Jean Regnard Burand est spécialisé en tabatières[1].
Le musée des Arts décoratifs de Strasbourg détient de lui une tabatière en argent doré de 1789. De forme ovale avec couvercle à charnière, elle est dotée sur toutes ses faces d'un décor gravé et ciselé, qui reproduit un motif de rayures évoquant un tissu. Les soieries à rayures sont alors très prisées, tant dans le vêtement féminin et masculin que dans le tissu d'ameublement [4].
Notes et références
↑ ab et cHans Haug, L'orfèvrerie de Strasbourg dans les collections publiques françaises (tome 22 de l'Inventaire des Collections publiques françaises), Éditions des Musées nationaux, Palais du Louvre, , 225 p. (ISBN9782711800742).
↑Alexis Kugel, Philippe Bastian et Pauline Loeb-Obrenan, Vermeilleux ! L'argent doré de Strasbourg : XVIe au XXe siècle, Saint-Rémy-en-l'Eau, Monelle Hayot, , 352 p. (ISBN978-2903824914).
↑« Musée des Arts Décoratifs. 33.004.0.106. Johann Reinhard ou Jean Regnard Borand ou Burand (1750- », Musées de la Ville de Strasbourg [1].
Annexes
Bibliographie
(de) Hans Haug, Alte und neue Strassburger Goldschmiedarbeiten und Uhren, Strasbourg, 1914
Hans Haug, L'orfèvrerie de Strasbourg dans les collections publiques françaises (tome 22 de l'Inventaire des Collections publiques françaises), Éditions des Musées nationaux, Palais du Louvre, , 225 p. (ISBN9782711800742, lire en ligne)
Alexis Kugel, Philippe Bastian et Pauline Loeb-Obrenan, Vermeilleux ! L'argent doré de Strasbourg : XVIe au XXe siècle, Saint-Rémy-en-l'Eau, Monelle Hayot, , 352 p. (ISBN978-2903824914)
Étienne Martin (dir.), Deux siècles d'orfèvrerie à Strasbourg : XVIIIe – XIXe siècles dans les collections du musée des Arts décoratifs, Musées de Strasbourg, , 304 p. (ISBN978-2901833802), p. 133