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Née à Toulon, Luce Basseterre a passé une partie de son enfance au Québec où elle a découvert la science-fiction au travers de la série Star Trek. Ce n’est qu’en 2009 qu’elle commence à écrire d’abord des fanfictions, puis des nouvelles de science-fiction ou fantastique[1]. Elle fait la connaissance de Jean-Pierre Fontana et d’un petit groupe d’amis appelés à fonder l’Association Gandahar en 2013. En 2015, elle revêt la casquette de rédactrice en chef délégué le temps de concevoir le troisième numéro de la revue Gandahar, opus consacré aux 24 heures de la nouvelles.
Luce Basseterre est un pseudonyme choisi en hommage à son grand-père paternel, la majorité de ses écrits appartiennent au genre de la science-fiction, et plus particulièrement au space opera[1].
Dans le Le Chant des Fenjicks, un préquel de son roman La Débusqueuse de mondes[2] sur les cybersquales[3], elle expérimente l'utilisation du langage épicène pour aborder la complexité d'une société complexe organisée selon le genre[4],[5],[6].
Luce Basseterre appartient au collectif « Aventuriers intérimaires »[7],[8]regroupant une douzaine d'auteurs dont Anthony Boulanger, Eva Simonin, Jean Vigne, Lilie Bagage, Clémence Godefroy, Laurent Pendarias et Lucile Dumont qui développe depuis 2013 un projet transmédia comportant des romans et des jeux vidéo. Dans ce cadre elle co-scénarise le jeu vidéo « Aventurière intérimaire »[9] en traitant les thématiques LGBT+ et écrit deux nouvelles pour l'univers étendu[10].