuve. De l’âge du Bronze à nos jours, Éditions Faton, 2010, 176 p. (ISBN978-2-87844-139-0).
↑Collectif, Les coulisses d'un musée : histoire et vie des collections [catalogue d'exposition du au ], musée de la Loire, Cosne-Cours-sur-Loire, , 123 p. (ISBN978-2-9533003-2-1).
↑Collectif, D’une rive à l’autre, franchir la Loire, Cahier des Amis du musée no 21, Cosne-Cours-sur-Loire, Association des Amis du musée, 2015, 52 p. (ISSN2264-1300).
↑Collectif, Henri Harpignies. Peindre la nature, Cosne-Cours-sur-Loire, musée de la Loire, 2016, 52 p. (ISBN978-2-9533003-3-8).
↑Collectif, Emmanuel de La Villéon. La liberté de peindre, Cosne-Cours-sur-Loire, musée de la Loire, 2019, 62 p. (ISBN978-2-9533003-4-5).
↑Jean-Michel Roudier, Fernand si grave, Nevers, 102 Éditions, 2021, 79 p. (ISBN978-2-9543014-2-6).
Annexes
Bibliographie
René Giblin, Le Musée de Cosne 1900-1996, Cahier des Amis du musée, no 1, Cosne-Cours-sur-Loire, Association des Amis du musée, 1996, 25 p. (ISSN1293-0776).
Collectif, Les coulisses d'un musée : histoire et vie des collections : [catalogue d'exposition du au ], musée de la Loire, Cosne-Cours-sur-Loire, , 123 p. (ISBN978-2-9533003-2-1).
Jean-Michel Roudier, Émile Fernand-Dubois (1869-1952), l'homme et le sculpteur, Cahier des Amis du musée no 10, Cosne-Cours-sur-Loire, Association des Amis du musée, 2003, 30 p. (ISSN1293-0776).
Collectif, Le patrimoine fluvial du Haut Val de Loire, Inventaire dressé par les Amis du musée de Cosne, Cosne-Cours-sur-Loire, Association des Amis du musée, 150 p.
Jean-Michel Roudier, Fernand Chalandre, 1879-1924, Cahier des Amis du musée no 13-14, Cosne-Cours-sur-Loire, Association des Amis du musée, 2018, 48 p. (ISSN2264-1300).
Collectif, Les Lumières de l’Éden, un monument art déco à Cosne, Cosne-Cours-sur-Loire, musée de la Loire, 2008, 6 p. (ISBN978-2-9533003-0-7).
Collectif, En Quête de pierres, de 300 000 à 3 000 av. J.-C., Cosne-Cours-sur-Loire, musée de la Loire, 2009, 27 p. (ISBN978-2-9533003-1-4).
Virginie Serna (sous la direction de), La Loire dessus dessous. Archéologie d’un fleuve. De l’âge du Bronze à nos jours, Éditions Faton, 2010, 176 p. (ISBN978-2-87844-139-0).
Collectif, D’une rive à l’autre, franchir la Loire, Cahier des Amis du musée no 21, Cosne-Cours-sur-Loire, Association des Amis du musée, 2015, 52 p. (ISSN2264-1300).
Collectif, Henri Harpignies. Peindre la nature, Cosne-Cours-sur-Loire, musée de la Loire, 2016, 52 p. (ISBN978-2-9533003-3-8).
Jean-Michel Roudier, Fernand si grave, Nevers, 102 Éditions, 2021, 79 p. (ISBN978-2-9543014-2-6).
Jean Soustel, Autour de Jean Carriès : papiers, sculptures, céramiques, Cahier des Amis du musée no 4, Cosne-Cours-sur-Loire, Association des Amis du musée, 1999 (ISSN1293-0776).
Jean-Michel Roudier, Faïences et pêche, autour de la collection de faïences de Nevers du musée, Cahier des Amis du musée no 18, Cosne-Cours-sur-Loire, Association des Amis du musée, 2009 (ISSN1293-0776).