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Le nom de la localité est attesté sous les formes Saltacocheria entre 1119 et 1157[4], La Cochiere en 1311[5].
La Cochère : ce toponyme provient de l'agglutination de l'ancien françaiscoq et du suffixe aria qui signifie : l'« endroit où l'on élève des coqs », (sans doute de combat)[6].
Le conseil municipal était composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[11].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans.
Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[13],[Note 2].
En 2021, la commune comptait 148 habitants, en évolution de +5,71 % par rapport à 2015 (Orne : −1,53 %, France hors Mayotte : +2,49 %).
La Cochère a compté jusqu'à 415 habitants en 841, mais les deux communes de La Cochère et La Roche-Nonant totalisaient 469 habitants lors du premier recensement républicain, en 1793 (respectivement 268 et 201 habitants).
La commune est particulièrement tournée vers l'élevage équin, notamment de Pur-sang, et compte sept haras qui emploient une cinquantaine de personnes[15].
Lieux et monuments
Église Saint-Sauveur du XIIIe siècle.
Le château de la Roche (XVIIIe siècle), partiellement inscrit au titre des monuments historiques[16].
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 578 (cf. Cochère (la)).