Barthel Birtsch est reçu maître à Strasbourg en 1552. L'un de ses descendants probablement, Barthel II Birtsch, devient maître en 1591. Plusieurs autres orfèvres strasbourgeois portent le même patronyme[2].
Le Victoria and Albert Museum de Londres possède une chope en argent partiellement doré qui porte sa marque. Le couvercle est gravé de deux blasons, avec la date 1567, mais il est possible que la pièce ait été réalisée quelques années auparavant[4].
↑Hans Haug, L'orfèvrerie de Strasbourg dans les collections publiques françaises, Éditions des Musées nationaux, Palais du Louvre, , 225 p. (ISBN9782711800742)
↑(de) Katharina Küster-Heise, « Straußenei in Pretiosa: Zu den Goldund Silberschmiedearbeiten », Die Kunstkammer der Herzöge von Württemberg. Bestand, Geschichte, Kontext, Landesmuseum Württemberg, 2017, p. 448-449 (ISBN978-3799512596)
↑(en) « Tankard, ca. 1567 (made) », Victoria and Albert Museum [1]
Annexes
Bibliographie
Hans Haug, L'orfèvrerie de Strasbourg dans les collections publiques françaises (tome 22 de l'Inventaire des Collections publiques françaises), Éditions des Musées nationaux, Palais du Louvre, , 225 p. (ISBN9782711800742, lire en ligne)
(de) Katharina Küster-Heise, “Straußenei”, « Pretiosa: Zu den Gold und Silberschmiedearbeiten », Die Kunstkammer der Herzöge von Württemberg. Bestand, Geschichte, Kontext, Landesmuseum Württemberg, 2017, p. 448-449 (ISBN978-3799512596)
(de) Hans Meyer, Die Strassburger Goldschmiedezunft von ihrem Entstehen bis 1681. Urkunden und Dartstellung, Leipzig, Duncker & Humblot, 1881, 224 p., [lire en ligne]