Avocat de formation, il plaide à Genève pendant de nombreuses années avant d'être élu Président du tribunal pour enfants.
Il adopte avec Maurice Maier (1921-1950), un autre avocat genevois, le pseudonyme commun de Maurice Roland sous lequel il publie quelques nouvelles policières. À la mort de Maier, Roland Berger continue d'employer le pseudonyme Maurice Roland pour signer plusieurs romans policiers avec d'autres écrivains. Il reçoit le prix du roman d'aventures 1956 pour Voir Londres et mourir écrit en collaboration avec Paul Alexandre. Roland Berger utilisera aussi les pseudonymes communs de Claude Roland (avec Claude Joste) et d'André Berger (avec André Picot).
L'Ombre et le Silence, Paris, Librairie des Champs-Élysées, Le Masque no 974, 1967
Le Bâton dans la fourmilière, Paris, Librairie des Champs-Élysées, Le Masque no 989, 1967 ; réédition, Paris, Librairie des Champs-Élysées, Club des Masques no 173, 1973
Z… comme Zurich, Paris, Denoël, coll. Crime club no 262, 1968 ; réédition, Paris, Denoël, coll, Crime club no 302, 1972
Signés Claude Roland
Le Démon de la chaire, Paris, Fleuve noir, Spécial Police no 939, 1972
La Balustrade, Paris, Fleuve noir, Spécial Police no 1014, 1973
Signés André Berger
Ordonnance de non-lieu, Paris, Fleuve noir, Spécial Police no 1329, 1977
Scoop, pièce policière, Lausanne, Éditions Pierre Marcel-Favre, 1987 (cosigné avec Pierre Naftule).
Auto-stop, Paris, Opta, Mystère magazine no 80, ; réédition sous le titre Les Mauvaises Rencontre, dans Suspense à tombeau ouvert, Paris, Opta, Club du livre policier, 1964